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Dominique Anglade aborde une période difficile de son enfance

Dominique Anglade était invitée au chalet de La vraie nature, aux côtés de l’animateur Jean-Philippe Dion ainsi que de ses autres invités, à savoir Clodine Desrochers et Félix-Antoine Tremblay.

Lors de son passage à l’émission, elle évoquait une période difficile de son enfance, en raison de sa mère qui souffrait de dépression et qui lui confiait souvent des propos troublants pour un enfant, alors qu’elle n’était seulement âgée que de 10 ans.

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Un sujet qu’elle a abordé quand Jean-Philippe a voulu savoir comment les choses se déroulaient avec sa maman.

«(…) Ma mère me parlait de suicide (…) Elle me disait: Tu sais, c’est peut-être la seule solution (…) Je lui disais: Non, non, maman, tu vas voir ça va aller mieux (…) Elle avait été hospitalisée et tout. Ça a été des moments difficiles pour la famille, mais en même temps, ça m’a donné une force, une résilience», dévoile l’ancienne cheffe libérale.

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Dominique a également ajouté que sa mère avait par la suite recherché de l’aide et avait bien guéri.

Une histoire très émouvante qui nous a permis de découvrir la politicienne sous un nouvel angle.

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Arnaud Soly: «Ce n’était vraiment pas un quartier familial»

Arnaud Soly était présent à La vraie nature, une émission qui nous offre chaque semaine des moments touchants en compagnie des personnalités invitées. L’humoriste n’y a pas fait exception en se livrant sur son enfance et sur le quartier dans lequel il a grandi.

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Ce dernier, né dans le Centre-Sud de Montréal, a vécu une jeunesse pour le moins particulière, ayant été confronté à des situations auxquelles un enfant n’est pas nécessairement confronté dans le quotidien.

Un quartier de la métropole où, au printemps, lorsque la neige fondait, Arnaud s’amusait dans les rues à compter les déchets, y compris des préservatifs et des seringues souillées, bien évidemment sans savoir de quoi il s’agissait.

«Rapidement ça devient normal pour moi de voir (…) quelqu’un se piquer dans les marches chez nous. Ce n’était vraiment pas un quartier familial», témoignait Soly.

Un moment… troublant en compagnie d’Arnaud!

Pour ne rien manquer de La vraie nature, rendez-vous tous les dimanches dès 21h30 sur TVA!

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Christine Morency se confie sur sa difficile relation avec sa belle-mère

Christine Morency était présente à l’émission La vraie nature, où elle évoquait des aspects plus personnels de son enfance, notamment sa relation tumultueuse avec sa belle-mère.

L’humoriste a vécu la séparation de ses parents lorsqu’elle était plus jeune, en plus du fait que son père ait décidé de partir pour refaire sa vie avec une autre femme.

Elle abordait sa relation avec cette femme à la demande de l’animateur Jean-Philippe Dion, qui voulait savoir comment se passait leur entente à l’époque.

«Très mal… cette femme-là disait tout le temps des choses super méchantes sur ma mère. Puis, quand j’allais chez mon père, je n’avais pas de chambre à moi. Moi, je dormais sur un matelas par terre ou en dessous des marches», témoigne Christine.

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«Parce qu’il n’y avait pas assez d’espace dans la maison?», demande Jean-Philippe.

«Parce que ses deux garçons à elle avaient une chambre et il ne restait plus de place pour moi. J’étais là une fin de semaine sur deux (…) C’est difficile, puis elle faisait exprès… admettons dans la nuit de se lever, d’allumer des lumières, de marcher sur mon matelas pour me réveiller», ajoute l’humoriste.

L’animateur a ensuite voulu savoir si en vieillissant, elle s’était permis de dire ses quatre vérités à sa belle-mère.

«Je me suis, oui… battue avec elle. Je me suis battue physiquement, oui, oui. Ça a été un solide coup de poing au visage (…) C’est que j’avais trop accumulé, avec les hormones, l’adolescence. Tout ce que tu vis, bien là, c’est sûr que ça fait un mélange explosif», confie Christine sans tabou sur cette période intense.

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Des événements de son enfance l’ont ensuite portée à consommer des drogues à un très jeune âge, et ce jusqu’en secondaire 5, pour ensuite trouver son bien-être dans le théâtre.

Un moment fort émouvant en compagnie de Christine Morency.

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Isabelle Boulay: «J’ai vécu beaucoup de traumatismes»

«Notre père était violent des fois avec nous autres»

Isabelle Boulay était l’artiste mise en lumière lors de la plus récente émission de Pour une fois, un moment émouvant en sa compagnie et celle de ses interviewers, dont Guylaine Tanguay.

C’est lors d’un entretien entre les deux chanteuses qu’Isabelle abordait son enfance difficile.

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«La petite Isabelle qui a dû prendre des responsabilités quand même assez jeune. Qui est devenue une grande femme bien avant d’être grande. Tout ça est arrivé parce que ton père a eu un grave accident, évidemment. Et puis, ça a changé l’histoire de votre famille», débute Guylaine.

«Oui, oui», acquiesce Isabelle.

«J’aimerais ça savoir: est-ce qu’à un moment, tu as eu l’impression d’avoir un peu perdu ta vie d’enfant là-dedans?», renchérit la star du country.

«En fait, je suis une aînée de famille. J’ai grandi dans un contexte particulier, mais j’avais une sécurité affective qui était tellement grande. Celle qui était d’être avec grand-mère maternelle et ma tante Adrienne, qui vivait dans la même maison. Ceci dit, j’ai vécu beaucoup de traumatismes. Notre père était violent des fois avec nous autres, pas juste en paroles. Il l’était physiquement, mais j’avais la force aussi de peut-être prendre ça comme des maladresses. J’ai grandi aussi dans la bipolarité, il y en avait beaucoup dans ma famille. Et quand mes oncles entraient en décompensation psychiatrique, en crise, souvent, c’était chez nous que les policiers venaient les porter. Donc, j’ai vu toutes sortes d’affaires dans mon enfance, mais j’ai été rassurée à chaque fois. Il y avait quelque chose, qui était, qui émanait (…) comme une espèce de force tranquille. Qui je pense venait de ma grand-mère Émilia», répond avec vulnérabilité Isabelle.

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Isabelle dévoile par la suite qu’elle n’a toutefois pas connu sa grand-mère longtemps, puisqu’elle est décédée alors qu’elle n’avait que neuf ans.

Un moment très poignant en compagnie d’Isabelle et de Guylaine, deux chanteuses qui nous touchent profondément.