L’activité physique est bénéfique à bien des égards, mais elle entraîne la production de radicaux libres, des molécules d’oxygène dangereuses que l’on connait pour avoir un rôle à jouer dans le vieillissement ainsi que dans le développement du diabète et du cancer.
Le cresson serait riche en antioxydants qui détruisent ces radicaux libres.
« Ce que nous avons découvert est que consommer une quantité relativement petite de cresson chaque jour peut augmenter le niveau de vitamines antioxydantes qui peuvent aider à protéger notre corps et nous permettre de profiter des effets positifs de le garder en forme », explique le scientifique sportif de l’Edinburgh Napier University, Mark Fogarty.
Cependant, ceux qui n’aiment pas particulièrement le goût du cresson ne sont pas obligés d’en consommer chaque jour. Les recherches, publiées dans le British Journal of Nutrition, ont démontré que de manger un sac de 85 grammes de laitue deux heures avant de faire de l’exercice avait des effets similaires.
Aussi, le docteur Fogarty rappelle que le cresson est de la même famille que le chou-fleur, le brocoli et le chou. Cependant, en quantité égale, c’est le cresson qui contient le plus de nutriments bénéfiques.
On lit dans le Journal of Pediatrics des résultats scientifiques quant à l’impact des quantités de bon gras et de mauvais gras chez l’enfant. Rappelons que ce que l’on appelle « bon gras » en est un qui brûle plus facilement de l’énergie plutôt que d’en accumuler.
À la suite d’analyse de données, on comprend qu’une approche concernant la quantité de mauvais gras pourrait mieux contrer les taux croissants d’obésité et de diabète infantiles. Les enfants minces présentent une quantité plus importante de bon gras dans leur organisme.
On a pu faire cette constatation après avoir effectué des tests par imagerie auprès de 172 enfants âgés de 5 ans et plus. De plus, il semble que l’augmentation du bon gras lors du passage de l’enfance à l’adolescence, ainsi que sa corrélation inversée avec l’obésité, suggère qu’il joue un rôle majeur dans le métabolisme infantile.
Ainsi, en trouvant de nouveaux moyens pour augmenter la quantité de bon gras chez les enfants, on arriverait à combattre d’une toute nouvelle façon le diabète et l’obésité. Qui plus est, ces moyens se révéleraient plus sécuritaires pour leur santé.
On souligne finalement que bien des questions demeurent sans réponse quant à ce phénomène. Entre autres, on ne saurait dire encore si un enfant est plus mince parce qu’il présente un taux plus élevé de bon gras, ou s’il a un tel taux en raison de sa minceur.
Passage obligé, bébé porte des couches pendant au moins deux ans. Si les couches réutilisables gagnent en popularité, celles qui sont jetables sont encore les plus utilisées. Elles représentent pourtant un problème pour l’environnement.
Pas moins de 6 000 couches jetables seront portées en moyenne par bébé durant ses deux premières années de vie. Selon Le Parisien, l’entreprise Suez Environnement aurait une solution au million de tonnes déchets que représentent les couches.
Elles seraient transformées en compost. Les plastiques qu’elles contiennent (entre 10 et 20 %) pourraient ensuite être employés pour en fabriquer d’autres. Quant à la matière fécale et la cellulose, elles seraient digérées par la boue du composteur et l’on arriverait ensuite à produire du biogaz.
Le résidu qui demeurerait servirait quant à lui à l’épandage des champs; il constituerait un excellent compost. Il y donc tout à espérer de cette idée, au lieu de simplement jeter chaque couche souillée par bébé.