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Zach Braff a offert sa voiture en cadeau à ses débuts

Lorsque Zach Braff a appris qu’il obtenait l’un des rôles principaux de Scrubs, il y a plusieurs années, l’acteur a célébré la nouvelle d’une bien drôle de manière.

Celui qui peut maintenant compter sur une belle crédibilité à Hollywood a en effet offert sa voiture du moment en cadeau, rapporte BANG Media International.

L’heureux récipiendaire de ce cadeau inopiné était un collègue de travail, un aide-serveur originaire du Mexique avec qui il partageait ses heures de travail.

La voiture en question était une Nissan 240 SX, une automobile qui s’avérait chère au coeur de Braff.

« Je travaillais comme serveur. J’avais fait environ mille dollars, et mes parents m’ont donné cinq mille dollars. J’ai tout mis dans cette Nissan 240 SX. J’adorais cette voiture », explique l’acteur, qui décrit ensuite son collègue de travail comme son meilleur ami de l’époque.

« Il était mexicain et connaissait à peu près dix mots d’anglais, et je connaissais dix mots d’espagnol, mais il était probablement mon meilleur ami à cette époque », lance Zach Braff.

Un geste bien généreux pour celui qui allait devenir le Dr John « JD » Dorian de Scrubs, une série qui a finalement connu un succès monstre.

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Gwen Stefani révèle deux grands secrets de sa vie

La chanteuse Gwen Stefani a profité d’une entrevue accordée en marge du lancement de la nouvelle saison de The Voice pour révéler quelques grands secrets de sa vie, rapporte le Us Magazine.

Deux secrets ressortent du lot et augmentent encore le sentiment de sympathie envers la star.

D’abord, la chanteuse de No Doubt affirme être de nature extrêmement paresseuse. Son activité de rêve se résumerait à flâner au lit, un défaut qui peut s’avérer une qualité selon le type de personnalité.

« Ce que tout le monde ignore à propos de moi, c’est que je suis une personne généralement paresseuse. Je le suis vraiment. La chose que je préfère faire est de m’assoir dans mon lit, manger de la pizza et ne rien faire », mentionne Gwen Stefani, d’humeur franche.

Puis, l’interprète et star de The Voice parle de ses premiers emplois. Elle révèle avoir « entamé sa carrière » derrière le comptoir d’un Dairy Queen, de quoi faire rêver plusieurs jeunes employées de la célèbre chaîne de restauration.

« Quand j’ai commencé là-bas, mon uniforme m’allait parfaitement. En finissant, mon uniforme ne m’allait plus », lance la sympathique et colorée blonde.

The Voice débute le 22 septembre prochain sur NBC.

Voyez l’entrevue intégrale de Gwen Stefani.

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Gwen Stefani révèle deux grands secrets de sa vie

La chanteuse Gwen Stefani a profité d’une entrevue accordée en marge du lancement de la nouvelle saison de The Voice pour révéler quelques grands secrets de sa vie, rapporte le Us Magazine.

Deux secrets ressortent du lot et augmentent encore le sentiment de sympathie envers la star.

D’abord, la chanteuse de No Doubt affirme être de nature extrêmement paresseuse. Son activité de rêve se résumerait à flâner au lit, un défaut qui peut s’avérer une qualité selon le type de personnalité.

« Ce que tout le monde ignore à propos de moi, c’est que je suis une personne généralement paresseuse. Je le suis vraiment. La chose que je préfère faire est de m’assoir dans mon lit, manger de la pizza et ne rien faire », mentionne Gwen Stefani, d’humeur franche.

Puis, l’interprète et star de The Voice parle de ses premiers emplois. Elle révèle avoir « entamé sa carrière » derrière le comptoir d’un Dairy Queen, de quoi faire rêver plusieurs jeunes employées de la célèbre chaîne de restauration.

« Quand j’ai commencé là-bas, mon uniforme m’allait parfaitement. En finissant, mon uniforme ne m’allait plus », lance la sympathique et colorée blonde.

The Voice débute le 22 septembre prochain sur NBC.

Voyez l’entrevue intégrale de Gwen Stefani.

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Movember : Bon pour la cause, pas pour la vôtre

Un observateur masculin et spécialiste de l’étiquette publie ses conclusions en ce qui concerne le mouvement Movember, rapporte le Telegraph (UK), mouvement qui consiste à se faire pousser la moustache pour appuyer plusieurs causes en lien avec la santé masculine.

Si la démarche est honnête et de plus en plus populaire, elle pourrait s’avérer un désastre sur le plan social et professionnel, croit William Hanson, qui ne conseille pas nécessairement aux hommes de tenter l’expérience.

Qualifiant l’opération « d’admirable et de méritoire », Hanson croit aussi qu’il est « déconseillé » pour les hommes qui souhaitent être pris au sérieux, ou le demeurer, dans leur environnement de travail de prendre part à cet événement moustachu.

« Se faire pousser une moustache rétro n’est pas conseillé, spécialement si vous avez un emploi sérieux. Je n’ai pas encore vu d’homme mieux paraître grâce à une moustache, et je crois que plusieurs hommes aiment simplement l’idée de sauver du temps en se rasant le matin. D’autres voient enfin la chance de découvrir ce dont ils auront l’air avec une moustache. Bien, laissez-moi vous épargner ce moment… ce sera laid », lance William Hanson, convaincu et manifestement en guerre contre les moustaches.

Il suggère à ces hommes de donner directement de l’argent à des œuvres de charité ou encore de tenir une bonne vieille… vente de gâteaux. Quelle barbe!

L’an dernier, le Movember a été souligné par des hommes de 21 pays différents et aurait engrangé approximativement 100 millions de dollars pour différentes causes.

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Reconnaître les premiers signes d’une dépression nerveuse ou professionnelle

L’automne apporte son lot de déprime, malgré sa beauté et ses couleurs fascinantes, et plusieurs personnes sont victimes d’une baisse de régime et de troubles de l’humeur à cette période.

Pour certains, ces symptômes seront plutôt précurseurs d’une véritable dépression, et il est important de savoir dépister le phénomène avant qu’il soit trop tard, selon Top Santé

Reconnaître une dépression avant qu’elle s’installe pour de bon peut épargner quantité de douleur et de temps, et peut même sauver des vies dans certains cas.

Le Dr Jean-François Lacoste s’inquiète particulièrement des troubles dépressifs et de l’humeur causés par le travail, que ce soit par une surcharge ou une frustration, des cas qui ne sont souvent pas pris au sérieux par les patients.

« Quand il se manifeste au travail, on a tendance à ne pas s’apercevoir de ces symptômes, car les choses se dégradent petit à petit. Souvent, les personnes en dépression vivent dans le déni. La dépression se manifeste par plusieurs symptômes : on ressent une impression de surmenage, une perte de plaisir. On va au travail à reculons. On se replie sur soi-même », explique avec conviction le Dr Lacoste.

Tristesse, épuisement, perte d’appétit ou surconsommation d’aliments sucrés, consommation élevée d’alcool ou de drogue (illégales, mais aussi de prescription), libido faible, voilà quelques facteurs qui peuvent indiquer que l’on glisse doucement vers une dépression… ou qu’on nage en plein dedans.

On conseille vivement de consulter rapidement un spécialiste de la santé afin de voir les options qui s’offrent, et de ne jamais prendre la décision d’opter pour des antidépresseurs à la légère.

Le seul fait d’en parler et de chercher de l’aide, cependant, peut permettre d’éviter de sombrer dans une spirale infernale de l’humeur et d’atteindre un dangereux point de non-retour.

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Préparer le grand retour au travail de maman

Parenting Squad propose quelques étapes à suivre pour bien planifier ce retour sur le marché du travail. Voici un résumé de ces suggestions.

Être sur la même longueur d’onde – Il est essentiel, en tant que couple, de revoir les priorités, de planifier le quotidien pour que les tâches, repas et rendez-vous soient revus et corrigés. Cela signifie plus de tâches pour le partenaire de vie, mais aussi une plus grande implication auprès des enfants.

Préparer les enfants – Ils ont été gâtés et peut-être même qu’ils sont encore trop jeunes pour comprendre et accepter le fait que maman ne sera plus là en permanence. Ce sera un stress pour tout le monde, donc mieux vaut prévenir le coup et établir du temps de qualité avec eux tous les weekends.

Nouveau revenu, nouvelles dépenses – Assurez-vous que le revenu vaudra les dépenses encourues. La voiture, l’essence, le service de garde, les repas, les vêtements, etc. Il faudra revoir le budget et faire de nouvelles économies.

Compte rendu – Au bout de quelques mois, il est important de s’asseoir et de faire le point. Est-ce que ce nouvel emploi vaut le stress, les changements, la réorganisation de votre vie de famille?

 

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Le paradoxe canadien des médecins spécialistes

Radio-Canada rapporte un paradoxe aussi frustrant qu’étonnant, alors qu’une nouvelle étude révèle qu’un taux élevé de médecins spécialistes canadiens peinent à se trouver un emploi.

Incroyable, quand on pense aux problèmes criants du système de santé actuel, spécialement au Québec. Ce serait donc 7,7 % des nouveaux médecins spécialistes qui affirment avoir du mal à se dénicher un emploi, un chiffre qui grimpe à 16 % sur l’ensemble du territoire canadien.

42 % affirment souhaiter suivre une formation complémentaire afin d’améliorer leurs chances, mais plusieurs se demandent comment les autorités peuvent se permettre de se priver de toutes ces ressources disponibles sur le marché.

C’est le cas de Danielle Fréchette, qui dirige l’étude commandée par le Collège royal des médecins et chirurgiens du Canada.

« Pour nous, un neurochirurgien ou n’importe quel autre médecin spécialiste qui est sans emploi est problématique quand on pense aux listes d’attente des patients. Comment est-ce qu’on peut s’organiser pour répondre à leurs besoins? Il faut penser aux patients et aux listes d’attente que subissent ces patients. Pourquoi est-ce qu’on ne peut pas arrimer la production du système de formation avec les ressources qui sont disponibles et arrimer les ressources avec les besoins de la population? » s’interroge Fréchette, avec une pointe d’impatience bien sentie.

Le Collège royal des médecins et chirurgiens du Canada doit tenir un sommet l’hiver prochain, afin de voir comment cette situation pourrait être améliorée.

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Hausse du nombre de pères au foyer

Que ce soit parce qu’ils sont sans emploi, invalides ou qu’ils rapportent moins d’argent que leur conjointe, nombreux sont les hommes au foyer qui n’ont pas accueilli cette option volontairement. Par contre, beaucoup d’entre eux finissent par adorer l’expérience.

Une nouvelle étude publiée dans le Journal of Family Issues fait la lumière sur les dernières données récoltées par la sociologue Karen Z. Kramer.

Même chez les hommes qui ont fait le choix de demeurer à la maison, une grande majorité le fait parce que la femme occupe un poste dont le revenu est plus avantageux. La tendance veut également que ce soit le cas pour les familles avec des enfants de moins de 5 ans.

Les données récentes, provenant du US Census Bureau et du Bureau of Labor Statistics, déterminent que l’âge moyen des pères au foyer est de 41 ans. Qui plus est, les statistiques estiment qu’environ 626 000 hommes au foyer ont des emplois à temps partiel ou sont travailleurs autonomes.

Si l’on recule dans les années 1970, comme le mentionne Kramer, « seuls les pères qui n’arrivaient pas à trouver d’emploi ou qui étaient invalides demeuraient à la maison ».

« En 2000, le sondage effectué avait révélé qu’une famille sur 5 était constituée d’un homme au foyer », affirme Karen Kramer, et par choix la plupart du temps. Un revirement de situation qui parle de lui-même.

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Des congés « mentaux » débattus à la suite de la publication d’une étude

On le sait, le monde dans lequel on vit tourne à une vitesse folle, et les notions de performance et de rentabilité ont pris le dessus sur la santé et le bien-être des gens qui se tuent à la tâche.

Cinq jours par semaine de labeur ponctués de quelques minimes congés et de deux ou trois semaines de vacances annuelles, voilà la réalité de bien des gens. Et quand ceux-ci s’octroient un congé pour cause de maladie, ils ne peuvent souvent pas réellement en profiter, puisqu’ils sont malades!

Une étude publiée cette semaine semble ouvrir un nouveau débat sur l’importance de préserver une bonne santé mentale au travail, et de la nécessité d’octroyer de nouveaux congés « mentaux » qui permettraient de reposer un travailleur afin de revenir en force.

L’étude révèle qu’un Canadien sur dix démontrait des symptômes de troubles mentaux ou de dépendance à l’alcool et aux drogues au cours de la dernière année, et qu’un demi-million de travailleurs sont en congé forcé pour cause de problèmes reliés à la santé mentale.

Radio-Canada, qui rapporte ces statistiques, soumet également l’hypothèse que l’instauration de nouveaux congés destinés à reposer un travailleur ou lui permettre de se refaire une santé mentale serait tout à fait indiquée.

Un débat nécessaire, qui s’amorce à peine malgré un phénomène présent depuis longtemps et en pleine progression. 

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La beauté est un facteur important de réussite

Il semble que le temps ne puisse changer certaines choses, même au contraire. Ce serait le cas notamment de l’impact de la beauté dans notre société, et dans la réussite personnelle de chacun.

Particulièrement dans les contextes sociaux et professionnels, rapporte Santé Log, qui reprend une étude de L’Université Notre-Dame.

Cette dernière a tracé un lien entre le marché du travail et des affaires avec celui d’une école, là où les moins attirants physiquement paient souvent le gros prix pour cette caractéristique non volontaire.

Selon les chercheurs de Notre-Dame et leurs associés, Timothy Judge en tête, l’intimidation professionnelle existe bel et bien, et rien n’indique un ralentissement du phénomène.

Outre l’intégration facilitée par la beauté, cette dernière permet également une meilleure estime de soi et, donc, de meilleures chances de réussite professionnelle.

Un travail de sensibilisation reste à faire en cette ère souvent superficielle, croient les chercheurs.

L’étude en question a été publiée dans le magazine Human Performance.

emble que le temps ne puisse changer certaines choses, même au contraire. Ce serait le cas notamment de l’impact de la beauté dans notre société, et dans la réussite personnelle de chacun.

Particulièrement dans les contextes sociaux et professionnels, rapporte Santé Log, qui reprend une étude de L’Université Notre-Dame.

Cette dernière a tracé un lien entre le marché du travail et des affaires avec celui d’une école, là où les moins attirants physiquement paient souvent le gros prix pour cette caractéristique non volontaire.

Selon les chercheurs de Notre-Dame et leurs associés, Timothy Judge en tête, l’intimidation professionnelle existe bel et bien, et rien n’indique un ralentissement du phénomène.

Outre l’intégration facilitée par la beauté, cette dernière permet également une meilleure estime de soi et, donc, de meilleures chances de réussite professionnelle.

Un travail de sensibilisation reste à faire en cette ère souvent superficielle, croient les chercheurs.

L’étude en question a été publiée dans le magazine Human Performance.

Crédit photo : www.freedigitalphotos.net