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Les mères prêtes à faire moins d’argent

Une étude menée en Angleterre a démontré que plus de la moitié des mères seraient prêtes à diminuer leurs revenus afin d’équilibrer leur mode de vie.

Alors que tous les emplois ne permettent pas nécessairement une flexibilité jugée nécessaire par les mères, plusieurs viennent à choisir le travail à temps partiel ou à partir de la maison.

Les défis d’une mère travaillante sont nombreux. Entre autres, elle prend souvent la responsabilité de son enfant malade, des rendez-vous médicaux et scolaires, et se retrouve souvent à devoir négliger des heures de travail.

Sur FemaleFirst, il est noté que les deux tiers des mères anglaises auraient déjà vécu des cas similaires. C’est la chef des ventes au Royaume-Uni pour la compagnie de vêtements suédoise me & i, Pernilla Kemp, qui a commandé cette recherche.

À la réception des résultats, elle a confié : « Le fait que plus de la moitié des femmes interrogées disent qu’elles accepteraient une baisse de salaire afin d’équilibrer leur vie parent-travail démontre le désir des mères pour cet équilibre et à quel point nous en sommes encore loin ».

« Alors que nous avons vu une augmentation du nombre de mamans qui se taillent une carrière alternative pour eux-mêmes et leurs enfants, il y a encore beaucoup de mamans dont la situation de travail a très peu changé et qui sentent que l’équilibre travail-vie n’est rien d’autre qu’un mythe. »

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Compenser le stress professionnel par de saines habitudes de vie

Le stress dû aux activités professionnelles est l’un des importants facteurs de risque dans le développement de troubles cardiovasculaires et d’AVC, mais il semble qu’il soit au moins possible de changer la donne grâce à de bonnes habitudes de vie.

C’est le constat optimiste que propose une étude, rapportée ici par The National Library of Medicine, alors que des chercheurs croient maintenant dur comme fer que les gens stressés par leur travail et ce qui l’entoure peuvent réduire les risques de crise cardiaque en adoptant des habitudes saines.

Cesser de fumer, de boire et de trop manger sont les trois premiers gestes à adopter, puisque ces facteurs de risque se décuplent lorsque mêlés au stress professionnel.

Publiées dans l’édition du 13 mai du Canadian Medical Association Journal, ces conclusions ont été tirées à la suite de l’analyse de données recueillies auprès de plus de 100 000 patients un peu partout dans le monde.

Pour les chercheurs en tête de l’étude, il ne fait aucun doute que les gens stressés par leur emploi ou leurs activités professionnelles ont leur mot à dire dans le développement ou non d’éventuels problèmes cardiaques.

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Enceinte et à la recherche d’un emploi, une situation délicate

Soyons honnêtes. Il s’agit d’une des pires situations qui soient. On veut le travail, mais l’employeur veut un employé qualifié… qui ne partira pas quelques mois à peine après son embauche. Doit-on être honnête, quitte à rater cette occasion?

She Knows donne un aperçu de l’éthique en place. Il y a une règle bien simple lors des entrevues. L’employeur n’a pas le droit de demander à la personne si elle est mariée, si elle a des enfants, si elle en veut, ou encore si elle est enceinte.

La raison est simple. Si la candidate informe le futur employeur qu’elle est enceinte et qu’elle n’obtient pas le poste, celui-ci pourrait être accusé de discrimination.

Pendant votre recherche d’emploi, soyez tout de même honnête envers vous-même. Entre zéro et 4 mois de grossesse, rien ne paraît. Inutile de le dire. Mais entre 5 et 7 mois, il vaut mieux aviser le futur employeur. Autrement, c’est vous qui serez dans le trouble et passerez pour une personne malhonnête.

Rappelez-vous qu’embauchée ou non, il y a un minimum de temps à faire, et plus tôt l’employeur est mis au courant, plus aisément il aura le temps de trouver une solution.

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Nouvelles quotidiennes

First Choice est à la recherche d’un… testeur de glissades d’eau

Ce n’est pas tous les jours que l’on trouve ce genre d’offre d’emploi dans le journal, mais c’est pourtant une offre bien réelle de la part de First Choice, une compagnie britannique.

Il pourrait y en avoir d’autres, signale travel.cnn.com, puisque l’industrie possède plusieurs parcs aquatiques à travers le monde (SplashWorld). Ainsi, si vous rêvez d’un emploi plutôt facile qui vous permet de voyager, vous devriez penser à soumettre votre candidature.

First Choice dit rechercher une personne passionnée par les parcs aquatiques, qui se sent à l’aise en maillot de bain ainsi que de se faire mouiller au travail.

Ces hilarants prérequis vont de pair avec l’offre en tant que telle qui, bien qu’elle soit tout à fait réelle, s’inscrit dans une lignée de coups promotionnels de la compagnie.

Il faut dire qu’il y a de plus en plus de campagnes du genre (carrière/tourisme) offrant non seulement des emplois inédits, mais aussi une chance de voir du pays. Comme ces concepts semblent attirer l’œil des lecteurs et des gens présents sur les médias sociaux, on pourrait voir une panoplie de « super-boulots » être créée dans les prochaines années.

Pour soumettre votre candidature pour le poste de testeur de glissades d’eau, cliquez ici.

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Plus de risques de haute pression pour les faibles salariés

www.nlm.nih.gov rapporte une étude qui suggère une hausse des risques de haute pression chez les gens qui ont un salaire moins élevé que les autres.

Ce serait d’autant plus vrai chez les personnes âgées de 25 à 44 ans, selon l’étude, période où l’humain moyen ressentirait le plus de pression professionnelle et de performance.

Ainsi, les plus faibles salariés seraient plus enclins à faire de la haute pression à tout âge, ce qui surprend les principaux acteurs impliqués dans l’étude.

L’auteur principal, J. Paul Leigh, lance : « Nous avons été surpris de constater que des salaires plus faibles pouvaient s’avérer un facteur de risque très fort pour des tranches de population qui ne sont pas normalement associées à des problèmes de haute pression. Le phénomène de haute pression frappe généralement les hommes plus âgés. Cette fois, on constate que même les femmes et les jeunes sont touchés par ce problème ».

L’étude a été publiée dans l’édition de décembre de l’European Journal of Public Health et révèle que des risques d’hypertension sont aussi présents chez les faibles salariés.

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Le stress au travail : ennemi officiel de la bonne santé

Malgré toutes les études qui paraissent dans le domaine médical et les nombreux conseils alimentaires prodigués, il n’en demeure pas moins que le stress est un des ennemis, sinon le principal, à abattre pour maximiser ses chances de vieillir en santé.

Le stress, on le retrouve partout de nos jours, particulièrement dans le cadre des fonctions de notre emploi. Trop souvent, les employés sont surchargés, peu encouragés, travaillent de longues heures et passent de moins en moins de temps de qualité avec leurs proches ou à relaxer.

e-sante.com parle également des conflits fréquents au sein d’un milieu de travail, des décisions difficiles ainsi que du sentiment d’injustice souvent ressenti par beaucoup d’employés. Le manque d’autonomie (pauses rares, surveillance, confinement, etc.) est aussi un problème majeur de nombreux lieux de travail.

On recommande de faire un sérieux bilan de vie si vous considérez être trop stressé par votre travail, car il est aussi possible que vous ne soyez pas dans la bonne branche. Pour s’épanouir pleinement, il faut aimer ce que l’on fait, sinon le stress risque d’avoir votre peau.

Par exemple, si vous n’aimez pas la pression et les prises de décision, il existe plusieurs options qui n’en demandent pas. Certains voudront se tourner vers des emplois qui utilisent un concept de travail autonome, une réalité de l’avenir qui finira par rattraper les compagnies moins efficaces et surchargées.

Il existe aussi plusieurs cas de gens qui ont décidé de troquer la cravate pour la tronçonneuse, décidant de dire adieu au bureau pour retrouver le plaisir de travailler à l’extérieur.

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Situation pré-immigration : impact important sur les enfants immigrés

Ce sont les conclusions auxquelles sont parvenus les chercheurs à la Pennsylvania State University. Les résultats se retrouvent dans la section Spécial immigration de la revue Child Developpement, édition septembre/octobre 2012.

Selon eurekalert.org, les critères évalués font partie du New Immigrant Survey (États-Unis), qui a été soumis à plus de 2100 enfants âgés de 6 à 12 ans. Les parents faisaient également partie du sondage.

Les données relevées différaient d’un groupe d’immigrants à l’autre, selon la provenance, notamment. L’éducation des parents, la profession et le statut d’emploi étaient les principales caractéristiques analysées. De plus, le niveau de stimulation cognitif avec l’enfant et le niveau de connaissance préalable de la langue du pays d’adoption contribuaient également aux résultats.

En résumé, les familles ayant un bon statut social, une bonne éducation et un revenu substantiel avant l’immigration se retrouvent défavorisées en regard des ressources du nouveau pays. Les emplois leur sont moins favorables.

Au contraire, les familles de parents peu scolarisés ou sans emploi se retrouvent dans un environnement où l’emploi est plus facile et les ressources plus avantageuses. Ainsi, les enfants de ces familles, même après la seconde génération d’immigrants, sont favorisés dans leur réussite et leurs réalisations sociales.

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Quel avenir ont les personnes autistes?

Selon une enquête nationale réalisée par des chercheurs de l’Université de Washington à St. Louis, les jeunes souffrant de troubles du spectre autistique (34,9 %) ont du mal à poursuivre leurs études ou à se trouver un emploi après leur secondaire.

Cette situation pousserait même plus de la moitié d’entre eux à demeurer inactifs. En effet, 51,9 % des jeunes disent s’être retirés et avoir fait peu de choses intéressantes au cours des deux années qui ont suivi la fin de leur secondaire.

Le rapport en ligne du numéro de juin de Pediatrics révèle même que comparativement à d’autres formes de handicaps, les gens autistes sont beaucoup moins susceptibles de se faire accorder une chance dans la société.

La situation serait encore plus désolante pour ceux qui sont atteints d’un trouble du spectre autistique grave, qui proviennent d’une famille défavorisée ou qui ne sont pas de race blanche.

C’est en comparant 500 jeunes autistes, 470 avec un trouble de la parole et du langage, 460 avec un trouble d’apprentissage et 430 avec un retard mental que les chercheurs ont fait ce triste constat.

Ils ont affirmé qu’il y avait de sérieuses lacunes dans la société pour permettre aux jeunes autistes d’évoluer et de recevoir le soutien nécessaire leur permettant une meilleure transition avec le marché du travail.

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Votre emploi et l’autisme de votre enfant : y a-t-il un lien?

L’origine des troubles du spectre autistique est encore méconnue. Des experts tentent désormais d’établir un lien entre l’utilisation de solvants au travail et le développement de l’autisme complet, du syndrome d’Asperger et du trouble envahissant du développement.

Il semblerait que les parents qui ont été exposés plus souvent aux laques, aux vernis, au xylène, à l’asphalte et à d’autres produits contenant des solvants sont plus susceptibles d’avoir des enfants atteints de TSA, comparativement aux autres parents.

Bien que les résultats soient encore préliminaires, ce sont tout de même 174 familles — 93 enfants atteints de TSA et 81 ayant un développement typique — qui ont participé à l’étude pilote d’Erin McCanlies, une épidémiologiste de l’Institut national pour la sécurité et santé au travail (NIOSH), et ses collègues. Leurs résultats sont publiés en ligne dans le Journal of Autism and Developmental Disorders.

Les parents ont pris part à des entrevues téléphoniques qui permettaient d’évaluer l’exposition à des solvants au travail lors de ces périodes : trois mois avant la grossesse, au cours de la grossesse et jusqu’à la naissance ou encore la fin du sevrage si l’enfant était allaité.

Les chercheurs affirment que de telles expositions pourraient effectivement jouer un rôle défavorable pour les conditions neurologiques de l’enfant, mais d’autres recherches sont nécessaires pour confirmer une association.

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La prévalence de l’autisme liée à l’emploi

Le type d’emploi que l’on occupe influencerait les risques de mettre au monde un enfant autiste. Selon une recherche de l’Université de Cambridge, les parents oeuvrant dans le domaine scientifique auraient plus souvent un enfant atteint d’autisme, lit-on sur Bioscholar.

Il semble que les ingénieurs, les informaticiens et les employés de laboratoire seraient plus enclins à avoir un enfant autiste. Cette association s’expliquerait par la tendance de ces personnes à demeurer en continuelle réflexion sur leur travail.

Elles seraient aussi moins aptes à s’ouvrir aux relations sociales. On reconnaît ici des indices du syndrome de l’autisme. Un couple formé par des scientifiques verrait donc ses risques être augmentés. Cette tendance serait d’autant plus forte si le couple s’est formé sur le lieu de travail.

Mentionnons finalement que ces corrélations ont été établies selon une cohorte de parents ayant des enfants autistes. Le syndrome de l’autisme atteint environ 1 % de la population en général.