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L’Alzheimer efface la mémoire, mais pas les émotions

« Cela confirme que la vie émotionnelle d’un patient souffrant d’Alzheimer est vivante et fonctionnelle », affirme Edmarie Guzman-Vélez, un étudiant en psychologie responsable de l’étude.

Pour en arriver à cette conclusion, 17 patients atteints de la maladie dégénérative ainsi que 17 personnes en parfaite santé ont été comparés sur une base émotionnelle.

Les deux groupes ont visionné 20 minutes de films tristes ou joyeux. Ces vidéos, peu importe si la personne appartenait à un groupe ou l’autre, ont déclenché des larmes ou des rires, tel qu’attendu.

En interrogeant les participants sur ce qu’ils venaient de voir, informe Science World Report, ceux souffrant d’Alzheimer avaient bien entendu moins de souvenirs. Néanmoins, leurs émotions étaient aussi vives que celles des participants en santé, même s’ils ne se rappelaient pas pour quelle raison.

Pour Guzman-Vélez, cela constitue une preuve que « les soins prodigués par les intervenants et leurs petites attentions comptent réellement ».

L’étude se retrouve dans la revue scientifique Cognitive and Behavioral Neurology.

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L’Alzheimer efface la mémoire, mais pas les émotions

« Cela confirme que la vie émotionnelle d’un patient souffrant d’Alzheimer est vivante et fonctionnelle », affirme Edmarie Guzman-Vélez, un étudiant en psychologie responsable de l’étude.

Pour en arriver à cette conclusion, 17 patients atteints de la maladie dégénérative ainsi que 17 personnes en parfaite santé ont été comparés sur une base émotionnelle.

Les deux groupes ont visionné 20 minutes de films tristes ou joyeux. Ces vidéos, peu importe si la personne appartenait à un groupe ou l’autre, ont déclenché des larmes ou des rires, tel qu’attendu.

En interrogeant les participants sur ce qu’ils venaient de voir, informe Science World Report, ceux souffrant d’Alzheimer avaient bien entendu moins de souvenirs. Néanmoins, leurs émotions étaient aussi vives que celles des participants en santé, même s’ils ne se rappelaient pas pour quelle raison.

Pour Guzman-Vélez, cela constitue une preuve que « les soins prodigués par les intervenants et leurs petites attentions comptent réellement ».

L’étude se retrouve dans la revue scientifique Cognitive and Behavioral Neurology.

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Bientôt on modifiera artificiellement vos émotions

Des chercheurs rapportent que c’est à l’aide du xénon, un gaz servant à l’anesthésie, qu’on pourrait faire en sorte que les souvenirs traumatisants soient oubliés.

Science World Report mentionne que les experts souhaitent remplacer la mémoire de certains événements, en grande partie pour traiter toute forme de dépression, par des souvenirs positifs. La recherche a été publiée, entre autres, dans la revue PLOS ONE.

En psychiatrie, on essaie de faire rappeler aux patients des souvenirs positifs pour remplacer ceux qui sont associés à un traumatisme, rapporte Health Day. Cette méthode réduit l’effet du mauvais souvenir.

Dans le cas présent, on stimule volontairement une partie du cerveau, le gyrus dentelé, afin d’inverser des émotions reliées à un souvenir. Le tout a été testé sur des souris, à l’aide d’un implant de fibre optique au niveau du cerveau, et les résultats se sont avérés très concluants.

Les scientifiques espèrent réaliser le même exploit, apparemment avec le gaz anesthésiant, sur les humains souffrant de divers troubles mentaux.

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La fausse-couche fait mal également aux hommes

La fausse-couche est un événement douloureux pour le couple. Cependant, la société semble beaucoup plus concernée par le malheur des femmes et semble « oublier » les hommes dans cette épreuve, explique Famili.

Une étude britannique de l’association Miscarring, effectuée par des chercheurs de l’University College de Londres, a permis de constater que parmi les hommes interrogés qui avaient vécu la perte d’un futur enfant, 160 ont eu de la difficulté à partager leurs réelles émotions, et cela même avec leur propre conjointe.

Plusieurs ont donné pour raison que puisqu’ils ne portaient pas le bébé, ils s’interrogeaient à savoir s’ils avaient droit de ressentir autant de douleur et de peine que la mère. Pourtant, la majorité a eu des problèmes à la suite d’une fausse-couche. Les troubles du sommeil ont affecté 47 % des répondants, et 58 % ont confirmé avoir eu des problèmes importants de concentration en pensant trop souvent au douloureux souvenir.

22 % d’entre eux ont eu l’impression d’être « invisibles ». Ils témoignaient que les proches du couple s’inquiétaient et demandaient plus souvent des nouvelles de la femme plutôt que d’eux. Le même sentiment a été vécu également auprès du personnel soignant et des professionnels de la santé, qui se penchent sur le cas des femmes.

Des campagnes de sensibilisation devraient être développées pour soutenir ces hommes pense la Miscarring Association, qui vient de lancer Partners too, un projet dédié aux hommes qui vivent une fausse-couche.

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Les émotions expliquées simplement

En réalité, comme le rapporte Science World Report, nos émotions sont le résultat de l’activation de zones spécifiques du cerveau, sans plus.

Pour en arriver à cette conclusion, les experts ont présenté à des volontaires une série d’images et de goûts pendant que leur cerveau était analysé par neuroimagerie. On leur demandait ensuite de décrire leur expérience en surveillant les schémas d’activation du cerveau reliés aux émotions.

Dans un communiqué, l’un des chercheurs, Adam Anderson, explique qu’ils ont observé le fonctionnement du cortex orbitofrontal, « une région du cerveau associée à la transformation émotionnelle ». Les capteurs « agissent comme un code neural qui capte le sentiment subjectif d’un individu ».

Anderson a ajouté : « Il semble que le cerveau humain génère un code spécial pour l’ensemble de l’éventail des sentiments, plaisants ou non, bons ou mauvais ».

Les spécialistes ont réalisé que les schémas étaient similaires pour les mêmes émotions chez les différents individus, ce qui suggère qu’en réalité, nous avons un « code standard » de langage émotionnel.

Les recherches ont été publiées dans la revue Nature Neuroscience.

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Comment aider nos enfants à gérer de grosses émotions?

Comme l’indique Christine Carter, sociologue au UC Berkeley’s Greater Good Science Center, on peut aider nos enfants, mais pas à n’importe quel prix.

Sur le site Raising happiness, elle explique que lorsqu’on répond au sentiment de panique de nos enfants en les retirant de la situation ou en les empêchant de vivre leurs propres émotions, on nuit à leur développement. Il faut plutôt les aider à les vivre pleinement, en commençant par dialoguer et les aider à mettre des mots sur leurs sentiments.

Sinon, comme le mentionne Carter, nous transmettons les mauvais messages :

– C’est terrible de ressentir des émotions si négatives – Ce qui est faux, puisque votre enfant DOIT vivre ses propres expériences et émotions et en ressortir grandi.

– Tu es incapable de gérer tes difficultés émotionnelles – Malheureusement, si vous êtes toujours le sauveur, il s’agit d’une affirmation réaliste… dont vous êtes responsable.

– Tu as le droit de vivre une vie sans obstacle ni difficulté – Une idée pernicieuse, bien que souvent inconsciente, que nous véhiculons en « sauvant » nos enfants des « mauvaises expériences ».

Il est donc important de discuter et de faire comprendre aux enfants que nous traversons tous des périodes émotionnelles difficiles, et qu’elles sont nécessaires à notre apprentissage de la vie.

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Même à 18 mois les enfants détectent les variations émotives

Ce sont deux spécialistes à l’Université de Concordia, Sabrina Chiarella et la professeure en psychologie Diane Poulin-Dubois, qui ont mené la recherche.

Dans un communiqué de presse, Diane Poulin-Dubois explique le résultat de leur étude : « Nous démontrons que les bébés ne sont pas dupes. Impossible de leur faire croire que ce qui crée de la douleur est plaisant. Les adultes tentent souvent de protéger les jeunes enfants de la détresse en affichant un sourire rassurant. Mais dès 18 mois, les enfants comprennent que l’expression faciale ne représente pas la réalité ».

La stratégie utilisée consistait à faire visualiser différentes situations à l’écran, avec des acteurs qui affichaient des émotions contradictoires en lien avec l’événement. Selon Science World Report, les chercheurs ont rapidement découvert une différence notable entre les enfants de 15 mois et ceux de 18 mois.

En effet, les enfants de 18 mois cherchaient fréquemment une référence émotive auprès de l’adulte en leur présence. De cette façon, ils validaient leur propre interprétation de la contradiction qu’ils notaient à l’écran.

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Un concept du bouddhisme pour aider les ado à vaincre le stress

Le principe veut que l’on rapatrie toute son attention vers le moment présent, pour être pleinement conscient, en éliminant toute source de distraction environnante. Une pratique qui nécessite une discipline régulière.

Cependant, une recherche effectuée à l’Université de Santa Barbara, en Californie, rapporte que les adolescents pourraient grandement profiter de cette approche psychologique pour améliorer leurs résultats scolaires et diminuer l’anxiété.

Des adolescents se sont prêtés à l’expérience et ont participé à 2 semaines d’entraînement à la « méditation consciente ». Par la suite, ils ont passé des examens de haut niveau et ont mieux réussi que leurs collègues qui n’avaient pas profité de l’entraînement.

« Aujourd’hui, les préadolescents et adolescents vivent dans une culture où de toute évidence, nous célébrons le multitâche », mentionne John McGrail, médecin qui a travaillé sur l’étude. C’est d’ailleurs ce surplus d’information avec lequel le cerveau jongle qui représente un danger.

Comme l’indique SheKnows, Stefanie Goldstein et son époux, tous deux spécialistes, ont monté un programme intitulé CALM, qui applique la méthode dont il est question. L’objectif (qui réussit très bien) vise à aider les jeunes à gérer le stress, la déception, les changements importants d’émotions, et tout ça, en se concentrant sur la pleine conscience du moment présent.

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Éduquer un enfant sans exploser de colère

Selon les chercheurs, les tout-petits peuvent avoir besoin d’être « corrigés » ou remis dans le droit chemin toutes les 6 à 9 minutes.

C’est normal, à un moment, d’être à bout et de crier après nos enfants. Surtout si l’on manque de sommeil, si on ne s’alimente pas bien, qu’on ne bouge pas, ou encore que notre vie sociale a perdu de sa dorure. Pour éviter de crier à tue-tête ou pire, de lever la main sur vos enfants, essayez ces trucs simples, suggérés par Psychology Today.

1- Tapez fort dans vos mains – Il se peut que ce geste fige momentanément la scène conflictuelle et vous permette de respirer plutôt que de vouloir faire du mal à votre enfant.

2- Retardez votre intervention – En comptant jusqu’à 10, en buvant un verre d’eau ou même en suçant un glaçon. Un temps d’arrêt qui peut vous aider à reprendre votre sang-froid.

3- Éloignez-vous du conflit – Si ce n’est toujours pas suffisant, retirez-vous de la pièce, sortez dehors, trouvez un endroit calme ou nettoyez la salle de bain, pourquoi pas? L’objectif, c’est de vider votre esprit. Il faut éviter de ruminer négativement pendant cet exercice.

4- Sortez de la maison – Surprenez votre ou vos enfants. Amenez-les immédiatement faire une marche ou sortez-les simplement dans la cour. Même un tour en voiture peut faire. Le changement brutal de contexte risque fort bien de vous redonner l’attention de vos enfants.

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Changer le comportement d’un enfant au tempérament difficile

Ces enfants, que l’on voit souvent en crise hystérique ou colérique en plein centre commercial, souffrent souvent de désordres émotionnels. Par exemple, le trouble oppositionnel avec provocation (TOP), le trouble de déficit de l’attention avec hyperactivité (TDAH) ou encore le trouble des conduites.

Or, Psychology Today rapporte que ces comportements seraient modifiables. Il s’agit de diminuer les attitudes négatives et d’augmenter les agissements positifs, à l’aide de la thérapie comportementale nommée ABC method (Antecedents, Behaviors, Consequences). Celle-ci se base sur la compréhension de tels comportements, en vérifiant les antécédents, le comportement inapproprié et ses conséquences.

Tout d’abord, pour en arriver à cette solution, il faut que le parent cesse de culpabiliser en croyant qu’il est un mauvais père ou une mauvaise mère. Ensuite, il faut mettre en œuvre une routine stricte.

– Axer sur le positivisme (renforcement) auprès de l’enfant. Félicitez-le, gâtez-le, embrassez-le, dites-le haut et fort devant d’autres gens, afin qu’il sache que vous êtes fier de lui.

– Soyez conforme aux conséquences associées à TOUS ses comportements inappropriés. Rappelez-vous que les enfants jouent souvent « aux dés ». Ils testent nos limites. S’ils voient que vous cédez, les choses iront en se dégradant.

– Le sommeil… encore une fois. La routine de sommeil est très importante. Reportez-vous simplement à votre propre comportement lorsque vous manquez de sommeil. Un enfant ne contrôle pas bien ses émotions. S’il est fatigué, les mauvais plis ressortiront d’autant plus.

Mais n’oubliez pas de consulter un spécialiste si la situation ne s’améliore pas.