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Grossesse multiple : l’enjeu d’une FIV

Les grossesses multiples demeurent très courantes lorsqu’une femme a recours à la fécondation in vitro (FIV) pour tomber enceinte. Or, quand plus d’un embryon se développe, de grands risques suivent.

Parmi les plus importants, il y la fausse couche, la naissance prématurée et le faible poids de naissance. Les bébés courent aussi plus de risques d’être atteints de paralysie cérébrale et de mourir.

Or, selon DailyMail, un modèle mathématique préviendrait ces grossesses multiples lors d’une FIV. Prévoyant les chances qu’une femme ait plus d’un enfant à la fois, on pourrait se concentrer à l’implantation d’un embryon à la fois pour celles-ci.

Ledit modèle est basé sur des variables, lesquelles ont été établies selon l’analyse de 3 223 embryons implantés sur une période de 3 ans, de 1999 à 2002. Quatre-vingts facteurs ont été identifiés comme jouant un rôle dans le succès de cette méthode de fécondation.

Par la suite, on a testé ce modèle mathématique durant 3 autres années, soit de 2004 à 2007, sur l’implantation de 3 410 embryons. Grâce à cette méthode, on atteindrait désormais un taux de risque d’une grossesse multiple d’à peine 15 %.

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Moins d’embryons en FIV, de meilleurs résultats

Des chercheurs de l’Université de Montréal ont démontré que l’utilisation d’un seul embryon par tentative de grossesse en fécondation in vitro (FIV) serait préférable pour la vie et la survie des bébés.

On peut en effet lire dans le Journal of Pediatrics que selon Keith Barrington, la directrice de cette étude, on préviendrait des dommages au cerveau et aux yeux, de même que le temps passé à l’hôpital pour l’enfant.
 
De plus, on pourrait de cette façon empêcher plus de 40 morts à la naissance par année au Canada. Les jours passés aux soins intensifs par les poupons seraient quant à eux réduits de 42 000 jours par an.
 
En établissant la règle d’un embryon à la fois pour chaque tentative de FIV, on réduirait aussi le nombre de jumeaux et de triplets prématurés, lesquels sont très à risque de complications cardiaques.

Ainsi, les chercheurs demandent à ce que cette règle soit suivie rigoureusement, même si cela réduit les chances pour la femme de tomber enceinte. La méthode actuelle des embryons multiples serait trop dangereuse pour être encore employée chez toutes les femmes.

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Prévenir le cancer dès le plus jeune âge

Une recherche de l’Université de Guelph sous-entend qu’un régime alimentaire comprenant beaucoup d’acides gras comme les oméga-3 serait la meilleure prévention du cancer du sein.

En fait, l’exposition aux oméga-3, même avant la naissance, réduirait de 20 % la taille et le nombre de tumeurs cancéreuses aux seins à l’âge adulte. Il semble donc que ce qu’un enfant mange et ce que sa mère a mangé durant la grossesse ont une forte incidence sur l’apparition du cancer.
 
Afin de soutenir ces hypothèses, les chercheurs se sont fiés à des données sur des embryons, des bébés et des tout-petits quant à l’influence de certains nutriments sur leur santé générale et future.
 
Le tissu mammaire est en croissance constante de la naissance à la première grossesse. On sait toutefois que certaines périodes du développement sont plus enclines aux mutations que d’autres, ce qui peut entraîner le cancer du sein. Chacune d’entre elles inclut différents facteurs de risque, dont le régime alimentaire.

Rappelons finalement que le cancer du sein est celui qui est le plus diagnostiqué chez les Canadiennes. Il est aussi la deuxième cause de décès chez les gens atteints du cancer.

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Riez! Vous êtes en FIV!

Selon une surprenante étude venant de l’Israël, une femme aurait plus de chances de mener sa grossesse à terme si elle a été divertie tout de suite après son insémination.

L’auteure de l’étude, Shevach Friedler, a tiré cette conclusion après que son équipe ait suivi 219 femmes.

Celles qui ont été diverties par un clown médical immédiatement après le transfert d’embryon ont eu deux fois plus de chances de tomber enceintes.

Évidemment, d’autres études sont maintenant nécessaires pour soutenir cette nouvelle hypothèse, rappelle madame Friedler.

On attend donc que des recherches similaires soient réalisées pour démontrer clairement le lien entre le rire et le succès de la grossesse à la suite d’une FIV.

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Nouvelle percée dans la FIV

On peut lire dans RelaxNews que des chercheurs australiens ont mis au point au produit facilitant la fécondation in vitro (FIV). 

EmbryGen viendrait en aide aux femmes ayant fait une fausse couche à la suite d’une FIV. Intégré à la culture de fécondation, il augmenterait les chances d’implantation de l’embryon de 40 %.

Avant d’annoncer sa commercialisation, le produit EmbryGen a été testé auprès de 1 319 patientes.

Le secret du succès de ce nouveau produit est qu’il contient une molécule déjà présente dans les tissus de la mère, la GM-CSF. Protégeant l’embryon, elle l’aide à traverser la période d’implantation.

Cette avancée donnera beaucoup d’espoir aux couples ayant déjà fait une tentative de fécondation in vitro s’étant malheureusement soldée par une fausse couche lors du premier trimestre.

L’EmbryGen sera offert sur le marché en mai 2011 en Europe et au Moyen-Orient, puis en 2012 aux États-Unis. On ne mentionne pas de date pour le Canada pour le moment.

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Un embryon à la fois pour la FIV

Une vaste étude portant sur près de 1 400 femmes a été menée par l’Université d’Aberdeen au Royaume-Uni.

Toutes les participantes avaient pris part à l’une des huit expériences de cette recherche. Les résultats détaillés peuvent être lus dans BMJ.

Un seul embryon a été implanté à la moitié des femmes à l’étude, tandis que l’autre groupe a subi une double procédure.

Les chances de mener une grossesse à terme, soit à 37 semaines, étaient plus grandes pour les femmes ayant reçu un seul embryon. En fait, elles seraient de 87 %.

De plus, une implantation simple réduirait le risque d’accoucher d’un bébé de faible poids.

Les chercheurs de l’étude concluent donc que les femmes qui désirent avoir un enfant et qui se tournent vers la FIV devraient être encouragées à ne recevoir qu’un embryon à la fois.

En plus des avantages mentionnés, les problèmes de santé liés aux naissances multiples pourraient aussi être écartés.

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Nouvel espoir dans la fécondation in vitro

Des scientifiques australiens ont mis au point une nouvelle technique pour relever les embryons en meilleure santé, nous apprend MailOnline.

Cette étape précédant l’implantation augmente les chances de grossesse menée à terme. Ce nouveau procédé peut mesurer la santé des embryons, et ce, par le taux de glucose aux quatrième et cinquième jours de fécondation.

Ainsi, il est possible de connaître le taux d’absorption de glucose par le foetus, ce qui indique qu’il se développe normalement. Le glucose est lié à la division et à la reproduction cellulaires.

En ce moment, seulement 29 % des femmes de moins de 35 ans mènent une grossesse à terme après avoir été fécondées par la méthode in vitro. Ce pourcentage tend à baisser si une femme est plus âgée.

L’équipe de recherche de l’Université de Melbourne a suivi le cas de 50 femmes ayant eu recours à la fécondation in vitro. Parmi elles, 32 sont tombées enceintes et 28 bébés sont nés.

Les bébés vivants sont justement ceux qui présentaient, à l’état de fœtus, le plus haut taux de glucose.

Toutefois, cette étude pourrait mener à la controverse, car ce procédé permettrait également de prédire le sexe du bébé avant l’implantation. En effet, les embryons femelles absorberaient plus de glucose.

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Plus de garçons avec les traitements de fertilité?

Selon une recherche parue dans la publication BJOG, An International Journal of Obstetrics and Gynaecology, les femmes désirant être mères qui suivent des traitements de fertilité sont plus sujettes de donner naissance à un garçon plutôt qu’à une fille.

Une de ces méthodes communément utilisées fait que les chances d’accoucher d’un garçon seraient d’environ 5 % plus élevées, d’après une étude australienne ayant étudié les cas de plus 13 000 bébés éprouvettes.

Les mères en devenir qui se sont soumises à la fécondation in vitro, où l’embryon est implanté dans l’utérus de cinq à six jours après la fécondation, ont eu un petit garçon dans 56,1 % des cas. En comparaison, le nombre moyen de garçons pour 100 naissances en Australie représente 51,5 %.

Les chercheurs ne savent pas si les traitements de fertilité ont une influence active sur le sexe ou si ces résultats découlent de causes naturelles.

Toutefois, au jour 5 ou 6 après la fécondation, les embryons mâles ont tendance à avoir connu une croissance plus rapide que les embryons femelles. Les scientifiques croient que cela pourrait signifier que les embryons mâles à ce stade sont plus susceptibles d’être sélectionnés pour l’implantation.

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Volte-face des libéraux

Après s’être opposé au remboursement des traitements de procréation assistée par la Régie de l’assurance maladie pour les couples infertiles, le Parti libéral fait volte-face.

Cette annonce a suscité la grogne du chef de l’opposition, Mario Dumont, qui a décrit Jean Charest comme « un homme qui manque d’honneur ».

« Ça fait un an que Jean Charest bloque ça. Maintenant, il va essayer de devenir le héros d’un projet dont il a été le fossoyeur pendant 12 mois », a souligné M. Dumont, qui était pour le remboursement des traitements de fécondation in vitro visant à aider les couples incapables d’avoir des enfants de manière naturelle.

Si le premier ministre du Québec va de l’avant avec le remboursement de ces frais, il en coûtera 35 millions de dollars annuellement et on estime que 1 500 poupons naîtraient chaque année avec cette méthode.

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Un pas de plus vers le clonage humain

Des généticiens du laboratoire Stemagen, aux États-Unis, ont répété l’exploit réalisé en 2005 par des chercheurs oeuvrant à l’Université de Newcastle. Ils ont cloné trois embryons humains à partir de cellules souches.

Pour ce faire, ils ont retiré l’ADN d’embryons humains et l’ont remplacé par l’ADN de cellules souches de la peau.
 
Le docteur Andrew French, auteur de cette opération génétique, affirme : « Bien que cette étude représente un pas important dans le développement de cellules souches pour du clonage thérapeutique, beaucoup de travail de recherche reste à faire pour confirmer ces résultats et leurs applications. »
 
Quoi qu’il en soit, le clonage d’embryons humains permettrait éventuellement de traiter des maladies incurables.
 
Le journal Stem Cell publie tous les détails de cette expérimentation.