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Conciliation travail-famille : qu’en est-il?

Lorsque des conflits éclatent à cause de la gestion familiale, les parents ont tendance à faire porter le blâme à leur emploi. Il est vrai que la conciliation travail-famille peut devenir un véritable casse-tête.

Or, des chercheurs ont tenté de savoir à quoi l’on en accordait la responsabilité. Est-ce la faute du travail, de notre rôle familial ou des deux?
 
Cette étude parue dans Group & Organization Management a porté sur des incidents de la vie relevant de la conciliation travail-famille et sur une analyse du blâme qui a été accordé.
 
Des conflits de la vie quotidienne vécus par 269 personnes ont été passés à l’examen. Les parents de l’étude travaillaient à temps plein, soit 45 heures par semaine en moyenne, et leur conjoint ou conjointe avait un emploi à temps partiel dans les deux tiers des cas.
 
Il semble donc que si 22 % des parents évalués accordaient la faute à leur rôle familial, 64 % la donnaient à leur travail. Seulement 3 % considéraient que c’était la faute des deux situations.

Finalement, 5 % ont accordé le blâme à des facteurs externes, alors que 6 % ont tout pris sur eux-mêmes. Mentionnons finalement qu’il n’y avait aucune différence entre les hommes et les femmes quant aux résultats.

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Maman à la maison, plus sécuritaire?

Une récente étude de l’Université de l’État de la Caroline du Nord stipule que le travail de la mère influencera la condition physique de ses enfants.

En fait, les enfants dont la mère a un emploi auraient 200 % plus de risques de subir un accident ou d’avoir des problèmes de santé.

Ainsi, les hospitalisations, l’asthme, les blessures et les empoisonnements seraient plus fréquents chez ces enfants, comme nous pouvons le lire dans le Vancouver Sun.

Cette étude est contraire à plusieurs autres réalisées au cours des dernières années, qui concluaient quant à elles que les enfants vivaient plus souvent ces problèmes si leur maman était à la maison.

En effet, on avait auparavant remarqué que les enfants dont la mère occupe un emploi avaient une meilleure santé, et ce, en lien avec un revenu familial plus élevé, un plus grand accès à des assurances et une plus forte estime de soi de la maman.

La présente recherche est une analyse de données s’étalant sur 20 ans et regroupant 89 000 enfants de 7 à 17 ans. On a donc aussi pu remarquer que durant les dernières années, le nombre de femmes ayant des enfants âgés de moins de 18 ans a augmenté de 75 %, ce qui pourrait avoir influencé les présentes conclusions.

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Décrocher un emploi pour maman : une tâche difficile

Un centre d’affaires français, Regus, a commandé une recherche sur les mères de famille et le travail.

Selon ce sondage, seulement 25 % des entreprises souhaiteraient engager une mère en 2011, contre 33 % en 2010. Les raisons en sont nombreuses et il y a tout à penser que les femmes sont encore victimes de discrimination.

En effet, 37 % des employeurs craignent qu’une employée soit moins efficace et moins disponible que les autres si elle a des enfants.

De plus, parmi les entreprises sondées, 33 % des gestionnaires ne veulent pas engager une maman de peur qu’elle parte de nouveau en congé de maternité.

Vingt-quatre pour cent croient finalement que les compétences de ces femmes pourraient être dépassées à leur retour.

Les femmes connaissent déjà ces lois du marché, car dans une étude précédente, 37 % des répondantes considéraient leur congé de maternité comme un frein à leur carrière.

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Le bonheur, c’est d’avoir un emploi

Un sondage effectué auprès de 2 000 Britanniques démontre que le simple fait d’avoir un travail rend les personnes heureuses, et ce, peu importe le salaire qu’elles reçoivent.
 
Selon les résultats de l’enquête sur le bien-être de la nation, la sécurité d’emploi, la santé et les relations avec la famille sont au sommet des préoccupations des gens, car elles sont citées neuf fois sur dix.
 
Une autre clé du bonheur est de pouvoir assurer un bel avenir à ses enfants. Ainsi, le salaire ne semble pas une aussi grande priorité qu’on pourrait le croire, rapporte le Telegraph.
 
Les chercheurs mentionnent que le travail est souvent notre vie. Il touche tous ses aspects, il est notre motivation pour se lever le matin, la source de notre estime de soi et grâce à lui, nous pouvons être un modèle pour nos enfants.
 
« La vie des gens s’effondre lorsqu’ils perdent leur emploi. Ils sont aussi plus susceptibles d’être déprimés s’ils ne travaillent pas. Il en résulte également de mauvaises relations familiales et une moins bonne santé », affirme l’analyste en politique sociale, Anastacia de Waal.
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Les personnes obèses se voient refuser des postes en raison de leur poids

Selon un sondage réalisé par Slimming World auprès de 2000 personnes, certains employeurs refusent d’embaucher des personnes obèses, car ils croient que ce se sont des travailleurs paresseux.

Ainsi, selon l’enquête comprenant 200 employeurs, le quart des hommes ont dit qu’ils refuseraient un candidat ayant un surpoids et un patron sur dix affirme l’avoir déjà fait.

Le sondage révèle également que les obèses gagnent moins d’argent que les autres employés. Ils sont souvent négligés lors des promotions, et ce, malgré leurs compétences et ils sont plus susceptibles d’être victimes d’intimidation.

Le quart des personnes interrogées disent avoir reçu des commentaires désobligeants à propos de leur poids sur leur lieu de travail. Seulement 16 % des personnes ayant un surplus de poids se sentent soutenues par leurs collègues dans leurs efforts de perdre du poids.

Pour les spécialistes, ce sondage démontre à quel point les personnes obèses peuvent être victimes de discrimination en milieu de travail.

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Emploi de rêve en Australie

Afin de promouvoir l’endroit, l’office de tourisme de l’Australie a offert le meilleur emploi du monde, soit celui de gardien d’une île pendant six mois avec un salaire de 150 000 $ australiens, soit 120 000 $ canadiens.

Une personne chanceuse pourra passer six mois rémunérés sur Hamilton Island à se balader sur l’île et les plages de sable blanc, à faire de la plongée, à profiter de la piscine et à résider dans une villa au bord de l’océan, en plus d’avoir le billet d’avion payé à partir de son pays d’origine.

En échange, la personne devra publier, une fois par semaine, des photos et vidéos sur Internet et parler de son expérience.

En 24 heures, plus de 200 000 personnes se sont branchées pour consulter l’annonce et 200 candidatures ont déjà été soumises. Les gens doivent soumettre une vidéo de 60 secondes pour être choisis parmi les 11 finalistes, desquels on repêchera le chanceux ou la chanceuse, en mai prochain.