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Choisir le sexe de son enfant grâce au Dr Daniel Potter

Depuis 1997, le Dr Daniel Potter pratique une méthode qui peut sembler controversée, peu éthique pour certains et même défendue et illégale dans plusieurs pays.

L’homme réputé pour être en mesure de choisir le sexe des bébés tente de faire la promotion de ses services à travers le monde. Il a d’ailleurs expliqué sa façon de faire au Daily Mail.

Top Santé résume : « La sélection du sexe se fait à partir de l’analyse des différents échantillons d’embryons. Si les marqueurs génétiques indiquent qu’il s’agit d’un garçon ou d’une fille, l’embryon qui correspond au souhait du couple est alors implanté dans l’utérus de la future maman. Les embryons restants sont ensuite gelés pour de futures grossesses, jetés ou donnés à d’autres parents, selon les volontés des couples ».

Plusieurs souhaitent acheter des vêtements roses, semblerait-il. En effet, 80 % des patients en moyenne demandent d’avoir une petite fille au Dr Potter, et 20 % espèrent donner le jour à un garçon.

Pour exaucer leur vœu, les futurs parents devront passer deux semaines à la populaire et réputée clinique de fertilité du célèbre médecin à Newport Beach, en Californie, et signer un chèque de près de 15 000 $.

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Les couples en difficulté ont plus de chances d’avoir des filles

En effet, il semblerait que les couples en difficulté mettent davantage au monde des fillettes, car ces dernières survivent mieux que les garçons au stress dans l’utérus.

Des recherches antérieures avaient déjà démontré que les couples ayant des filles sont plus susceptibles de divorcer que ceux qui ont eu des garçons. Voilà qu’une nouvelle étude de la Duke University complète l’intrigant dossier.

Les chercheurs ont constaté que les embryons féminins sont plus susceptibles que ceux masculins de survivre dans l’utérus, lorsqu’ils sont le fruit d’une union tendue, rapporte le site Science world report.

L’étude parue dans la revue Demography a examiné des couples américains ayant eu ou qui allait avoir des enfants entre 1979 et 2010. Les analyses ont permis à l’un des co-auteur de l’étude, Amar Hamoudi, de démentir les propos des gens qui disaient que les enfants de sexe féminin avaient un effet négatif sur la stabilité d’un couple.

En d’autres termes, certains avançaient qu’avoir une fille était simplement plus difficile pour l’union des parents qu’avoir un garçon.

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Traitement de fertilité : les embryons congelés plus efficaces

Les embryons congelés par les futures mamans sont conservés pour un usage ultérieur, au cas où le premier traitement ne fonctionne pas ou tout simplement pour agrandir la famille un peu plus tard.

Or, bien que la médecine hésitait en premier lieu à congeler des tissus aussi délicats que ceux d’un embryon, aujourd’hui, ceux-ci semblent les plus prometteurs pour le futur.

Les résultats de la recherche ont été dévoilés hier (3 septembre) lors du British Science Festival à Aberdeen. C’est le Dr Abha Maheshwari, responsable de la recherche, qui en a expliqué les grandes lignes. « Nous avons découvert que les grossesses menées à terme à partir d’embryons congelés étaient moins à risque, tant pour la mère que pour l’enfant. »

Cette recherche s’est étalée sur une grande période, rassemblant les constats de 11 études provenant du monde entier, impliquant plus de 37 000 grossesses dans le cadre de traitements de fertilité.

Notamment, les résultats indiquent que les nourrissons provenant d’embryons congelés étaient moins à risque de 30 % de naître petits ou prématurément, et les risques de décès dans les premiers jours chutaient de 20 %.

Quant aux femmes qui avaient été inséminées d’embryons congelés, une diminution du tiers des risques de complications pendant la grossesse, comme les saignements anormaux, a été clairement établie.

Le Dr Maheshwari affirme que cette découverte aidera grandement les couples à se sentir plus à l’aise avec la congélation dans le processus de fertilité.

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Cancer : trop peu de femmes préservent leur fertilité

Une nouvelle étude de l’Université de Californie à San Francisco suggère que les femmes qui sont en âge de procréer et qui ont un cancer ne reçoivent pas assez de renseignements sur les différentes méthodes de préservation de la fertilité pendant le traitement d’un cancer.

C’est en interrogeant 1041 femmes âgées de 18 à 40 ans, qui ont reçu un diagnostic de cancer entre 1993 et 2007, que les chercheurs ont découvert que seulement 4 % des femmes avaient pris des mesures pour préserver leur fertilité.

Parmi le groupe, 918 ont reçu des thérapies contre le cancer (chimiothérapie, radiothérapie pelvienne, chirurgie pelvienne ou greffe de moelle osseuse) qui pouvaient nuire à leur fertilité.

Il a été indiqué que 61 % d’entre elles ont reçu des conseils de leur médecin ou d’autres spécialistes sur les risques que pouvait engendrer le traitement du cancer sur leur fertilité.

La bonne nouvelle, c’est que la proportion de patientes qui a pris des mesures pour préserver la fertilité est passée de 1 % en 1993 à 6 à 10 % en 2005-2007, selon l’étude publiée dans la revue Cancer.

Toutefois, il semblerait que les femmes de race blanche, hétérosexuelles et avec un niveau d’éducation collégial ont été plus concernées que les autres par les options de préservation.

Ces chiffres trop bas sont le reflet d’une situation anormale pour les chercheurs, qui concluent que la congélation d’embryons ou d’une portion du tissu ovarien ou encore la présentation d’autres stratégies pour épargner les ovaires durant le cancer devraient être suggérées à toutes les femmes, qui doivent souvent prendre des décisions trop rapidement avant le début ou pendant un traitement.

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La thérapie des cellules souches peut améliorer la vue

La thérapie des cellules souches vient de faire un pas en avant. The Lancet rapporte qu’une étude effectuée sur deux femmes s’est révélée être un succès jusqu’à présent.
 
Les deux femmes étaient reconnues comme aveugles. En juillet dernier, on leur a injecté des cellules souches embryonnaires dans un œil. La technique a permis d’améliorer leur vision.
 
La première femme, âgée dans les 70 ans, souffrait de dégénérescence maculaire liée à l’âge. Cette femme a pu lire 21 des 28 lettres sur le tableau.
 
La deuxième femme, dans la cinquantaine, souffrait de la maladie de Stargardt, qui est la forme la plus commune de dégénérescence maculaire chez les plus jeunes. Cette femme ne pouvait distinguer que les mouvements de sa main, mais peut maintenant distinguer les mouvements de ses doigts.
 
Jusqu’à présent, on ne rapporte aucun problème de sécurité ni d’effets secondaires. Cela marque un point positif pour la thérapie des cellules souches embryonnaires qui est contestée par certains experts.
 
Bien que l’étude soit limitée, d’autres sont en cours, et les résultats sont prometteurs pour le moment.
 
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Fécondation in vitro : exigez deux embryons plutôt qu’un seul

Les femmes ont une meilleure chance de succès pour la FIV si elles ignorent les directives officielles de la Human Fertilisation and Embryology Authority, qui dit qu’il ne devrait pas y avoir plus d’un embryon implanté, en raison du risque de naissances multiples.

Il semblerait que la FIV utilisée pour un seul embryon a plus de chances de conduire à des naissances prématurées ou conduire à l’invalidité.

Les dernières recherches ont révélé que plus de 33 000 naissances FIV avaient été un succès, grâce à l’utilisation de deux embryons.

Cependant, choisir trois embryons serait la goutte qui fait déborder le vase. L’étude a démontré que ce nombre était lié à un risque accru de complications à la naissance.

Certaines cliniques de fertilité ont été accusées de risquer la santé des femmes par l’implantation d’embryons multiples pour accroître les chances d’une naissance.

Maintenant toutes les cliniques doivent avoir une stratégie de réduction des naissances multiples, mais il n’y a toujours pas de sanctions légales.

L’âge de la femme est également pris en considération dans le processus de sélection du nombre d’embryons.

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La moitié des bébés provenant d’embryons congelés sont trop gros

C’est lors de la conférence annuelle de la Société européenne de reproduction et d’embryologie, qui a eu lieu hier (17 juillet) à Stockholm en Suède, que les résultats de la recherche danoise ont été dévoilés.
 
L’étude a été menée auprès de 15 000 bébés divisés en 3 catégories : ceux nés d’une fertilité naturelle et les autres de fertilisation in vitro, à partir d’embryons congelés et non congelés.
 
Les résultats démontrent que 50 % des bébés nés à partir d’embryons congelés, de par leur surplus de poids à la naissance, compliquent l’accouchement. En effet, il n’est pas rare que leur poids dépasse les 10 livres.
 
Le Daily Mail rapporte les explications de la docteure Anja Pinbord, responsable de l’étude de l’Université de Copenhague : « La cryopréservation (congélation) des embryons peut entraîner des modifications épigénétiques (altérations génétiques causées par l’environnement) dans le stade embryonnaire précoce, à la suite des procédures de gel et dégel ».

Alors que les chercheurs mettent l’accent sur le côté positif, c’est-à-dire la réduction du risque d’avoir un bébé trop petit, ils n’ont d’autre choix que d’avouer que de l’autre côté de la médaille, les bébés ainsi procréés mènent la plupart du temps à la césarienne, sans quoi les risques et complications par voie naturelle sont trop élevés.

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Les femmes pourraient enfanter jusqu’à 60 ans

Des chercheurs égyptiens auraient mis au point une technique qui pourrait révolutionner le monde de la maternité
 
Le site spécialisé 7sur7.be rapporte que le professeur Azmy Oussama a présenté les résultats de ses travaux au dernier Congrès mondial sur la fécondité et la stérilité qui s’est tenu à Munich.
 
Cette nouvelle méthode permettrait aux femmes d’avoir un enfant jusqu’à l’âge de 50 et même 60 ans.
 
Jusqu’ici, la technique n’a été testée que sur des animaux. Elle consiste à injecter des cellules souches dans les ovaires, ce qui relancerait la production d’ovules.
 
Par contre, la méthode soulève un débat en ce moment dans le milieu scientifique et médical. Les cellules souches nécessaires aux injections doivent être prélevées sur des embryons qui ont été avortés ou encore sur ceux cultivés en laboratoire. Ceci est loin de faire l’unanimité.
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Clinique de dons d’embryons au Canada

L’agence Beginnings Counselling & Adoption Servicessituée en Ontario lance, pour la première fois au Canada, un service de dons d’embryons.
 
Ainsi, des couples infertiles désirant un enfant pourront avoir accès à des dizaines de milliers d’embryons au pays. La plupart des couples qui ont une fécondation in vitro réussie ne savent habituellement pas quoi faire des autres embryons.
 
« Par le passé, les options étaient limitées : détruire les embryons, les conserver indéfiniment ou les donner à la recherche médicale. Maintenant, il y a une autre option », explique l’agence canadienne sur son site internet.
 
Par ailleurs, ce lancement est fait alors que la Cour suprême du Canada doit statuer sur les dispositions de la loi pour l’assistance à la procréation humaine. Par conséquent, plusieurs cliniques de fertilité n’ont pas détruit des embryons en attendant d’avoir la réponse du tribunal.
 
Chez l’agence Beginnings, les couples donneurs pourront choisir le couple qui recevra leur embryon parmi une sélection faite par la clinique. Ils pourront les rencontrer et consulter leur dossier judiciaire s’ils le veulent.
 
Il en coûtera 13 500 dollars au couple qui souhaite recevoir l’embryon, en plus de la prise en charge par une équipe médicale. Il s’agit que de la première clinique à offrir ce service officiellement, mais plusieurs l’offrent déjà de façon anonyme.