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Signes précurseurs de maladie mentale chez l’enfant

Puisque du 5 au 11 mai, c’est la Semaine de la santé mentale des enfants, la RBC souhaite communiquer certaines informations cruciales pour les parents. Via son Projet Santé mentale des enfants RBC, voici des comportements sur lesquels on devrait porter attention :

1- Un enfant dont l’humeur et/ou le comportement changent constamment, particulièrement si l’humeur tend toujours vers la tristesse, et que l’enfant fait subir ses instabilités comportementales aux autres. Si sa façon d’agir est inhabituelle, observez-le de plus près.

2- Les enfants comme les adultes vivent des périodes de stress et d’inquiétude. Mais lorsque celles-ci sont trop fréquentes, surtout en ce qui a trait à l’anxiété, et qu’elles perdurent, il faut se poser des questions.

3- Les résultats scolaires peuvent fluctuer au courant de l’année. Mais s’ils chutent soudainement sans raison, il y a lieu de s’inquiéter. La difficulté de concentration peut être à l’origine du problème.

4- Des montagnes russes d’émotions sont également un signe précurseur de troubles mentaux. Lorsqu’elles sont incontrôlables, que la colère et la peur sont exprimées de façon exagérée, et ce, sans raison, ce n’est pas normal.

Sachez que lors du sondage effectué par la RBC, pour près du tiers des répondants, il y avait au moins un enfant atteint de maladie mentale dans leur entourage familial.

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Comprendre et surmonter les crises de colère des enfants

Ce sont des parents qui ont donné leur avis à Parenting Squad. Les crises de colère existent parce que les tout-petits ne savent pas doser l’intensité de leurs réactions. À nous de comprendre ces éclats.

Avant la crise – Sachez reconnaître les catalyseurs. À la base, il s’agit souvent de besoins primaires, comme dormir, manger et boire. Dès que vous reconnaissez un signe, répondez à ce besoin. Vous devez également apprendre à vous connaître. C’est un échange. Si vous ne voulez pas qu’il panique, vous devez vous-même demeurer calme.

Pendant la crise – Respirez plusieurs fois avant de réagir. Vous détacherez plus facilement votre esprit de la montée de vos propres émotions. Laissez les autres penser ce qu’ils veulent. Si vous n’avez pas le contrôle de vos émotions, vous n’arriverez jamais à calmer celles de votre enfant. Concentrez-vous uniquement sur votre enfant, peu importe l’avis des autres. Collez-le, maintenez-le pour éviter qu’il se blesse et, surtout, si vous le pouvez, éloignez-le immédiatement de la source d’irritation.

Après la crise – Analysez ce qui vient de se passer. Tentez de découvrir la source de la crise. Révisez votre réaction et la solution apportée, ainsi que la réponse physique et émotionnelle de votre enfant. En procédant de la sorte, avec le temps, vous saurez exactement quoi faire lors des crises, et votre enfant se calmera de plus en plus rapidement.

Mais surtout, n’oubliez pas, ayez confiance en vous et votre instinct.

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Les humains pourraient éprouver de l’empathie pour… des robots

Santé Log rapporte une étude à saveur psychologique et technologique qui se penche sur une question existentielle.

Les chercheurs allemands qui publient l’étude croient que nous, humains, pourrions ressentir des émotions similaires à l’empathie envers d’éventuels compagnons robotisés, bref, des robots.

Par exemple, l’étude note que si un humain moyen était confronté à des sévices infligés à un robot, celui-ci réagirait probablement de la même façon que si ces agressions survenaient sur un camarade homo sapiens.

Effectuée à l’Université de Duisburg Essen et présentée lors de la conférence de l’International Communication Association de Londres, l’étude soumettait les participants à des mises en situation comme celle décrite plus haut. On analysait ensuite les réactions des sujets par des tests de résonnance magnétique, ce qui aurait clairement démontré des émotions distinctes de la part des sujets humains envers les robots.

« Un des objectifs de la recherche en robotique actuelle est de développer des robots compagnons qui établissent une relation à long terme avec l’utilisateur humain. Nous travaillons à des robots qui pourraient accompagner les personnes âgées ou handicapées dans les tâches quotidiennes, et contribuer ainsi à une autonomie plus longue à domicile », lance l’auteur en chef de l’étude, en conclusion de cette recherche psychologique fascinante.

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Manger sous le coup de l’émotion exposerait au risque de surpoids

Les émotions, ça creuse, a-t-on coutume de dire. Mais manger sous le coup de l’émotion, une réaction plus répandue chez les femmes et chez ceux qui font un régime, peut provoquer du surpoids, selon une étude sur plus de 35 000 adultes français.

L’influence des facteurs psychologiques sur le surpoids et l’obésité est de plus en plus reconnue. Mais, de fait, relativement peu d’informations sont disponibles sur « l’émotionalité alimentaire » (le fait de manger sous le coup de l’émotion) et son association avec le surpoids, selon la chercheuse Sandrine Péneau qui s’est penchée sur le sujet.

Elle a, avec ses collègues, interrogé par questionnaire un échantillon de 35 641 adultes français participant à l’étude NutriNet-Santé qui regroupe plus de 244 000 internautes.

Les femmes (52 %) ont davantage tendance à manger sous le coup de l’émotion que les hommes (20 %), selon l’étude mise en ligne par l’American Journal of Clinical Nutrition.

Dans l’ensemble, les gens au régime ont davantage tendance à manger sous le coup de l’émotion (71 %) que ceux qui ont fait un régime par le passé (58 %) ou les personnes qui disent n’avoir jamais fait de régime amaigrissant (35 %).

Le questionnaire a permis de mesurer la tendance à manger sous le coup d’émotions négatives (se sentir seul, nerveux, déprimé). Toutefois, même si celles qui n’ont jamais fait de régime sont moins nombreuses à manger sous le coup de l’émotion, celles qui le font sont bien plus souvent en surpoids.

« Ainsi, parmi les femmes qui n’ont jamais fait de régime, celles qui ont une forte “émotionalité alimentaire” ont cinq fois plus de risque d’être en surpoids en comparaison de celles qui ne mangent jamais sous le coup de l’émotion », indique à l’AFP la chercheuse Sandrine Péneau.

Chez les femmes ayant déjà fait un régime, le risque est 3 fois plus élevé, et chez celles sous régime, le risque est 2,6 fois élevé.

L’association entre surpoids et « émotionalité alimentaire » s’observe également chez les hommes, mais sans grande différence selon qu’ils fassent ou non un régime amaigrissant. Le risque d’être en surpoids est ainsi environ 2 fois plus élevé chez les hommes déclarant manger fréquemment sous le coup de l’émotion, par rapport à ceux qui affirment que ce n’est jamais le cas.

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Les débats virtuels ne feraient que vous rendre plus amer et colérique

Un sujet chaud de l’actualité vous touche et vous fait réagir? Vous lisez un article ou un commentaire sur la Toile et vous vous devez de répondre, mais vous devriez peut-être lire ce qui suit avant de passer à l’acte.

Selon deux nouvelles études, rapporte The National Library of Medicine, les débats virtuels sur le web n’apportent que très peu de satisfaction au final. En fait, ces échanges ont beaucoup plus de chance de vous rendre plus amer et colérique que de vous soulager.

La première étude allègue que la plupart des commentateurs virtuels affirment ressentir un sentiment positif juste après avoir publié une opinion, mais qu’ils se sentent davantage frustrés et en colère à long terme. De plus, il arrive souvent que l’on s’exprime mal sous le coup de la passion ou de la colère, ce qui peut mener à des regrets.

La deuxième étude pousse plus loin l’aspect psychologique de la chose, affirmant que lire et écrire des commentaires négatifs sur la Toile est un comportement associé à des changements d’humeur négatifs.

Ces récentes recherches, publiées dans le Cyberpsychology, Behavior, and Social Networking par des chercheurs de l’Université de Wisconsin-Green Bay, concluent que plusieurs comportements du genre sur le web dénotent un sentiment d’exclusion, d’impuissance ou de frustration de la part des internautes concernés.

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Création de la première carte de l’intelligence émotionnelle humaine

Il s’agit d’une première : des chercheurs ont finalisé ce qui s’avère être une carte détaillée de l’intelligence émotionnelle chez l’humain, annonce The National Library of Medicine.

C’est en fait une carte des régions du cerveau qui abrite et provoque les réactions liées à cette intelligence, l’intelligence émotionnelle, et les chercheurs se sont basés sur des analyses effectuées sur des vétérans de la guerre pour y parvenir.

Ainsi, 152 vétérans aux prises avec différents types de blessures à la tête et au cerveau ont été soumis à des tests afin de déterminer les différences entre certains types d’intelligence.

Les spécialistes en tête de l’étude ont constaté que l’intelligence « classique » et l’intelligence émotionnelle sont souvent intrinsèquement liées, et qu’elles se « croisent » parfois lors de leurs réactions.

L’auteur principal de l’étude, Aron Barbey, explique : « Historiquement, nous croyions que l’intelligence générale était distincte de l’intelligence émotionnelle. Nous savons maintenant que des régions spécifiques du cerveau servent aux deux types d’intelligence, et que certaines blessures peuvent affecter certains aspects spécifiques de l’une ou l’autre, ou des deux ».

« Ce groupe de patients était remarquable, car il nous a permis de déterminer le degré de dommages nécessaires pour brimer le travail de ces réactions (intelligence émotionnelle et générale). »

Le Dr Barbey croit que ces découvertes permettront de meilleurs traitements dans le domaine neurologique.

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Les émotions au service de la minceur

Top Santé rapporte une étude-sondage effectuée auprès de la population et de psychologues, qui explique que l’aspect émotionnel serait beaucoup plus important que l’on croit en matière de perte ou de prise de poids.

Pour contrôler son poids, on sait depuis longtemps qu’il faut manger moins et bouger plus. Les experts ne remettent aucunement en question cet état de fait, mais pensent que l’on doit également faire entrer la variable émotionnelle dans l’équation.

Ainsi, si vous respectez à la lettre les recommandations nutritionnelles et faites de l’exercice, mais que vous ne semblez pas arriver aux résultats escomptés, il se pourrait que vos émotions soient responsables.

Les répondants au sondage, professionnels ou non, affirment tous croire que les émotions jouent un rôle dans la perte ou la prise de poids, que ce soit pour le contrôle de soi (sur l’alimentation) ou encore la réaction éventuelle de l’organisme face à vos actions.

On suggère donc fortement aux gens qui veulent se mettre au régime ou changer radicalement de style de vie de consulter un spécialiste, un psychologue, afin de les aider dans leurs démarches.

Se faire aider par ses proches (encouragements, coaching, discipline) semble aussi être une technique qui porte des fruits.

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Chialer serait bon pour votre santé

Voici une étude qui en fera rigoler plus d’un et qui donnera des munitions aux personnes qui aiment bien maugréer, ruminer, chialer, bref, exprimer leur mécontentement.

C’est que selon ce que rapporte topsante.com, exprimer ses émotions négatives et ses humeurs maussades serait excellent pour la santé.

Plus question de dire à ces personnes de cesser ce comportement, hélas! Plus encore qu’un simple truc santé, toujours selon l’étude allemande, ce comportement pourrait même être l’une des raisons qui expliquent la longévité accrue des Italiens et des Espagnols!

Ces peuples sont reconnus pour être plus extravertis, critiques, bref, avec le sang chaud. Le fait qu’ils émettent leurs opinions et émotions à voix haute serait excellent pour l’organisme, qui ne réprime pas de « mauvaise énergie ».

Cette étude vient corroborer plusieurs théories qui prétendent que le secret d’une longue vie en santé passe par la façon de gérer ses émotions, dont le stress.

Une autre étude rapportait même que les gens qui ne mentent pas ont une durée de vie plus grande! Alors, si vous êtes du genre à dire « oui » quand vous voulez dire « non », ou que vous réprimez vos émotions négatives, il serait sûrement temps de vous exprimer!

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L’impact de la méditation sur les émotions défini dans une étude

La méditation est vantée depuis des lunes, mais demeure un phénomène marginal, une méthode appliquée par un faible pourcentage de la population.

Souvent faussement identifiée comme étant de la « charlatanerie » ou encore stigmatisée comme un « comportement ésotérique », la méditation a pourtant de nombreux adeptes qui connaissent très bien ses bienfaits.

La communauté scientifique semble en voie de consolider les vertus de cette pratique, alors que quelques études commencent à sortir sur le sujet.

C’est le cas de celle publiée dans les Frontiers in Human Neuroscience, selon ce que rapporte santelog.com.

Ces recherches démontrent que les impacts de la méditation sur le cerveau ainsi que sur les émotions sont majeurs. On parle même d’effet durable sur la structure du cerveau!

Les participants de l’étude ont suivi un programme de huit semaines qui incluait bien sûr des séances de méditation. Les chercheurs du Massachusetts General Hospital (MGH) de l’Université de Boston ont utilisé l’imagerie par résonance magnétique pour constater les effets tangibles et physiques sur le cerveau.

Ainsi, les effets sont non seulement remarquables, mais il appert que les émotions en sont aussi affectées, même lorsque les patients ne méditaient plus ou étaient « hors méditation ».

De l’avis même des chercheurs de l’étude, c’est peut-être la première fois que de tels liens sont scientifiquement prouvés.

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Trucs pour éviter de manger ses émotions

Le phénomène qui implique de « manger ses émotions », ou stress eating, est de plus en plus répandu.

D’abord parce que le stress est omniprésent dans notre style de vie moderne, tout comme la nourriture, et pas toujours la bonne.

Lanutrition.fr rapporte les propos de Susan Albers, une psychologue américaine qui tente d’aider les femmes (plus touchées par ce phénomène) à contrer les troubles alimentaires liés au stress et aux émotions.

D’abord, elle suggère d’éviter d’embouteiller ses émotions. Il faut les affronter, les avouer et les évacuer. Écrire ce que l’on ressent sur papier s’avère un excellent truc, selon la psychologue.

Ensuite, prenez le temps de cerner les niveaux d’intensité de vos émotions et de réfléchir à comment vous pourriez les ramener à un niveau inférieur. Par exemple, elle suggère d’utiliser une échelle de 0 à 20. Situez votre émotion (exemple : 17/20), puis réfléchissez à comment il serait possible de la ramener à 10.

En terminant, on explique de ne plus essayer de lutter contre les émotions ressenties et de laisser aller vos pensées comme elles arrivent. En combattant, on emprunte une voie qui mène inévitablement à la perte de contrôle… et peut-être au pot de crème glacée!