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Prise de sang pour déceler les fausses contractions

La recherche provient de l’Hôpital Mont Sinaï de Toronto, au Canada. La prise de sang validera si les contractions utérines représentent le travail réel d’accouchement ou si la mère peut retourner chez elle sans s’inquiéter.

Lors d’une première grossesse, vers la fin du terme, les femmes ont tendance à se rendre souvent à l’urgence lorsque de fausses contractions surviennent. Les scientifiques ont donc effectué des tests auprès de 150 femmes enceintes en Australie.

Même si le taux de succès s’est avéré de 70 %, Stephen Lye, professeur à l’Institut de recherche de l’Hôpital Mont Sinaï, croit que les résultats sont concluants.

« Les études indiquent que certains marqueurs présents dans le sang des futures mamans sont en mesure d’indiquer si celles-ci sont sur le point d’accoucher ou non. »

Comme l’indique Top Santé, à la base, pour déterminer si vos contractions sont réelles ou fausses, allongez-vous et détendez-vous. En principe, elles se dissiperont. Si le travail est commencé, l’intervalle et l’intensité se régulariseront.

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Prise de sang pour déceler les fausses contractions

La recherche provient de l’Hôpital Mont Sinaï de Toronto, au Canada. La prise de sang validera si les contractions utérines représentent le travail réel d’accouchement ou si la mère peut retourner chez elle sans s’inquiéter.

Lors d’une première grossesse, vers la fin du terme, les femmes ont tendance à se rendre souvent à l’urgence lorsque de fausses contractions surviennent. Les scientifiques ont donc effectué des tests auprès de 150 femmes enceintes en Australie.

Même si le taux de succès s’est avéré de 70 %, Stephen Lye, professeur à l’Institut de recherche de l’Hôpital Mont Sinaï, croit que les résultats sont concluants.

« Les études indiquent que certains marqueurs présents dans le sang des futures mamans sont en mesure d’indiquer si celles-ci sont sur le point d’accoucher ou non. »

Comme l’indique Top Santé, à la base, pour déterminer si vos contractions sont réelles ou fausses, allongez-vous et détendez-vous. En principe, elles se dissiperont. Si le travail est commencé, l’intervalle et l’intensité se régulariseront.

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Enceinte et angoissée, est-ce normal?

Il ne s’agit pas uniquement de craindre l’accouchement (et donc la douleur) ou les changements physiques, mais aussi de se poser des questions sur son futur rôle de mère. D’autres femmes s’inquiéteront davantage de la santé du bébé et auront aussi peur de ne pas mener leur grossesse à terme, ajoutant une anxiété supplémentaire.

Selon Top Santé, il faut avant tout lâcher prise et accepter le fait qu’il nous est impossible d’avoir le contrôle sur tout. Si l’angoisse est trop importante, il est essentiel d’en glisser un mot à son praticien, qui pourra vous recommander à un thérapeute qualifié.

D’autre part, ne soyez pas trop sévère avec vous-même. Les hormones jouent un grand rôle dans votre instabilité émotionnelle. Selon Sylvie Séguret, psychologue : « La grossesse se caractérise par un important remaniement psychique. Des émotions, des souvenirs parfois très anciens resurgissent et évoluent au cours des neuf mois ».

Le plus important, lorsque vous prendrez conscience de ces moments de vulnérabilité pendant la grossesse, c’est de partager vos craintes. Ne gardez pas tout cela enfoui. Libérez-vous de ces pensées négatives.

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Nouvelle théorie sur la vitamine D pendant la grossesse

De l’obésité de l’enfant au risque de prééclampsie chez la femme enceinte, en passant par une diminution de la densité osseuse, le manque de vitamine D est au cœur de bien des recherches scientifiques.

Cette fois-ci, c’est la carie dentaire qui est en cause dans une nouvelle recherche publiée sur le site Pediatrics.

Les experts ont relevé les données de 134 futures mères âgées en moyenne de 19 ans. Chacune fournissait des informations concernant sa santé, son statut socioéconomique et donnait un échantillon de sang pour le niveau de vitamine D.

Par la suite, autour de l’âge d’un an, la santé dentaire des enfants était examinée. Un second questionnaire validait les habitudes de vie de l’enfant (alimentation, allaitement).

À la lumière des résultats, le nombre de caries chez les enfants était inversement proportionnel au niveau de carence en vitamine D de la mère lorsqu’elle était enceinte. Ainsi, plus le nombre de caries était élevé, plus cela correspondait à un faible niveau de vitamine D pendant la grossesse.

L’auteur principal de la recherche, Robert J. Schroth de l’Université du Manitoba, affirme qu’il s’agit d’un premier pas vers la prévention intra-utérine de la santé dentaire.

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Le poisson est nocif pendant la grossesse

Le poisson est pourtant un aliment riche en omégas 3 et d’ordinaire fortement recommandé dans une alimentation saine. Mais les polluants organiques persistants (POP), selon cette nouvelle étude rapportée par Top Santé, sont nocifs pour le fœtus.

Le cadre de la recherche souhaitait évaluer la réponse des consommateurs à la sensibilisation à l’exposition des nourrissons et enfants aux POP. Or, ceux-ci sont transmis par ingestion d’aliments, surtout le poisson. Divers avis sont d’ailleurs émis par les agences de santé à cet effet.

Les scientifiques ont procédé à une simulation, validant si la diminution de consommation de poisson recommandée par les agences sanitaires se reflétait sur l’exposition du fœtus aux POP.

Il semble que si la future mère diminue ou cesse la consommation de poisson pendant la gestation, l’exposition est réduite de 10 à 15 % tout au plus. Par conséquent, les femmes devraient cesser de manger du poisson dès qu’elles tentent de concevoir un enfant.

Les résultats ont été publiés dans la revue Environmental Health Perspectives.

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Grossesse : attention aux antinauséeux

Le Devoir rapporte quelques statistiques et la publication d’une lettre ouverte concernant les antinauséeux, dont un en particulier, et les problèmes qui peuvent s’y rattacher.

On rapporte d’abord que 80 % des femmes enceintes québécoises se font prescrire des antinauséeux au cours de leur grossesse. De ce nombre, une grande majorité se verra offrir du Diclectin, l’antinauséeux justement visé par les avertissements rapportés.

Plusieurs médecins estiment que le Diclectin est à utiliser avec prudence, bien que l’on ne veuille pas créer un sentiment de panique chez les femmes québécoises et d’ailleurs.

La Société des obstétriciens gynécologues du Canada (SOGC) souhaite simplement sensibiliser les médecins et les femmes au phénomène, et estime que les médicaments ne devraient pas être la première solution désignée pour contrer des problèmes de nausée lors de la grossesse.

On estime à 33 millions le nombre d’utilisatrices du Diclectin.

La lettre de mise en garde en question a été publiée dans le Journal of Obstetrics and Gynaecology of Canada (JOGC).

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Assurez-vous de prendre suffisamment de poids pendant la grossesse

Une nouvelle recherche menée aux États-Unis et rapportée par le Telegraph met en lumière un nouveau facteur à considérer pour l’obésité juvénile.

Au départ, les spécialistes croyaient que seules les femmes prenant trop de poids pendant leur grossesse augmentaient le risque de surpoids de l’enfant. Cependant, ils ont découvert que le contraire est également vrai.

La prise de poids idéale se situe entre 22 et 26 livres pendant la grossesse. Les résultats de la recherche effectuée par Dre Monique Hedderson et son équipe de la Kaiser Permanente Division of Research, en Californie, se présentent comme suit :

– Femmes dont la prise de poids était idéale : 14,5 % d’enfants en surpoids ou obèses;

– Femmes dont le poids était sous la moyenne : 19,5 % d’enfants en surpoids ou obèses;

– Femmes en surpoids pendant la grossesse : 20,4 % d’enfants en surpoids ou obèses.

Selon l’auteure principale de la recherche, Sneha Sridhar : « Trop ou trop peu de prise de poids pendant la grossesse peut altérer les mécanismes qui gèrent l’équilibre énergétique et le métabolisme de façon permanente ».

Conséquemment, cela peut avoir un effet à long terme sur la croissance et le poids de l’enfant.

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Encore 86 000 filles-mères annuellement aux États-Unis

C’est un nouveau rapport publié par les Centers for Disease Control and Prevention qui révèle ces récentes données, indique Medical News Today.

Le taux le plus bas de naissances chez les adolescentes de 15 à 17 ans a été enregistré en 2012. Cependant, durant cette année, plus de 86 000 jeunes filles ont eu un enfant.

C’est comme si toutes les campagnes de sensibilisation et la communication sur les différents moyens de contraception ne se rendaient pas à elles. « Malgré un progrès significatif pour réduire les grossesses, il y en a encore beaucoup trop », dit le Dr Tom Frieden, directeur des CDC.

« Les naissances des adolescentes sont celles qui comportent les plus grands risques de mauvaises conséquences médicales, sociales et économiques. »

Ce taux doit être considéré comme très élevé, puisque 73 % des adolescents de cet âge n’ont pas encore eu de relation sexuelle. Chez ceux qui sont actifs, plus de 80 % n’ont eu aucune forme d’éducation sexuelle.

Le taux de naissance est particulièrement élevé au niveau des adolescentes hispaniques, noires non hispaniques et des Indiennes américaines/natives de l’Alaska.

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Comment aborder la question de la libido pendant la grossesse

Top Santé rapporte les raisons principales citées par des femmes, selon la sexologue Chantal Fabre-Clergue. Entre les hormones, l’inconfort avec ces nouvelles courbes difficiles à accepter et les craintes de perdre l’enfant, il est normal que la femme se dissocie de sa vie sexuelle.

Mais en plus, il y a les malaises physiques, notamment les nausées et vomissements, les reflux gastriques, les maux de dos et la fatigue qui peuvent influencer le niveau du désir.

Malheureusement, cette situation peut se limiter au premier trimestre, mais peut aussi se poursuivre tout au long de la grossesse. Plus le ventre grossit, et plus les positions sexuelles sont limitées, sans compter qu’en fin de compte, c’est le conjoint qui peut finir par craindre de déclencher l’accouchement.

D’un autre côté, ces grandes fluctuations du désir accompagnent plutôt la première grossesse. Il ne faut donc pas se décourager. La prochaine ne sera pas nécessairement identique.

Si vous ou votre conjoint vivez mal cet aspect de votre relation de couple, plutôt que de vous refermer, parlez-en à un sexologue spécialisé, qui pourra vous aider à trouver des alternatives pour conserver votre complicité et votre tendresse.

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Restez active pendant votre grossesse!

Les activités aquatiques

La natation et l’aquagym sont deux excellentes activités pour vous garder en forme. De plus, une récente étude mentionne que les futures mamans actives influencent déjà la prédisposition des enfants à être eux aussi portés vers l’activité physique.

La natation permet aussi de maintenir vos muscles du ventre, du dos, des reins, des cuisses et du périnée. L’apesanteur réduira également les douleurs articulaires, et l’aquagym vous fera relaxer tout en stimulant vos muscles.

Les étirements tout en douceur

Le yoga et les étirements en douceur sont fortement recommandés, puisqu’ils peuvent être pratiqués pendant presque toute la grossesse. Bien entendu, si vous avez des contre-indications de la part de votre médecin, il faudra les respecter.

Le yoga vous permettra non seulement de diminuer votre stress et de relaxer, mais il vous apprendra différentes techniques de respiration, fort utile en vue de l’accouchement.

Sinon, il vous reste la marche, qui demeure la meilleure façon de bouger tout au long des 9 mois. Oxygéner son sang est extrêmement bénéfique, tant pour la mère que le bébé.