Catégories
Uncategorized

Ajuster l’horaire au travail avec la rentrée scolaire

Premier pas

Avez-vous déjà songé à demander de la flexibilité à votre patron? De plus en plus d’entreprises offrent de vous aider à concilier famille et travail. Si ce n’est pas monnaie courante pour votre employeur, vous pourriez en devenir l’instigateur.

Ceci vous permettrait notamment de passer un moment de qualité avec vos enfants le matin, entre autres, si vous pouvez commencer plus tard. Pensez à la diminution du stress du matin, un argument précieux pour tous.

Vendre l’idée au patron

Ce sera comme la vente d’une stratégie marketing. Ayez les bons arguments. Vous devez avoir fait le bilan des tâches et responsabilités que vous avez pour négocier avec votre employeur. Misez sur l’efficacité et la productivité malgré des heures réduites, et insistez sur l’importance de votre famille. Proposez même du télétravail occasionnel.

La partie créative

Cela ne fonctionne pas? Revoyez votre horaire et coupez! Quels rendez-vous réguliers ou activités pouvez-vous changer de case horaire ou supprimer?

Sinon, demandez de l’aide. Un étudiant plus âgé ou une gardienne peut venir passer l’après-midi à la maison et aider les enfants aux devoirs, puis préparer le souper. Vous aurez ainsi du temps agréable avec vos petits.

Catégories
Uncategorized

Conciliation travail et famille encore loin de satisfaire les parents

Des données de deux sondages en ligne sont rapportées par La Presse. Il semble que deux tiers des travailleurs québécois ne voient aucun effort de la part de leur employeur pour faciliter leurs responsabilités familiales.

« Les femmes ont des responsabilités de plus en plus grandes au travail, mais elles s’occupent encore de la majorité des tâches à la maison. Et avec toutes les activités des enfants, les parents ont de moins en moins de temps pour eux. Ça finit par miner leur moral », a confié Marianne Roberge, spécialiste de la conciliation travail/famille à la firme KOEVÄ.

Comme le souligne Dre Diane-Gabrielle Tremblay, trop peu d’employeurs offrent la flexibilité nécessaire. Ils croient notamment que les employés sont moins productifs à la maison, alors que c’est tout le contraire, puisqu’ils sont « reconnaissants ».

Ceux qui s’en tirent le mieux à l’heure actuelle sont malheureusement les familles séparées qui ont la garde partagée des enfants. Une semaine sur deux, ils sont en mesure de prioriser le travail.

Au terme des sondages, les trois quarts des travailleurs ont un sentiment de culpabilité lorsqu’ils font passer le travail avant les enfants, mais 43 % affirment que l’employeur s’attend à passer en premier.

Catégories
Uncategorized

L’exposition aux produits chimiques sur les lieux de travail inquiète

Certains spécialistes s’inquiètent de la surexposition aux produits chimiques que doivent vivre plusieurs employés et employeurs sur leur lieu de travail, rapporte Top Santé.

C’est le cas des experts de l’Organisation internationale du travail (OIT), qui y vont d’un plaidoyer au lendemain de la Journée mondiale de la sécurité au travail, et qui publient un rapport sur le phénomène souvent méconnu par plusieurs.

On découvre d’abord dans ce rapport que la plupart des gens sont effectivement exposés à certaines matières chimiques au boulot, et que certains travailleurs se retrouvent plus à risque qu’il n’y parait.

Ce serait le cas des coiffeurs et coiffeuses, des employés de salon de manucure, du personnel de bureau et, bien sûr, des ouvriers.

« Tous les lieux de travail ont recours aux produits chimiques, et de fait, de nombreuses catégories de travailleurs sont potentiellement exposées », mentionne le rapport de l’OIT.

L’Organisation croit que près de 160 millions de personnes développent une maladie quelconque, même non mortelle, en lien avec leur travail annuellement.

On invite donc les travailleurs et employeurs à la prudence, à se renseigner et à trouver des pistes de solution afin de garantir la sécurité des membres de leur équipe.

Catégories
Uncategorized

Enceinte et à la recherche d’un emploi, une situation délicate

Soyons honnêtes. Il s’agit d’une des pires situations qui soient. On veut le travail, mais l’employeur veut un employé qualifié… qui ne partira pas quelques mois à peine après son embauche. Doit-on être honnête, quitte à rater cette occasion?

She Knows donne un aperçu de l’éthique en place. Il y a une règle bien simple lors des entrevues. L’employeur n’a pas le droit de demander à la personne si elle est mariée, si elle a des enfants, si elle en veut, ou encore si elle est enceinte.

La raison est simple. Si la candidate informe le futur employeur qu’elle est enceinte et qu’elle n’obtient pas le poste, celui-ci pourrait être accusé de discrimination.

Pendant votre recherche d’emploi, soyez tout de même honnête envers vous-même. Entre zéro et 4 mois de grossesse, rien ne paraît. Inutile de le dire. Mais entre 5 et 7 mois, il vaut mieux aviser le futur employeur. Autrement, c’est vous qui serez dans le trouble et passerez pour une personne malhonnête.

Rappelez-vous qu’embauchée ou non, il y a un minimum de temps à faire, et plus tôt l’employeur est mis au courant, plus aisément il aura le temps de trouver une solution.

Catégories
Uncategorized

Vous sentez-vous prête pour un retour au travail?

Si l’arrivée de votre enfant est une période difficile, surtout à cause de la fatigue, des questionnements, de l’inquiétude et de l’adaptation, un an plus tard, une autre période transitoire attend les mères.

Du moins, selon le site Famili, une étude effectuée dernièrement par l’Association de Techniciens comptables britannique démontre le manque de confiance pour le retour au travail.

Ce sont 2000 mères qui se sont prononcées pour la recherche. Résultat qui désoriente un peu, 80 % d’entre elles ressentent cette baisse de confiance, cette crainte de ne pas pouvoir mener de front ces deux rôles après un arrêt de travail de près d’un an.

D’une part, comme les employeurs sont encore nombreux à considérer la maternité comme un non-sens dans le milieu professionnel, les nouvelles mères ont peur d’être jugées à leur retour, peur qu’on les croie incapables de gérer la pression.

57 % des répondantes ont même affirmé qu’elles ne se « sentaient pas aptes à réintégrer leur poste ».

Il y a donc encore beaucoup de chemin à parcourir avant de trouver l’équilibre entre le côté professionnel et le côté maternel des femmes. Plutôt que d’attendre la date fatidique, allez chercher de l’aide pour le retour au travail. Que ce soit auprès de vos proches ou de divers organismes.

Mais surtout, communiquez vos angoisses. C’est la meilleure façon d’aborder la situation.

Catégories
Uncategorized

Des distractions modernes placent les travailleurs à risque

Une étude provenant du Michigan traite d’un phénomène récent, mais tout à fait réel, celui des « distractions modernes » chez plusieurs types d’employés.

On parle ici bien sûr de certains gestes qui sont apparus de façon contemporaine avec la montée en flèche des appareils électroniques portables, mais aussi de ceux qui sont là depuis que le travail existe.

Donc, en plus des collègues qui viennent bavarder pendant que vous êtes occupé ou de la prise de courriels, l’apparition des messages texte et des médias sociaux ne viendrait qu’ajouter aux risques encourus par de telles distractions.

Selon l’étude américaine, rapportée par nlm.nih.gov, il peut s’agir de comportements aux conséquences minimes, voire banales, pour certains. Mais, pour d’autres, ce genre de distraction peut mener tout droit à la catastrophe.

Le chercheur Erik Altmann commente l’étude en soulignant le fait que les erreurs commises au travail sont statistiquement en hausse, ce qu’il considère comme inquiétant. Il nomme au passage quelques professions qui n’ont tout simplement pas le droit à l’erreur, comme les médecins urgentologues ou encore les mécaniciens spécialisés.

On suggère notamment aux employeurs de bien entourer leurs employés et de créer un environnement propice à la création et au travail, avec le moins de distractions possible.

Catégories
Uncategorized

Autisme : quand le salaire de la mère écope

Selon une récente étude parue dans Reuters Santé, effectuée par des chercheurs du Centre de recherche pour l’autisme au Centre hospitalier pour enfants de Philadelphie, les familles à la charge d’un enfant autiste gagneraient en moyenne 17 763 $ de moins annuellement que les autres ménages.

En effet, en comparant plusieurs éléments sociodémographiques (âge des parents, éducation, race, etc.), il a été démontré que le père d’un enfant autiste avait autant de chances d’être embauché et de gagner le même salaire qu’un autre homme.

Toutefois, il en était très différent pour la mère. Selon l’étude et conformément aux autres mères, celle qui a un enfant autiste était 6 % moins susceptible d’être employée, travaillait en moyenne sept heures de moins par semaine ou avait moins de la moitié du revenu annuel.

Les chercheurs ne peuvent dire avec certitude que l’écart est causé par le fait d’avoir un enfant atteint d’autisme. Ils concluent tout de même que devant ce problème de santé de plus en plus diagnostiqué (1 enfant sur 110), on se doit de trouver un moyen de mieux venir en aide à ces familles et éviter que l’enfant ne soit un fardeau financier pour les parents qui désirent venir en aide à leur petit (équilibre travail-famille, subventions, etc.).

Aux États-Unis, on estime à 3,2 millions de dollars les coûts engendrés par l’autisme au cours d’une vie.

L’étude repose sur des données provenant d’enquêtes nationales sur les ménages réalisées chaque année entre 2002 et 2008.

Catégories
Uncategorized

Encore du chemin à faire en matière de santé mentale

Une récente enquête menée pour le compte de l’Alliance canadienne pour la maladie mentale et la santé mentale auprès de 450 entreprises canadiennes nous apprend que 80 % des employeurs accordent plus d’importance à cet aspect qu’il y a trois ou cinq ans.

Ce sont toutefois les cadres oeuvrant dans les départements de ressources humaines qui se préoccupent davantage de santé mentale. Seulement 13 % des autres cadres supérieurs se sont dits très sensibles aux répercussions des problèmes de santé mentale sur une entreprise.

De plus, parmi les répondants qui n’indiquait aucune ou qu’une certaine sensibilisation chez les hauts dirigeants, 47 % d’entre eux n’envisageaient aucune solution concrète pour apporter des améliorations pour la santé mentale des employés.

« Le fait que l’on ne se soucie pas suffisamment de mesurer les répercussions des problèmes de santé mentale sur le travail, afin d’effectuer une analyse de rentabilisation qui justifierait les moyens à prendre pour les régler, constitue le plus grand obstacle à l’appui des dirigeants », a souligné Anne Nicoll, l’auteure de la recherche.

Catégories
Uncategorized

Le niveau de stress chez les travailleurs est élevé

Selon une enquête menée par CROP pour l’Ordre des conseillers d’orientation du Québec, 49 % des travailleurs affirment vivre avec le stress dans le cadre de leur emploi; dans le tiers des cas, ces derniers ont de la difficulté à ne pas penser au travail lorsqu’ils sont à la maison.

Ce sont les femmes qui sont les plus touchées par le stress, 53 % d’entre elles le subissant, tandis que 44 % des hommes sont sujets au stress.

« Ces résultats peuvent paraître inquiétants, particulièrement chez les femmes. Il faut savoir qu’elles subissent probablement davantage de stress, car elles assument encore de nombreuses responsabilités familiales. Il est parfois difficile de tracer une limite entre les réalités personnelle et professionnelle. C’est pourquoi il importe de mettre en place plus de mesures permettant de mieux équilibrer le travail et la vie personnelle », a précisé M. Florent Francoeur, président-directeur général de l’ordre professionnel.

Le sondage démontre également que ce phénomène augmente puisque 51 % des travailleurs québécois estiment que le stress dans leur milieu de travail a tendance à augmenter.