Mais quelle soirée avons-nous eu dimanche soir à Révolution! Les Face-à-Face ont été chauds, les danseurs et danseuses ont tous et toutes donné tout ce qu’ils avaient, et nous, on n’est évidemment pas malheureux de ça!
Rappelons que lors des Face-à-Face, ce sont deux candidats ou candidates qui s’affrontent sur la scène devant les juges et qui tentent de nous livrer la performance de leur vie. Les règles sont simples : il n’y a pas de règles. Les maîtres choisissent qui est le gagnant ou la gagnante du Face-à-Face. Cependant, cette année il y a un ajout ; les maîtres pourront sauver quelqu’un.
Ouf, dramaaaa!
Les juges ont décidé que les premiers à s’affronter seraient les deux plus dramatiques et expressifs de la saison : Justin et 3Am. Justin nous a fait danser avec sa chorégraphie entraînante de danse à claquettes et par la suite, 3Am a mis la scène en feu en faisant référence à Justin tout au long de leur chorégraphie, au son de l’air de la chanson « joyeux anniversaire ».
C’est Justin qui a remporté la manche et sa réaction nous a tous rendus émotifs.
Crédit:Facebook de Révolution
Le Face-à-Face suivant a été dansé par Anne-Florence et Janelle ; la plus jeune et la plus expérimentée, respectivement. On seconde les mots de Janelle : « sur scène, il n’y a pas d’âge, juste du talent ». Lors de sa performance, Janelle a « mangé » le cœur de son adversaire, faux sang inclus! Anne-Florence a interprété la souffrance, tandis que Janelle a joué la violence. On aurait pu regarder ces deux-là danser pendant des jours, sans se lasser.
Les maîtres ont choisi Anne-Florence.
Crédit:Facebook de Révolution
Puis, sont venus T.Acos et R.K.Tÿpe. Les deux groupes étaient complètement synchronisés, on ne pouvait pas les lâcher des yeux. R.K.Tÿpe a agacé T.Acos avec un taco pendant leur performance, et on adoooore l’arrogance du message! T.Acos, selon Lydia Bouchard, sont « invincibles ».
Vous comprenez donc qu’elles ont été le fruit du choix unanime des juges.
Crédit:Facebook de Révolution
Ensuite, Projet Symbiose et Union QMDA se sont affronté et les instincts primaux étaient au rendez-vous. Jean-Marc Généreux a mentionné : « les qualités d’un ont été les défauts de l’autre », en parlant d’Union QMDA . La révolution de Projet Symbiose était quelque chose, on a même peut-être poussé un petit cri… On dit ça, on dit rien.
Sébastien et Emmanuelle sont deux magnifiques danseurs qui ont dû, par la suite, danser en Face-à-Face sur scène. Les gants de boxe de Sébastien sont de retour tandis que la technique d’Emmanuelle nous a coupé le souffle. Les Twins ont dit : « c’est un combat étrange », et l’on est bien d’accord. On a eu l’impression d’être transportés dans un autre monde.
Emmanuelle a remporté le Face-à-Face avec un vote unanime.
Crédit:Facebook de Révolution
La dernière opposition fut entre Justin et Tommy. Les maîtres ont dû avoir la plus difficile des décisions à prendre, on n’aurait pas voulu être à leur place. Les Twins ont dit : « vous n’êtes pas jugeables, je suis fou amoureux de vous deux ». Jean-Marc Généreux a d’autant plus ajouté : « vous êtes deux Arsène Lupin de la danse, vous êtes des cambrioleurs, parce que vous volez notre cœur ».
Lydia a voté pour Tommy et a sauvé Justin. La foule était en délire!
Crédit:Facebook de Révolution
La semaine prochaine, on aura droit à encore plus d’émotions avec la suite des Face-à-Face et l’on compte définitivement les dodos!
La suite des auditions de la saison 3 de Révolution ne nous a pas déçu. Si vous avez manqué l’épisode, pas de soucis, on vous fait un compte rendu. D’abord, Sarah-Jeanne Labrosse a ouvert la soirée avec nos trois juges : Lydia Bouchard, Jean-Marc Généreux et Les Twins. Les participants vus dans le troisième épisode se sont donnés corps et âme et on émut le public. Il faut dire que 100 000$ en jeu est aussi une bonne raison de participer, même si l’amour de la danse est la raison principale de tous.
Bianca et Vincent sont de retour et ils ont ouvert le bal (jeu de mots volontaire). La foule était en délire! Notre couple favori a performé une salsa au son d’une musique cubaine extra sensuelle, bref il faisait chaud! Ce qui nous a impressionnés le plus était leur choix vestimentaire. Bianca a opté pour des jeans troués au lieu de la robe traditionnelle ballroom. Risqué? Sans aucun doute. Sexy? Assurément.
La deuxième performance nous a fait remettre en question notre souplesse avec Yasmina. Elle a impressionné les quatre maîtres, surtout lorsqu’elle a mentionné qu’elle n’avait que 15 ans. Yasmina s’entraîne avec son amie Rosalie, une autre participante de la saison 3. Cependant, Rosalie n’a pas été retenue.
Puis, est arrivé Palomeque, un soliste hip-hop d’un talent extraordinaire. Les Twins ont dit : « il n’y a personne comme toi » puis ont également affirmé que c’était le meilleur solo hip-hop des trois saisons de Révolution.
T.Acos est de retour et on est emballés! Le groupe de filles avait fait une apparition à la saison 1. Après une présentation qui a fait trembler la scène et fait crier la foule, seulement Les Twins ont poussé le bouton. Une belle surprise les attendait, Lydia a poussé à la toute dernière minute, lorsque les filles sortaient de scène. Le maître leur a demandé de grandir rapidement pendant la nuit, puisque la compétition de cette année est particulièrement féroce.
On a ensuite eu la chance de voir performer Emmanuelle, dans un solo émotionnel absolument époustouflant. On pouvait ressentir la douleur qu’elle nous démontrait à travers son art. En parlant d’art, VYBZ a dansé un solo hip-hop au ralenti sur la chanson claire de lune. Oui, oui, au RALENTI. On a dû réécouter ce passage au moins trois fois. Wow!
Puis, Raphaëlle et Jamal, un duo de fusion, nous ont fait vivre toute une vie d’évolution et de bataille en quelques minutes. Ils disent ne pas se connaître depuis longtemps, mais la chimie entre eux est palpable.
OK. Attachez vos tuques, TNV est le groupe d’enfer qui a fait lever les maîtres de leurs chaises. Ils sont arrivés sur la scène avec un look de style camisole de force, du maquillage hors de l’ordinaire et ils regardaient les maîtres comme des vilains dans tout bon film d’horreur qui se respecte. À ce moment, on n’était pas certains à quoi s’attendre, mais on savait que ça allait brasser. Et on ne s’est pas trompés. Leur performance était à l’image de leur entrée sur scène : complètement provocatrice, hors de notre zone de confort et brillante.
La soirée s’est terminée avec Tommy, un solo à couper le souffle et une histoire particulièrement émouvante. Son père, ancien combattant des forces canadiennes est souvent partis en Afghanistan lors de l’enfance de Tommy. Bien que cela a créé un manque, Tommy avait son papa avec lui dans les coulisses lors de son solo et on a pleuré. Un mixte de contemporain et ballet avec des lignes et des pointes dignes des Grands Ballets Canadiens. Jean-Marc a même ajouté : « Ce n’est pas des ligaments, c’est des pâtes alimentaires bien cuites » . On n’a rien à ajouter là-dessus. On a juste bien hâte au prochain épisode, on s’est déjà attaché aux candidats.
L’actrice Emmanuelle Béart effectue une sortie en règle et décide de régler ses comptes après des années de critique concernant sa chirurgie des lèvres, et en profite pour décrier une injustice homme-femme dans le dossier.
Les propos de la star, rapportée par Voici, sont on ne peut plus clairs.
« J’ai fait refaire ma bouche, à l’âge de 27 ans. Ce n’est un secret pour personne, c’est loupé. Il y a des personnes que ça a profondément affectées, je fais partie de celles-là. Évidemment, si ma bouche m’avait plu, je n’aurais jamais eu envie de la refaire. Mais franchement, je ne suis pas près d’y retourner, parce que j’ai eu un tel choc, avec tout ça et sous le regard des autres », explique Emmanuelle Béart.
L’actrice poursuit avec des propos difficilement réfutables, concernant une attitude des fans et des médias envers les femmes qu’elle considère comme misogyne.
« Il y a une forme de bienveillance à l’égard des hommes dont nous, les femmes, nous ne bénéficions pas. Je ne me suis jamais considérée comme une victime, mais ce que j’entends sur les actrices, sur les femmes, est souvent abject. Est-ce qu’on demande à un acteur s’il se fera des injections de Botox quand il aura atteint la cinquantaine? »
Emmanuelle Béart touche la cible avec ces propos sentis, et même si elle semble avoir de bonnes raisons pour avoir recours à la chirurgie esthétique, on se demande si le véritable débat n’est pas dans l’utilisation abusive de telles pratiques chez les célébrités, qui proposent ainsi un exemple malsain pour leurs fans, et les femmes en général.
L’actrice Emmanuelle Béart effectue une sortie en règle et décide de régler ses comptes après des années de critique concernant sa chirurgie des lèvres, et en profite pour décrier une injustice homme-femme dans le dossier.
Les propos de la star, rapportée par Voici, sont on ne peut plus clairs.
« J’ai fait refaire ma bouche, à l’âge de 27 ans. Ce n’est un secret pour personne, c’est loupé. Il y a des personnes que ça a profondément affectées, je fais partie de celles-là. Évidemment, si ma bouche m’avait plu, je n’aurais jamais eu envie de la refaire. Mais franchement, je ne suis pas près d’y retourner, parce que j’ai eu un tel choc, avec tout ça et sous le regard des autres », explique Emmanuelle Béart.
L’actrice poursuit avec des propos difficilement réfutables, concernant une attitude des fans et des médias envers les femmes qu’elle considère comme misogyne.
« Il y a une forme de bienveillance à l’égard des hommes dont nous, les femmes, nous ne bénéficions pas. Je ne me suis jamais considérée comme une victime, mais ce que j’entends sur les actrices, sur les femmes, est souvent abject. Est-ce qu’on demande à un acteur s’il se fera des injections de Botox quand il aura atteint la cinquantaine? »
Emmanuelle Béart touche la cible avec ces propos sentis, et même si elle semble avoir de bonnes raisons pour avoir recours à la chirurgie esthétique, on se demande si le véritable débat n’est pas dans l’utilisation abusive de telles pratiques chez les célébrités, qui proposent ainsi un exemple malsain pour leurs fans, et les femmes en général.
(AFP) – L’actrice néerlandaise Sylvia Kristel, connue dans le monde entier pour avoir incarné l’héroïne du film érotique Emmanuelle, est décédée dans la nuit des suites d’un cancer, a annoncé son agent jeudi (18 octobre).
« Elle est morte pendant la nuit, pendant son sommeil », a déclaré à l’AFP Marieke Verharen, de l’agence Features Creative Management, qui représentait l’actrice âgée de 60 ans, ajoutant qu’elle était décédée « des suites d’un cancer ».
L’actrice avait été victime d’une attaque cérébrale au début juillet et avait été hospitalisée. L’agence a refusé d’indiquer si elle était décédée chez elle ou à l’hôpital.
Mme Kristel avait été soignée pour un cancer de la gorge et avait subi un traitement contre des métastases au foie.
Sylvia Kristel, l’actrice néerlandaise la plus connue à l’étranger, était devenue célèbre avec son premier film, Emmanuelle, sorti en 1974. Tourné par le réalisateur Just Jaeckin, il était une adaptation du roman du même titre d’Emmanuelle Arsan.
Le film, qui a connu un succès international, du Japon aux États-Unis, raconte les aventures sexuelles d’une jeune femme en Asie. Il était resté treize ans à l’affiche sur les Champs-Élysées à Paris.
Sylvia Kristel avait tourné ensuite, avec un succès moindre, Emmanuelle 2 en 1975, Goodbye Emmanuelle en 1977, puis Emmanuelle 4 en 1984.
Kevin Tierney (producteur de Bon Cop, Bad Cop) a amorcé hier (25 mai) le tournage de son nouveau film, French Immersion, à Saint-Césaire, en Montérégie. L’endroit est rebaptisé pour l’occasion Saint-Isidore-du-cœur-de-Jésus.
Tierney dirige donc Pascale Bussières, Robert Charlebois, Yves Jacques, Rita Lafontaine, Diane Lavallée, Marcel Leboeuf, Laurence Leboeuf, Monique Spaziani, Karine Vanasse, Colm Feore, Olunike Adeliyi, Martha Burns, Gavin Crawford, Fred Ewanuick, Jacob Tierney et Emmanuelle Vaugier.
Le réalisateur a aussi coécrit le scénario avec Jefferson Lewis. On y raconte l’histoire d’un groupe d’anglophones, provenant de l’Alberta, de la Saskatchewan, de Terre-Neuve, de l’Ontario et de New York, qui fréquenteront une école française où ils ne devront parler qu’en français. Ils souhaitent apprendre cette langue dans la belle province, mais seront continuellement surveillés par les habitants du village.
Le film devrait prendre l’affiche l’an prochain pour la fête du Canada le 1er juillet.
