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L’endométriose augmente les risques de cancer des ovaires

Les femmes qui souffrent d’endométriose auraient deux fois plus de risques de développer trois formes courantes du cancer des ovaires.
 
Selon The Lancet Oncology, les risques de développer des cellules cancéreuses aux ovaires sont multipliés par trois, et pour les formes du cancer des ovaires comme l’endométrioïde et le cancer des ovaires séreux, les risques sont doublés.
 
Les chercheurs sont arrivés à ces résultats après avoir suivi 23 000 femmes, dont 8000 avaient développé un cancer invasif.
 
On estime que 10 % des femmes développeraient l’endométriose, alors que des tissus de la muqueuse de l’utérus se développent à l’extérieur de celui-ci.
 
Parmi les symptômes, on note des règles douloureuses, des relations sexuelles qui peuvent également être douloureuses et une baisse de la fertilité.
 
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Les causes de l’infertilité

Afin de mieux comprendre l’infertilité féminine, Sher Institutes of Reproductive Medicine présente les cinq raisons principales qui peuvent l’entraîner.

On parle tout d’abord des dommages aux trompes de Fallope. Souvent causés par une maladie transmise sexuellement (la chlamydia ou la gonorrhée, par exemple), ils viennent à empêcher l’ovule de joindre les spermatozoïdes.

L’endométriose, un trouble touchant l’utérus, peut quant à elle endommager les trompes et les ovaires. Ces derniers demeurent justement une troisième raison principale de l’infertilité. S’ils sont endommagés ou dans une position incorrecte, entre autres, cela peut empêcher le cours normal de l’ovulation.

Le cycle de l’ovulation peut aussi affecter le déclenchement d’une grossesse et le succès de celle-ci. L’un des facteurs d’une telle irrégularité est l’âge de la femme; on a déjà remarqué une baisse de sa fertilité à partir de l’âge de 35 ans.

L’utérus représente finalement le cinquième élément déclencheur, dans le cas où il est de forme et de taille anormales. L’exemple classique est celui du ventre en forme de T, ce qui fait que l’utérus et la cavité utérine sont nettement plus petits que la normale.

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Un diagnostic d’endométriose sans chirurgie

Une équipe de chercheurs associés aux universités de Sydney, en Australie, et de Karak, en Jordanie, ont mis au point un nouveau test qui ne nécessite aucune chirurgie pour diagnostiquer l’endométriose, une maladie gynécologique qui peut entraîner des règles douloureuses, des douleurs lors des relations sexuelles et même l’infertilité.

Cette technique consiste à prélever des cellules dans la paroi de l’utérus, en passant par le vagin, alors que pour le moment, les médecins doivent pratiquer une chirurgie afin de prélever des cellules hors de l’utérus et susceptibles de se retrouver dans d’autres organes.

Jugé efficace à 100 % par la Société européenne de reproduction humaine et d’embryologie, ce test permettra peut-être de diminuer de 10 à 15 % le taux des femmes en âge d’avoir des enfants qui souffrent de cette maladie.