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Le stress pourrait être une condition contagieuse

Une nouvelle étude allemande vient donner raison aux plus réceptifs aux énergies d’autrui, rapporte Top Santé, et constate que certaines émotions comme le stress seraient littéralement contagieuses.

Se concentrant sur le stress et l’anxiété, l’étude produite par les chercheurs du Max Planck Institute for Human Cognitive and Brain Sciences, à Leipzig en Allemagne, propose une expérience plus que concluante.

Simple mais efficace, l’expérience en question constituait à demander à 211 sujets volontaires d’observer attentivement une personne en situation de stress intense. Les chercheurs évaluaient alors les réactions des sujets, notamment en analysant leurs niveaux de cortisol (aussi appelé l’hormone du stress).

Résultat? Une personne sur quatre a vu son niveau de stress monter en flèche à la suite de l’observation, ce qui pourrait signifier également qu’une personne sur quatre possède une plus grande sensibilité aux émotions et énergies de son environnement.

Une étude des plus intéressantes, en somme, qui tend à démontrer l’importance de s’entourer de personnes et de situations positives au cours de sa vie.

Les résultats de l’étude ont été publiés dans le magazine Psychoneuroendocrinology.

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Croyez-vous à la Fleur de Bach pour gérer les émotions des enfants?

Selon Edward Bach, qui a découvert 38 fleurs pour répondre à autant d’émotions humaines, il est possible de régulariser nos émotions avec leur aide. Les découvertes de cet homéopathe remontent aux années 1930 et sont encore très prisées de nos jours.

L’avantage de ces remèdes, c’est qu’on en dilue quelques gouttes dans un verre d’eau. Ainsi, les enfants n’y verront que du feu. Top Santé rapporte que dès l’âge de 3 ans, les enfants peuvent profiter des bienfaits des Fleurs de Bach.

Tout d’abord, renseignez-vous auprès d’un homéopathe qualifié ou procurez-vous des ouvrages tels que Mieux vivre l’école avec les Fleurs de Bach, de l’auteure Françoise Quencez. Vous pouvez même le commander en ligne pour environ 23 $.

La difficulté réside dans l’émotion exacte à traiter. Plus l’enfant est jeune, plus il sera difficile de transposer ce qu’il ressent en mots. Il faut donc prendre le temps de bien analyser la situation. Est-ce de la peur irrationnelle, de l’impatience, de l’anxiété, de la jalousie, etc.

La Fleur de Bach peut donc être utile pour toutes les émotions négatives vécues par vos enfants et vous-même! Une alternative à considérer sérieusement.

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Une crise de colère augmente les risques de crise cardiaque

Apprendre que le fait de piquer une colère peut causer une crise cardiaque n’est pas une nouvelle qui en surprendra plusieurs, mais il est intéressant de savoir qu’il existe encore un risque accru au cours des heures suivant une colère.

Ces observations sont celles publiées dans une étude en provenance de Harvard (School of Public Health), menée par l’équipe de la Dre Elizabeth Mostofsky.

Cette dernière explique que même si les risques de crise cardiaque causée par un seul épisode isolé de colère demeurent faibles, il est important de savoir que ces risques demeurent plusieurs heures après l’incident. Et plus une personne est colérique, plus elle serait sujette à ce type d’accident cardiovasculaire.

L’arythmie cardiaque peut aussi devenir un problème chez les personnes colériques, et on estime le pic de risque de crise cardiaque à environ deux heures suivant un épisode de colère intense, rapporte The National Library of Medicine.

Dre Mostofsky croit qu’il est somme toute important de questionner les patients sur leurs émotions et leur relation avec la colère, afin de prévenir les risques chez les patients plus colériques ou stressés.

Les observations de l’étude ont été publiées dans l’European Heart Journal.

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Penser au présent influence négativement les choix alimentaires

On nous parle souvent de l’importance de profiter du moment présent et de privilégier celui-ci au lieu d’avoir la tête dans le futur, mais cette idéologie pourrait bien être plus néfaste qu’autre chose en matière d’alimentation.

Selon une étude américaine en provenance de l’Université du Delaware, les personnes aptes à manger de façon équilibrée ou à tenir le coup face à un régime seraient celles dont les pensées sont axées vers le futur, rapporte Top Santé.

Parfois hors de contrôle, le réflexe de se concentrer sur le présent et sur les choses réconfortantes de l’environnement immédiat survient souvent lors de mauvaises passes et de moments de déprime, selon le professeur Meryl Gardner.

Cette dernière, qui dirige l’étude, explique : « Lorsque nous nous sentons mal à l’aise ou de mauvaise humeur, nous savons que quelque chose ne va pas. C’est logique de se concentrer sur ce qui est proche de nous physiquement et temporairement. Si les personnes de mauvaise humeur choisissent souvent des aliments qui leur fournissent une récompense immédiate, il serait plus efficace de les encourager à améliorer leur humeur d’une autre façon. Si vous ne vous sentez pas en phase avec vous-même, au lieu de vous concentrer sur la nourriture et les étiquettes, essayez de parler à des amis ou d’écouter de la musique ».

Comme ces recherches l’indiquent, il est possible de conditionner un patient à prendre les bonnes décisions alimentaires lors de phases de déprime ou de détresse psychologique, et ainsi éviter de compenser ou de se réconforter dans la nourriture.

La clé résiderait donc dans la capacité à penser au futur et à se tourner vers l’avenir, afin de se concentrer sur de meilleurs jours à venir et les conséquences de mauvais choix alimentaires, et non sur ce gâteau au chocolat disponible au présent.

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Reconnaître les signes d’un trouble bipolaire

Top Santé propose un dossier sur les troubles bipolaires et rappelle l’importance de reconnaître les signes de ce déséquilibre psychologique, et de quérir l’aide nécessaire afin de retrouver une vie normale.

Car la bipolarité n’a rien à voir avec de bénignes sautes d’humeur occasionnelles, et peut s’avérer fatale pour les relations interpersonnelles et professionnelles.

Si le problème réside principalement dans l’acceptation du diagnostic, la suite peut s’avérer grandement moins complexe grâce aux options de traitements désormais disponibles.

Ainsi, l’étape la plus importante et la plus difficile demeure la reconnaissance de ce trouble, qui toucherait 2 % de la population en général.

Plusieurs signes ou symptômes peuvent indiquer un trouble bipolaire. Notamment, une consommation excessive d’alcool, des crises soudaines d’agressivité ou des sautes d’humeur évidentes, une sensibilité accrue ou encore des troubles du sommeil.

Les personnes bipolaires vont souvent se mettre dans le pétrin face à la justice ou avec des pairs, ou encore faire preuve de témérité dans leurs décisions ou encore sur la route. Malgré une sensibilité parfois extrême, ces personnes auront toutefois du mal à extérioriser leurs émotions, apprend-on.

Si vous croyez souffrir d’un trouble bipolaire ou si vous croyez reconnaître le phénomène chez un proche, parlez-en rapidement avec votre médecin praticien ou avec un psychothérapeute.

Plusieurs options de traitement efficaces sont offertes afin de réguler les cycles de bipolarité et permettre aux patients de retrouver une vie normale. Encore une fois, le plus grand défi est de reconnaître la situation et de ne pas se laisser freiner par le déni ou la honte, afin de permettre un traitement le plus rapidement et efficacement possible.

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Reconnaître les signes d’un trouble bipolaire

Top Santé propose un dossier sur les troubles bipolaires et rappelle l’importance de reconnaître les signes de ce déséquilibre psychologique, et de quérir l’aide nécessaire afin de retrouver une vie normale.

Car la bipolarité n’a rien à voir avec de bénignes sautes d’humeur occasionnelles, et peut s’avérer fatale pour les relations interpersonnelles et professionnelles.

Si le problème réside principalement dans l’acceptation du diagnostic, la suite peut s’avérer grandement moins complexe grâce aux options de traitements désormais disponibles.

Ainsi, l’étape la plus importante et la plus difficile demeure la reconnaissance de ce trouble, qui toucherait 2 % de la population en général.

Plusieurs signes ou symptômes peuvent indiquer un trouble bipolaire. Notamment, une consommation excessive d’alcool, des crises soudaines d’agressivité ou des sautes d’humeur évidentes, une sensibilité accrue ou encore des troubles du sommeil.

Les personnes bipolaires vont souvent se mettre dans le pétrin face à la justice ou avec des pairs, ou encore faire preuve de témérité dans leurs décisions ou encore sur la route. Malgré une sensibilité parfois extrême, ces personnes auront toutefois du mal à extérioriser leurs émotions, apprend-on.

Si vous croyez souffrir d’un trouble bipolaire ou si vous croyez reconnaître le phénomène chez un proche, parlez-en rapidement avec votre médecin praticien ou avec un psychothérapeute.

Plusieurs options de traitement efficaces sont offertes afin de réguler les cycles de bipolarité et permettre aux patients de retrouver une vie normale. Encore une fois, le plus grand défi est de reconnaître la situation et de ne pas se laisser freiner par le déni ou la honte, afin de permettre un traitement le plus rapidement et efficacement possible.

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Quand les enfants sont endeuillés

Si votre enfant perdait un ami, sauriez-vous être à son écoute et répondre à ses questions? Voilà de quoi parle la thérapeute Heather Edwards sur le site PsychologyToday.com.

Elle explique que le processus de deuil des enfants est similaire à celui des adultes et qu’ils doivent comme nous vivre leurs émotions, les comprendre, en parler, etc.

En tant que parents, il peut être dur de voir son enfant vivre une telle tristesse. Que ce soit un camarade de classe, un membre de la famille ou un animal domestique, l’enfant aura grand besoin de soutien et de réconfort.

Mme Edwards souligne l’importance d’expliquer à l’enfant endeuillé qu’il est tout à fait normal de pleurer, que ça fait partie du processus de guérison. Ensuite, vous pouvez aider l’enfant à mieux comprendre ce qu’est la mort en lui répondant franchement, mais avec finesse.

Encouragez l’enfant à se remémorer les beaux souvenirs associés à la personne ou l’animal décédé. Cela lui permettra entre autres de réaliser que même après la mort, une partie reste, en dedans de nous, et que nous pouvons la faire revivre par nos souvenirs.

Finalement, tentez le plus possible de conserver leur routine habituelle; école, repas, devoir et sport. Vous lui offrirez ainsi un sentiment de sécurité et de normalité, chose nécessaire pour un enfant vivant un tel événement.

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Le poids de la culpabilité n’est pas qu’une métaphore

Ressentir le « poids de la culpabilité » relèverait davantage du littéral que de la métaphore, selon ce que rapporte Top Santé, alors que des chercheurs se sont penchés sur les impacts de l’émotion sur l’organisme.

Ainsi, l’équipe de chercheurs de l’Université de Waterloo, en collaboration avec Princeton, qui propose cette nouvelle étude arrive à la conclusion que la culpabilité entraîne une véritable sensation de lourdeur physique, ce qui rendrait plus difficile le quotidien des personnes rongées par les remords.

« Le souvenir des actes répréhensibles conduit les participants à rapporter un accroissement du poids corporel subjectif contrairement au souvenir des actes moraux. Cette corrélation avec le poids s’est faite uniquement pour le sentiment de culpabilité, et non pour d’autres émotions négatives comme la tristesse et le dégoût », explique Martin Day, de Princeton.

Pour en arriver à cette étonnante mais fascinante conclusion, les chercheurs ont effectué quelques tests sur un groupe de 153 sujets, qui ignoraient au moment de l’essai de quel type de test il s’agissait exactement. Ceux placés dans un contexte qui faisait ressurgir leur culpabilité ont ensuite étrangement éprouvé plus de difficulté à réaliser certaines tâches que les autres, confirmant du même coup l’effet de « poids » supplémentaire à porter.

Encore une fois, cette étude démontre l’impact des émotions et de nos gestes sur notre organisme et sur notre avenir, une conclusion qui pourrait permettre à certaines personnes d’y penser à deux fois avant de commettre des gestes regrettables.

Un des chercheurs impliqués dans l’étude déclare d’ailleurs : « L’anticipation de sentiments de culpabilité dans le futur peut aider des individus à éviter de participer à des actes immoraux qui violent leur morale personnelle ».

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Le lien entre la tristesse et la crème glacée démystifié

Vous êtes du genre à bondir vers le pot de crème glacée, par ailleurs délicieux, lorsque vous ressentez de la tristesse ou vivez des émotions négatives? Vous n’êtes pas le seul. Selon le Daily Mail (UK), il ne s’agit cependant pas d’un phénomène aléatoire, loin de là.

Selon les explications proposées par des chercheurs allemands de l’Université de Wuzburg, les gens en détresse émotionnelle (tristesse, peine amoureuse, deuil, lendemain de veille difficile, etc.) verraient leur capacité gustative se modifier.

Ainsi, en ces moments difficiles, les individus seraient moins à même de reconnaître les gras, mais seraient en revanche beaucoup plus sensibles aux produits contenant du sucre.

Pour étayer et prouver cette théorie, les chercheurs ont fait visualiser différentes scènes et mises en contexte à un groupe cible, avant de lui proposer de la nourriture.

Les sujets ayant été mis en contexte d’émotions tristes ou relatives à la négativité ont tous été moins habiles à détecter la présence de gras dans les aliments proposés, mais réagissaient subitement plus efficacement aux aliments sucrés.

Ne soyez donc pas trop inquiet lors de votre prochaine rupture, il semble tout à fait normal de tomber tête première dans la crème glacée! Il s’agit de savoir quand s’arrêter, tout de même…

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Les patients souffrant d’Alzheimer reproduiraient les émotions environnantes

The National Library of Medicine dévoile des conclusions fort intéressantes concernant la maladie d’Alzheimer et comment elle agit sur les patients qui en souffrent sur le plan émotionnel.

Des chercheurs californiens, de UCLA et UCSF, ont constaté que les patients atteints d’Alzheimer avaient tendance à réagir aux émotions environnantes et démontrées par les proches, et à les reproduire.

Ainsi, une personne anxieuse et troublée ne ferait pas bon ménage auprès des personnes atteintes d’Alzheimer, ne faisant que contribuer à un état de confusion et de malaise.

« Le calme appelle le calme », lance le Dr Sam Gandy, spécialiste new-yorkais sur la question.

« C’est la façon dont voyagent les émotions à travers les gens et sans avertissement. Les maladies comme l’Alzheimer et les autres démences accentuent cet effet de contagion émotionnelle », explique Virginia Sturm, de l’Université de San Francisco.

Les chercheurs se disent stupéfaits de constater le lien unique qui unit les êtres humains entre eux, et croient que ces conclusions permettront aux intervenants d’effectuer du meilleur travail auprès des patients.