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Un surplus de poids causé par le biberon

Lors d’un congrès sur l’obésité qui s’est ouvert mercredi (14 mai) à Genève, des chercheurs ont présenté trois études démontrant toutes que les souris en contact avec les produits chimiques utilisés dans la fabrication des biberons ou des emballages alimentaires en plastique risquent davantage de souffrir d’un surplus de poids.

Selon Jerry Heindel, du National Institute of Environmental Health Sciences aux États-Unis, ces découvertes pourraient changer la vision de l’obésité et les moyens d’y remédier. « Si ces résultats sont vérifiés aussi pour l’être humain, la perspective ne doit plus être de perdre du poids à l’âge adulte, mais de prévenir la prise de poids en évitant un contact avec de telles substances », a-t-il noté.

Quant à l’Organisation mondiale de la santé, elle estime que d’ici 2015, près de 700 000 personnes seront obèses à l’échelle planétaire.

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Le surplus de poids, dangereux au volant

Lors du congrès mondial de la Society of Automotive Engineers, les principaux joueurs de l’industrie automobile se sont entretenus à propos d’une récente étude qui met en garde les conducteurs automobiles ayant un surplus de poids.

En effet, ces derniers sont plus à risque que les personnes ayant un poids santé pour la simple et bonne raison qu’ils sont plus réticents à porter la ceinture de sécurité en raison de l’inconfort ressenti.

D’autres recherches vont dans le même sens. Celle de 2002 mentionnait que la masse en mouvement pouvait augmenter le risque de blessures chez les personnes obèses, tandis qu’une autre réalisée en 2003 prétendait que le taux de blessures abdominales chutait lorsque le conducteur était mince.

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Le surplus de poids selon la région habitée

Une étude, qui sera dévoilée lors du congrès de l’Association francophone pour le savoir, et dont le Journal de Montréal a obtenu copie, découpe les régions du Québec en fonction du poids santé de ses habitants. Ainsi, la population du centre-ville de Montréal et de Sherbrooke semble être moins touchée par l’embonpoint, tandis que celle de la Rive-Sud de Montréal, de Gatineau et de la Gaspésie accuse un surplus de poids.

Pour Alexandre Lebel, coauteur de cette recherche, il est clair que les kilos en trop sont associés à la région habitée et qu’ils vont bien au-delà des saines habitudes de vie, du revenu, de l’âge et de l’éducation.

Ce phénomène est toutefois différent selon les sexes. En effet, les femmes résidant dans des villes telles que Mirabel, Grand-Mère, Drummondville et dans l’Ouest-de-l’Île de Montréal ont tendance à souffrir d’excès de poids; les hommes souffrent davantage de surcharge pondérale lorsqu’ils habitent Longueuil, Chambly et Saint-Hyacinthe.