Il est question principalement de causes d’emphysème, d’asthme et de pneumonie. Des scientifiques de la Caroline du Nord ont réussi à faire corréler le début de la règlementation de la pollution avec le nombre de décès associés aux difficultés respiratoires.
Comme l’explique l’un des chercheurs, H. Kim Lyerly, avant cette étude, il n’existait aucune analyse entre la qualité de l’air et les effets bénéfiques sur une longue période. « Nous avons donc eu accès à de multiples bases de données disparates contenant des informations environnementales ou sur la santé », explique Lyerly.
Depuis le début des années 1990, les normes exigent une diminution de l’émission des gaz à effet de serre, ainsi que des polluants contribuant à la pluie acide et à la dégradation de la couche d’ozone. Les experts considèrent aussi l’ajout des lois antitabac dans les endroits publics.
Cette diminution de pollution et des décès associés à l’emphysème, l’asthme et la pneumonie, sur une période de 17 ans, s’avèrent concluants.
Le détail de l’étude a été publié dans la revue International Journal of COPD.