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Alex Killorn a vécu un match émotionnel

Le Lightning de Tampa Bay a perdu en première ronde face aux Maple Leafs de Toronto. Les Leafs l’ont ainsi remporté en 6 matchs. 

Toutefois, pour l’attaquant Alex Killorn, ce match fut émouvant. En effet, ses jours semblent être comptés à Tampa, alors qu’il sera un agent libre sans restriction le 1er juillet prochain.

Pourtant, cette saison, Killer a connu sa meilleure saison en carrière à l’âge de 33 ans. Effectivement, en 82 matchs, il a récolté 27 buts et 37 mentions d’aide pour un total de 37 points. Lors de la première ronde contre les Leafs, Killorn a accumulé 3 buts et 2 mentions d’aide pour 5 points en 6 matchs joués.

Comme le rapporte Erik Erlendsson après le match du Lightning, Killorn est demeuré de nombreuses minutes à sa place dans le vestiaire. Il est le joueur du Lightning qui est resté le plus longtemps avec l’équipe, lui qui est dans l’organisation depuis 2007. Il sait très bien que son temps avec le Lightning a tiré à sa fin à moins qu’il prenne une considérable baisse de salaire.

En fait, le Lightning ne possède pas vraiment de place sous le cap salarial afin de conserver les services de Killorn à moins que celui-ci accepte un contrat à une somme modique. Sa réaction suite au match semble indiquer qu’il y aura peut-être un changement d’air dans son cas.

Killorn avait été un choix de 3e ronde (77e au total) du Lightning en 2007. En carrière avec Tampa, il a récolté 198 buts et 268 mentions d’aide pour un total de 466 points en 805 rencontres. Il a également disputé 140 matchs de séries éliminatoires récoltant au passage 77 points, dont 37 buts. Il a pris part à quatre finales avec le Lightning en plus de remporter deux coupes Stanley. 

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Une excellente nouvelle pour la santé mentale des adolescents

Il s’agit d’une excellente nouvelle, selon le psychiatre David Axelson. Cependant, il faudrait valider qu’ils en reçoivent tous, et que l’aide soit appropriée au degré de sévérité du trouble de santé mentale.

Selon livescience.com, on estime que 6 % de tous les adolescents de 12 à 17 ans sont atteints de troubles de santé mentale.

Dans le plus récent rapport fourni par les Centers for Disease Control and Prevention (CDC), entre 2010 et 2012, on a vérifié les interventions sans médication. Cela signifie des thérapies de toutes sortes fournies à l’école, en centre pour enfants, en clinique, à la maison ou ailleurs. Ils incluent également les programmes scolaires adaptés.

Il s’est avéré que plus des deux tiers des adolescents avaient eu recours à une aide psychologique. « Il existe une panoplie de services alternatifs à la médication », affirme Axelson, « alors il est important de s’assurer que les adolescents les reçoivent ».

Un trouble sévère peut néanmoins nécessiter une combinaison à de la médication. Mais avant toute chose, Axelson insiste sur le fait que la thérapie doit absolument faire partie du processus.

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La loi de Cendrillon établie pour protéger les enfants au Royaume-Uni

Female First mentionne que cette loi se rapporte au conte de Disney, selon lequel Cendrillon est « l’enfant oubliée et négligée ». Désormais, les parents qui causeront des dommages intellectuels, émotionnels, sociaux ou en ce qui a trait au développement comportemental seront accusés au criminel.

La sentence maximum pour négligence de l’enfant pourra atteindre 10 ans d’emprisonnement.

La nouvelle législation sera officialisée lors du discours de la Reine, prévu en juin prochain. Ce changement répond à une campagne effectuée par la fondation Action for Children.

Sir Tony Hawkhead, dirigeant de la fondation, a déclaré à BBC que la loi de Cendrillon représentait « un pas en avant monumental pour des milliers d’enfants ». Les membres de cet organisme critiquaient l’archaïsme de la charte des droits des enfants, dont le contenu remontait à plus de 80 ans.

Le Daily Mail rapporte que le premier ministre David Cameron est d’avis que « rien n’est plus important que la protection des enfants ». Cependant, de nombreux citoyens ne croient pas en l’efficacité de ces nouvelles mesures.

On estime que 1,5 million d’enfants britanniques sont victimes de négligence.

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Comment savoir si votre adolescent consomme de la drogue

La pression des pairs est un déclencheur fréquent chez les adolescents. She Knows vous donne des indices précis pour reconnaître les signes et symptômes reliés à l’utilisation de drogues.

On parle surtout de marijuana, de médicaments sans prescription, d’ecstasy et son dérivé, MDMA (Molly), des hallucinogènes, des sels de bain et même d’héroïne et de cocaïne.

Les signes physiques
– Yeux rouges
– Hématomes inexplicables
– Difficulté à parler
– Changements soudains de l’apparence ou du poids
– Fatigue anormale ou changement dans la routine de sommeil
– Toux persistante
 
Les changements sociaux
– Manque d’intérêt pour des activités appréciées
– Nouveau groupe d’amis
– Mauvaises notes à l’école et absentéisme
– Évitement du contact visuel
– Sorties tard le soir ou absence prolongée
– Agressivité lorsque le parent pose des questions sur le changement de comportement
 
Les symptômes émotionnels
– Agressivité anormale ou confrontation envers l’autorité
– Dépression ou retrait de la vie sociale
– Irritabilité
– Manque de jugement

Même si l’adolescence apporte de grands changements chez l’individu, vous connaissez vos enfants. Si des changements trop soudains surviennent, consultez un spécialiste, à l’école ou au CLSC, pour trouver des ressources pour répondre à vos questions.

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Que faire lorsque le père de votre enfant représente un danger?

Il se peut que vous soyez encore en couple avec ce dernier ou séparée. Dans l’une ou l’autre des situations, il faut déterminer ce qui est dangereux, rapporte She Knows. Ils ont rencontré le thérapeute Dr David Simonsen.

Un mauvais parent est quelqu’un qui, d’une façon ou d’une autre, met la sécurité de l’enfant en péril.

Danger physique – Une action rapide doit être prise si le père de l’enfant le néglige physiquement ou, au contraire, s’il y a abus physique pour la discipline.

Danger émotionnel et mental – Si l’enfant est manipulé émotionnellement, il est aussi important d’intervenir. L’abus émotionnel peut causer des dommages importants à long terme. Si le père traite l’enfant de noms (imbécile, attardé, etc.) ou s’il le menace ou lui fait du chantage, il faut faire cesser ces agissements.

Danger sexuel – On ne parle pas d’agression sexuelle, mais plutôt de la perception de l’enfant face à la sexualité. Si le père a de nombreuses conquêtes et que l’enfant est témoin de rapports inappropriés, ou qu’il sert de confident sur les troubles amoureux du père, cela représente un danger.

Dans tous les cas, si vous vous sentez incapable de régler la situation seule, demandez de l’aide à quelqu’un qui connaît bien le père ou encore à un avocat, en dernier recours.

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Un verre de vin par semaine : avantageux pour la femme enceinte

L’auteure principale de l’étude, Janni Niclasen, de l’Université de Copenhague, a fait participer 100 000 femmes enceintes du Danemark. Bien que les résultats ne soient pas une incitation à prendre de l’alcool pendant la grossesse, il appert que la causalité entre l’alcool et le bon comportement chez les enfants est indéniable.

Selon Science World Report, les participantes étaient interrogées sur leurs habitudes de consommation d’alcool deux fois pendant la grossesse, puis les mères étaient interrogées lorsque l’enfant avait 6 mois, et à nouveau lorsqu’il était âgé de 7 ans.

« Mon étude démontre, entre autres choses, que les enfants de mères qui avaient bu de petites quantités d’alcool (90 unités ou plus) pendant la grossesse démontraient de meilleurs résultats comportementaux et émotionnels à l’âge de 7 ans. Ceci comparativement aux enfants de mères qui n’avaient pas du tout consommé d’alcool pendant la grossesse », rapporte Niclasen dans un communiqué.

Bien entendu, cela ne se veut pas un encouragement à consommer pendant que la femme est enceinte. La recherche a également démontré que les femmes qui buvaient de l’alcool étaient plus éduquées et avaient de meilleures habitudes de vie.

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La dépression du parent peut se transmettre au bébé

La recherche a été menée par des spécialistes de l’University of Exeter et vise une meilleure intervention auprès des parents aux prises avec les symptômes de la dépression.

L’amalgame des résultats de cette étude, qui rassemble de nombreuses recherches précédentes sur le sujet, dévoile que l’un des facteurs principaux des difficultés parentales est la dépression.

En résumé, un parent dépressif, et donc émotionnellement en détresse, n’est pas en mesure d’être à l’écoute de ses enfants. Il développe, en plus, un fort sentiment de honte et de culpabilité, et souvent, il évite d’en parler.

Selon scienceworldreport, l’un des symptômes de la dépression est relié à des problèmes de mémoire. Par conséquent, le parent a de la difficulté à établir des objectifs de développement pour son enfant, en plus de risquer que celui-ci, par manque d’interaction, glisse aussi vers la déprime.

Le Dr Lamprini s’est exprimé dans un communiqué : « Ces nouvelles données aideront à déterminer la voie à suivre pour les recherches subséquentes, afin d’intervenir plus adéquatement auprès des parents en difficulté ».

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La suce retarderait le développement des garçons

En fait, les suces empêchent les petits garçons d’essayer des expressions faciales durant leur enfance. La même utilisation de la suce chez les fillettes n’a cependant pas eu le même effet.

« Ce travail nous a menés à penser aux périodes de développement émotionnel critiques, comme l’enfance. […] Et si vous aviez toujours quelque chose dans la bouche qui vous empêchait d’imiter et de comprendre l’expression faciale de quelqu’un », explique l’auteure principale de la recherche, Paula Niedenthal.

Les chercheurs ont découvert que les garçons de 6 à 7 ans qui avaient eu une suce dans la bouche plus longtemps étaient moins susceptibles d’imiter les expressions émotionnelles présentées dans une vidéo.

Les experts encouragent donc les parents de petits garçons à les stimuler émotionnellement par d’autres moyens et de ne pas leur mettre une suce dans la bouche inutilement.

Rappelons que de faire abandonner la suce à votre enfant peut être difficile. Quelques trucs peuvent l’aider à faire la transition sans trop de problèmes.

Par exemple, on peut l’attacher à un ballon d’hélium et raconter que la suce s’en va explorer l’Espace ou qu’elle déménage sur un nuage.

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Parler plus d’une langue serait bénéfique pour les enfants

Selon une analyse de ces chercheurs, publiée dans Perspective on Psychological Science, la langue que les parents emploient pour exprimer leurs émotions peut avoir un impact assez important sur la compréhension des émotions chez l’enfant.

En fait, les parents sont pour leurs enfants des modèles, même quand vient le temps de comprendre les émotions. En les observant, les enfants comprennent comment les formuler.

Les experts soutiennent aussi que l’utilisation d’une langue plutôt qu’une autre pourrait aider l’enfant à mieux comprendre certaines émotions. Par exemple, si une mère d’origine finnoise (Finlande) bilingue dit à ses enfants qu’elle les aime, elle le dira en anglais puisque les Finnois n’ont pas l’habitude de parler de leurs émotions.

De plus, un enfant pourrait apprendre à réguler ses émotions et à mieux les exprimer en parlant plus d’une langue.

Rappelons que selon le site Parents.com, les langues que vos enfants devraient apprendre sont l’espagnol, le mandarin chinois, l’italien et l’allemand.

Crédit photo : FreeDigitalPhotos.net