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Laissez de côté la compétitivité au profit de la générosité

Parenting Squad émet ses réserves quant à l’esprit de compétition que certains enfants développent, habituellement fortement encouragé par les parents.

Cette semaine, du 10 au 16 février, c’est la semaine de la générosité (Random Acts of Kindness), qui encourage les gestes de partage, de compassion et d’empathie.

Voici quelques suggestions pour initier votre enfant à la générosité.

– Encouragez vos enfants à partager – leur jouets, collations, livres, vieux vêtements et même leurs connaissances.

– Apprenez-leur les rudiments de la générosité par des gestes simples : ouvrir la porte à un étranger, céder sa place à une personne âgée dans l’autobus, laisser passer quelqu’un devant soi à la caisse.

– Enseignez-leur à ensoleiller la journée de quelqu’un : en faisant un compliment, en demandant comment la personne va, en lui faisant un câlin si elle a besoin de réconfort, ou même en lui souriant.

Vous trouverez d’autres idées intéressantes sur le site de Random Acts of Kindness.

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L’impact de la nouvelle génération de jeux vidéo sur la santé

Les jeux vidéo progressent à un rythme impressionnant en termes de qualité, de réalisme et de potentiel d’immersion, déchaînant les passions chez les fans, mais aussi les inquiétudes chez certains spécialistes de la santé.

C’est le cas d’une équipe de chercheurs australiens, rapporte le Daily Mail (UK), qui publient leurs conclusions en la matière, à savoir les impacts de ces jeux hyper réalistes et immersifs sur la santé et les facultés de ceux qui y jouent.

On n’a qu’à penser au nouveau Grand Theft Auto V et surtout à son révolutionnaire mode en ligne, qui permet de vivre dans un véritable monde parallèle, truffé de violence et d’humour noir.

En analysant les comportements et réactions de joueurs intensifs, en utilisant par exemple des tests psychologiques, des tests de résistance à la douleur et des mises en situation, les chercheurs australiens constatent une désensibilisation marquée chez ceux-ci.

Les sujets de l’étude ont presque tous démontré une perte d’intérêt envers leur propre corps, et donc des symptômes d’une maladie probable ou encore de la fatigue ou d’une perte de moral. De plus, on remarque une baisse considérable d’empathie et de la qualité de leurs relations avec les autres, un peu comme si les jeux vidéo immersifs et la vie par procuration qu’ils suggèrent s’avéraient « suffisante ».

Ces révélations peuvent s’avérer inquiétantes pour l’avenir, mais un joueur averti en vaut deux, et plusieurs gamers sauront sans doute faire la part des choses lorsqu’ils auront conscience du phénomène, notamment grâce à ce genre de recherches.

Plusieurs études précédentes ont par ailleurs démontré des bienfaits évidents découlant de l’utilisation des jeux vidéo, notamment sur le cerveau et les fonctions cognitives.

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Le cerveau d’un psychopathe démystifié

Des chercheurs ont tenté de définir pourquoi une personne qualifiée comme psychopathe ne ressent pas d’empathie comme le commun de ses homologues humains.

The National Library of Medicine rapporte les résultats de cette recherche, qui s’est effectuée en milieu carcéral auprès de 121 détenus volontaires.

Se déroulant dans une prison à sécurité modérée des États-Unis, les analyses ont été effectuées sous forme de tests par résonnance magnétique, qui cherchaient à définir le type de réponse observable au cerveau des sujets, lorsque ceux-ci étaient placés devant diverses situations imaginaires.

En plaçant des photographies dures et décrivant de la douleur humaine physique devant les sujets, les chercheurs pouvaient ensuite définir quelles zones du cerveau s’activaient, selon les circonstances.

Il est troublant de constater, dans le rapport publié dans le Frontiers in Human Neuroscience, que les détenus diagnostiqués comme psychopathes ne réagissent pas de la même façon qu’un humain considéré comme « normal », mais plutôt de la même façon que lorsqu’ils sont placés en situation positive ou de récompense!

Ces résultats démontrent non seulement la véracité des théories précédemment avancées, mais pourraient également permettre la création de traitements pour aider ces bien tristes patients.

On estime à 1 % le nombre de psychopathes présents dans la population, un chiffre qui grimperait à 23 % en milieu carcéral.

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Éduquons nos enfants à grandes doses de compassion et d’empathie

Selon SheKnows, il est possible de renverser la vapeur. La bonne nouvelle, c’est que l’empathie et la compassion sont des sentiments innés, même chez les enfants d’âge préscolaire.

L’empathie, c’est la capacité à se mettre à la place de l’autre pour comprendre ce qu’il vit. Quant à la compassion, c’est une réponse émotionnelle générée par la souffrance d’autrui, et le fait de vouloir aider cette personne.

Comment y arriver?

– Donner l’exemple. Faire du bénévolat avec son enfant, afin qu’il comprenne que de nombreuses personnes sont moins bien nanties, est un excellent moyen de développer ces valeurs.

– Utiliser les passions et intérêts de l’enfant, pour développer le sens du don de soi et du partage. Par exemple, si l’enfant adore les petites voitures, expliquez-lui que les autres n’ont pas tous la chance d’en avoir et suggérez qu’il fasse don à d’autres enfants.

– Partagez des histoires vécues. Qu’elles proviennent de votre passé, vos amis, vos voisins, d’un livre, un documentaire, plutôt que de toujours raconter des contes de fées, sensibilisez votre enfant aux histoires vécues d’entraide et de partage.

– Écoutez ensuite vos enfants. Ils finiront inévitablement par suggérer d’aider un ami, un voisin, des animaux, etc. Ouvrez-vous à leurs suggestions. C’est votre implication qui fera toute la différence.

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La capacité d’empathie chez les bébés

Sur le site Medical Xpress, les résultats d’une récente recherche viennent démontrer la capacité d’empathie dès l’âge de 10 mois.

L’empathie est la capacité d’un individu à se mettre à la place d’autrui afin de comprendre leurs sentiments.

Il était précédemment dit qu’on ne pouvait pas démontrer ce type de sentiments chez les enfants de moins de 4 ans. En effet, une étude publiée en 2005, conduite par des neurobiologistes et des psychologues, prétendait que bien qu’ils puissent percevoir nos émotions, nous ne possédions aucune façon de déterminer le niveau d’empathie chez les enfants de moins de 4 ou 5 ans.

Or, une plus récente recherche a maintenant démontré que les bébés pouvaient démontrer de l’empathie dès l’âge de 10 mois.

Les chercheurs ont utilisé des clips vidéo montrant différentes interactions agressives entre des formes de couleurs différentes, une s’attaquant à l’autre.

À la suite des observations, les chercheurs ont conclu : « Les bébés de seulement 10 mois arrivent à différencier les victimes et les agresseurs dans les interactions, mais aussi à montrer de la sympathie rudimentaire envers la détresse. Cette préférence simple peut fonctionner en tant que fondement d’un comportement sympathique à part entière par la suite ».

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La capacité d’empathie chez les bébés

Sur le site Medical Xpress, les résultats d’une récente recherche viennent démontrer la capacité d’empathie dès l’âge de 10 mois.

L’empathie est la capacité d’un individu à se mettre à la place d’autrui afin de comprendre leurs sentiments.

Il était précédemment dit qu’on ne pouvait pas démontrer ce type de sentiments chez les enfants de moins de 4 ans. En effet, une étude publiée en 2005, conduite par des neurobiologistes et des psychologues, prétendait que bien qu’ils puissent percevoir nos émotions, nous ne possédions aucune façon de déterminer le niveau d’empathie chez les enfants de moins de 4 ou 5 ans.

Or, une plus récente recherche a maintenant démontré que les bébés pouvaient démontrer de l’empathie dès l’âge de 10 mois.

Les chercheurs ont utilisé des clips vidéo montrant différentes interactions agressives entre des formes de couleurs différentes, une s’attaquant à l’autre.

À la suite des observations, les chercheurs ont conclu : « Les bébés de seulement 10 mois arrivent à différencier les victimes et les agresseurs dans les interactions, mais aussi à montrer de la sympathie rudimentaire envers la détresse. Cette préférence simple peut fonctionner en tant que fondement d’un comportement sympathique à part entière par la suite ».

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Les humains pourraient éprouver de l’empathie pour… des robots

Santé Log rapporte une étude à saveur psychologique et technologique qui se penche sur une question existentielle.

Les chercheurs allemands qui publient l’étude croient que nous, humains, pourrions ressentir des émotions similaires à l’empathie envers d’éventuels compagnons robotisés, bref, des robots.

Par exemple, l’étude note que si un humain moyen était confronté à des sévices infligés à un robot, celui-ci réagirait probablement de la même façon que si ces agressions survenaient sur un camarade homo sapiens.

Effectuée à l’Université de Duisburg Essen et présentée lors de la conférence de l’International Communication Association de Londres, l’étude soumettait les participants à des mises en situation comme celle décrite plus haut. On analysait ensuite les réactions des sujets par des tests de résonnance magnétique, ce qui aurait clairement démontré des émotions distinctes de la part des sujets humains envers les robots.

« Un des objectifs de la recherche en robotique actuelle est de développer des robots compagnons qui établissent une relation à long terme avec l’utilisateur humain. Nous travaillons à des robots qui pourraient accompagner les personnes âgées ou handicapées dans les tâches quotidiennes, et contribuer ainsi à une autonomie plus longue à domicile », lance l’auteur en chef de l’étude, en conclusion de cette recherche psychologique fascinante.

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Les enfants très jeunes peuvent comprendre les sentiments des autres

L’étude s’est servie d’un test de fausse-croyance, une des rares tâches cognitives que les jeunes enfants, mais pas les primates, peuvent accomplir.

Pour ce test, une personne entre dans la pièce où se trouve l’enfant et cache un objet, par exemple des ciseaux, à un endroit que l’enfant peut voir. Une deuxième personne entre ensuite et met les ciseaux dans sa poche, sans que la première personne s’en aperçoive. Quelqu’un demande ensuite à l’enfant : « Où penses-tu que la première personne va chercher ses ciseaux? »

Cette tâche n’est pas évidente, parce que les enfants doivent avoir une « théorie de la pensée », ou une capacité de voir les choses selon la perspective d’une autre personne, dans ce cas-ci, la personne qui n’a pas vu l’autre prendre ses ciseaux.

Entre l’âge de 4 à 7 ans, la plupart des enfants des pays occidentaux peuvent répondre que la première personne va chercher à l’endroit où elle les avait cachés, parce qu’elle ne sait pas que quelqu’un d’autre les a pris.

Cette présente étude a fait le test avec des bébés, en ne se basant évidemment pas sur leur parole, mais plutôt en se fiant à leur regard. Celui-ci laissait entendre que les tout-petits comprennent le concept beaucoup plus tôt que ce que les chercheurs croyaient auparavant, selon Today’s Parents.

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Les désastres poussent les enfants de différents âges à des comportements contraires

En 2009, dans la région du Sichuan en Chine, un terrible tremblement de terre a causé la mort de 87 000 personnes. Des chercheurs qui se trouvaient déjà sur place pour mener une étude sur l’empathie et l’altruisme chez les enfants ont profité de l’occasion pour évaluer le comportement des jeunes en temps de crise reliée à un désastre naturel, fournissant ainsi une perspective plutôt rare.

Après le désastre, l’altruisme des enfants de 6 ans a chuté d’un tiers, tandis que chez les enfants de 9 ans, la volonté de donner aux autres a presque triplé. Trois ans plus tard, le niveau d’altruisme des enfants était retourné à son point de départ, tel qu’il était avant le tremblement de terre.

L’auteur de l’étude, Kang Lee, professeur à l’Université de Toronto, a expliqué que « l’effet négatif immédiat du tremblement de terre chez les enfants de 6 ans montre que l’altruisme est encore fragile à cet âge », selon ce que rapporte Science Daily.

À mesure que les enfants grandissent, leur cortex préfrontal devient plus mature et améliore les connexions dans les circuits reliés aux émotions.

Les résultats de l’étude ont été publiés dans le journal Psychological Science.

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Des médecins qui ressentent votre douleur

De nouvelles recherches tendent à démontrer que certains médecins peuvent littéralement ressentir la douleur de leurs patients, selon The National Library of Medicine.

Aussi étonnante que spectaculaire, cette théorie semble bien réelle aux yeux des chercheurs et des auteurs de ces recherches. Pour en arriver à une telle conclusion, ceux-ci ont tout bonnement numérisé les cerveaux de plusieurs médecins placés en simulation, et ont analysé les réactions du cerveau face à leurs actions.

Surprise, plusieurs réactions empathiques ont été remarquées chez un nombre respectable de sujets, et les activités cérébrales subséquentes ont été tout aussi vérifiables.

« C’est l’effet placebo, mais du point de vue du médecin », croit Ted Kaptchuk, directeur de programme à l’école de médecine de Harvard, notamment.

Karin Jensen, coauteure de cette recherche, en rajoute : « Non seulement les médecins et praticiens ressentent l’effet miroir de la douleur de leurs patients, mais ils vont aussi créer des sentiments de soulagement et d’espoir, à l’image de ceux qu’ils traitent ».

La plupart des 18 médecins participants à cette recherche ont ressenti de l’empathie pour leurs patients, ce qui fascine les chercheurs.

D’autres ont démontré beaucoup moins d’émotions face aux patients et aux traitements qu’ils recevaient, ce qui laisse croise aux chercheurs qu’il vaudrait mieux se trouver un médecin de famille qui est capable d’empathie, pour de meilleurs traitements.