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Une grossesse sans fumée

Selon une recherche publiée dans la revue médicale Obstetrics & Gynecology, les futures qui écrasent pour de bon lors de la grossesse risquent davantage de donner naissance à un poupon en santé.

« Nos résultats démontrent que les femmes qui cessent de fumer au cours du premier trimestre de grossesse ont un risque d’accoucher prématurément comparable à celui des futures mères qui n’ont jamais fumé. Cette incidence diminue au deuxième trimestre, mais jamais autant qu’au premier », a expliqué l’auteure derrière ces résultats, la Dre Laura L. Polakowski.

Cette dernière espère donc que son étude sera peut-être une raison supplémentaire pour les femmes enceintes de cesser pour de bon de fumer.

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Boire ou ne pas boire d’alcool lors de la grossesse?

Le quotidien La Presse nous apprend l’intention de la Société des obstétriciens et des gynécologues du Canada (SOGC) de réviser ses recommandations en matière de consommation d’alcool lors de la grossesse.

Ce projet vise à uniformiser les consignes en la matière données par les médecins au pays. « Il existe des incohérences considérables en ce qui concerne la façon dont les professionnels de la santé abordent la prévention, tant pendant la grossesse qu’avant la conception », a déploré la vice-présidente de la SOGC, Mme Vyta Senikas.

Au Québec, le Collège des médecins recommande aux futures mères d’éviter de consommer de l’alcool dès leur intention de tomber enceinte. L’ordre professionnel apporte tout de même la nuance suivante : « Personne non plus ne devrait culpabiliser une femme enceinte qui choisirait de prendre un verre à l’occasion ».

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Les femmes enceintes doivent consommer des fruits et légumes

Des chercheurs de l’école de médecine de l’Université de Boston ont découvert que chez les femmes enceintes, la consommation d’au moins sept portions de fruits et légumes par jour pouvait réduire modérément les risques de développer une infection des voies respiratoires supérieures, rapporte le Science Daily.

Les infections des voies respiratoires supérieures peuvent être, entre autres, une grippe ou une infection des sinus, ce qui peut mener à des problèmes au niveau des voies respiratoires inférieures, comme de l’asthme ou une pneumonie.

Malgré le fait que la plus grande partie de ces infections s’avèrent être de simples rhumes, l’identification de moyens pour les prévenir est importante puisqu’ils sont la raison la plus fréquente d’absences à l’école ou au travail.

Manger des aliments nutritifs, spécialement des fruits et des légumes, rend le système immunitaire plus fort et cette récente recherche a prouvé que les bénéfices étaient les mêmes chez les femmes enceintes.

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L’exposition aux contaminants lors de la grossesse

Selon une équipe de chercheurs des universités de Montréal et McGill, une exposition aux contaminants environnementaux lors de la gestation affecte le développement des fœtus, particulièrement les mâles.

Parmi les effets observés, on note une diminution de l’action des hormones mâles et une diminution de l’écart du poids à la naissance entre les filles et les garçons.

Chez les nouveau-nés, on observe également plus de malformations congénitales et une diminution de la fertilité chez les hommes.

Prudents, les auteurs de l’étude, dont les détails sont publiés dans la revue médicale Epidemiology, croient que d’autres recherches en la matière doivent être menées afin de corroborer leurs résultats.

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Vers un traitement des nausées matinales

Une étude menée auprès de 82 000 bébés nés en Israël a démontré que le métoclopramide, un médicament fréquemment utilisé dans ce pays pour traiter les nausées matinales chez les futures mères, était sans danger pour le foetus.

Cette recherche a été effectuée par des chercheurs de l’Université Ben-Gourion du Néguev entre 1998 et 2007 et comparait les nouveau-nés dont la mère avait consommé du métoclopramide pendant trois semaines de gestation à ceux dont la mère avait refusé d’en prendre.

Les chercheurs n’ont trouvé aucune conséquence grave, comme des malformations congénitales, entre les poupons et ont conclu que le médicament était sans danger.

Jusqu’ici, aucun médicament pour venir à bout des nausées chez les femmes enceintes n’a été approuvé par la Food and Drud Administration des États-Unis.

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Le dodo contre la dépression post-partum

Une recherche menée par l’équipe du Dr Meir Steiner, de la clinique Women’s Health Concerns d’Hamilton, en Ontario, démontre que l’on pourrait éviter davantage la dépression post-partum chez les nouvelles mamans avec plus de sommeil.

En 2005, le chercheur a instauré un programme pour les patientes qui avaient souffert de ce trouble et qui appréhendaient une autre grossesse. Ce programme consistait à augmenter les jours d’hospitalisation à cinq pour les nouvelles mamans et leur poupon, placé en pouponnière quelques heures durant la nuit.

« L’idée est de prévenir le manque de sommeil qui semble être le pire ennemi des femmes qui présentent un risque », a expliqué le Dr Meir Steiner.

Devant le succès qu’a connu l’initiative de M. Steiner, sept centres hospitaliers de l’Ontario ont choisi de l’adopter.

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Carence de vitamine D chez les futures mères

Le tiers des femmes et plus de la moitié de leur nouveau-né souffrent d’une carence de vitamine D au moment de la naissance, selon la Dre Anne Merewood et son équipe du Centre d’allaitement du Boston Medical Center.

La chercheuse a évalué le taux de la vitamine-soleil chez 433 femmes ayant donné naissance, en le comparant à celui obtenu par le cordon ombilical de 376 bébés, dans les 72 heures suivant l’accouchement.

Ils ont découvert qu’il y avait carence de vitamine D chez 36 % des femmes et 58 % des nouveau-nés.

Il semble que ce phénomène soit même observé chez les participantes ayant consommé des suppléments vitaminiques avant leur grossesse.

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Le valproate, nocif durant la grossesse

Une recherche, publiée dans le New England Journal of Medicine, nous apprend que les femmes enceintes prenant du valproate durant la grossesse exposent leur enfant à des retards dans le développement de leur cerveau.

Selon la Dre Kimford J. Meador, professeure de neurologie à la Faculté de médecine Emory à Atlanta, le quotient intellectuel des enfants âgés de trois ans dont la mère a pris le médicament antiépileptique lors de la grossesse était inférieur de six à neuf points.

« Il y a un risque clair lié au valproate et les médecins ont une obligation d’en informer les femmes. Valproate a encore un rôle important à jouer pour traiter l’épilepsie, car les crises de certains patients ne peuvent être maîtrisées qu’avec ce médicament. Cependant, nous recommandons que les femmes épileptiques essayent tout d’abord un autre traitement », a mentionné la chercheuse.

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Les effets de la pollution sur le foetus

Une analyse de dossiers médicaux de plus de 336 000 nouveaux nés a permis à une équipe de chercheurs de l’École de santé publique de l’Université de médecine et dentisterie du New Jersey, de conclure que la pollution atmosphérique ralentit le développement du foetus.

L’équipe du Dr David Rich a analysé le degré d’exposition des futures mères lors de la gestation.

Selon eux, le risque de bébé de petit poids augmente de manière significative à chaque tranche de 4 micromètres de particules dans l’air au cours des premier et troisième trimestres de grossesse.

On ignore toutefois pourquoi la pollution affecte les fœtus, mais certains chercheurs croient que cela est dû à l’activité des cellules.

Tous les détails se retrouvent dans le Journal of Epidemiology and Community Health.

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Les dernières statistiques en matière de maternité

Le rapport intitulé Enquête canadienne sur l’expérience de la maternité, publié hier (24 mars) par l’Agence de la santé publique du Canada, fait état des dernières statistiques concernant les femmes enceintes.

Parmi les conclusions, on apprend que le taux de césariennes élevé inquiète les autorités et que les futures mères devraient être mieux informées à propos des différentes options, comme les épidurales.

« Nous avons tendance à faire trop d’interventions pendant le travail et l’accouchement. Notre taux de césariennes est en hausse. Nous déclenchons, accélérons le travail et nous utilisons beaucoup l’épidurale », a déploré l’un des auteurs de ce rapport, la Dre Beverley Chalmers.

Selon l’agence fédérale, ce type d’interventions peut augmenter les complications. « Je pense qu’on devrait revenir à une approche plus naturelle. La technologie, c’est fantastique et c’est vraiment important quand les femmes en ont vraiment besoin. La question est combien de femmes ont besoin de tant d’interventions », a conclu la Dre Chalmers.