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Le syndrome métabolique et le cancer

On apprend par l’entremise de e-sante.fr que la façon dont les gens se traitent eux-mêmes est assurément un facteur influent dans les risques de cancer.

On traduit l’ensemble des comportements adoptés par un individu sur sa santé comme « l’hygiène de vie », mais un terme plus scientifique et précis s’attache à ce groupe de comportements : le syndrome métabolique.

Ce dernier est défini comme un ensemble de comportements et de caractéristiques physiques qui en découlent, comme l’obésité, la haute pression et le taux de cholestérol dans le sang, par exemple.

Ce groupe de problèmes physiques est maintenant clairement mis en évidence dans le développement de plusieurs cancers, et les chercheurs italiens en tête de l’étude démontrent son influence sur les risques de développement de la maladie.

Les conclusions sont celles qui découlent de l’analyse de 43 études précédentes sur le sujet, qui regroupaient les données recueillies sur pas moins de 39 000 personnes.

Le syndrome métabolique augmenterait les risques de cancer du foie et colorectal de 43 % et 25 %, respectivement, chez l’homme, alors qu’il augmente de 61 % et 34 % les risques de cancer de l’endomètre et colorectal chez la femme, respectivement.

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Avoir un bébé après 30 ans diminuerait les risques de cancer

Alors que de plus en plus de femmes retardent la maternité par choix, voilà qu’il y a peut-être un élément de plus qui pourrait peser dans la balance pour elles.
 
En effet, selon des chercheurs de l’école de médecine Keck de l’Université de Caroline du Sud, plus les femmes attendent pour tomber enceintes, moins élevés sont les risques de développer un cancer de l’endomètre (cancer du corps utérin).
 
Parue sur le site de l’American Journal of Epidemiology, l’étude américaine a observé le cas de milliers de femmes pour conclure que les mères qui ont leur dernier enfant entre 30 et 34 ans ont 17 % moins de chances que celles âgées de 25 ans d’être atteintes de ce type de cancer.
 
Il semblerait que pour les femmes qui ont entre 35 et 39 ans, le risque baisse de 32 %, et de 44 % une fois que le cap de la quarantaine est passé.
 
Ainsi, en retardant la grossesse, les risques de cancer de l’endomètre seraient moins élevés. D’un autre côté, les chances que la femme soit moins fertile ou que le bébé soit atteint d’autisme augmentent, révèlent des études antérieures.