L’autorisation à créer des embryons hybrides à partir d’ADN animal et humain a été donnée par l’Agence britannique sur la fertilisation et l’embryologie humaine.
La création d’embryons mi-humain, mi-animal, pourrait grandement améliorer la recherche sur les maladies dégénératives. En effet, les embryons hybrides produiront des cellules souches qui serviront à l’observation du développement de maladies, tout en laissant aux chercheurs la possibilité de cibler le type de cellule qu’ils veulent étudier.
Selon la loi, 14 jours après la formation d’un embryon, celui-ci devra être détruit.