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La disparition du jeu libre chez l’enfant

Les enfants d’aujourd’hui ont beaucoup moins l’occasion de s’adonner au jeu libre. On a d’ailleurs remarqué une baisse radicale de ce type de jeu au cours des 50 dernières années. On accorde cette tendance aux parents, qui sont de plus en plus portés à diriger le jeu de leurs enfants.

Ces derniers s’adonnant beaucoup moins qu’autrefois au jeu libre, on peut y relier plusieurs problèmes de société. On lit sur ce une revue de plusieurs études dans une édition spéciale de l’American Journal of Play.

Le jeu libre représente une partie importante de l’enfance. Sa diminution entraînerait des conséquences sur notre développement social, mental et physique. Il permet à l’enfant de créer son propre univers, en particulier lorsqu’il s’agit d’un jeu extérieur.

On reconnaît entre autres une corrélation entre la baisse du jeu libre et l’augmentation des dépressions et des suicides. De plus, cette décroissance serait responsable de la montée du narcissisme chez les enfants comme les adolescents.

Le jeu libre aurait aussi des répercussions très positives quant aux capacités d’apprentissage de la lecture et des mathématiques. En se mêlant aux autres, les enfants développeraient leurs aptitudes à intégrer de nouvelles notions et à prendre leur place.

La diminution constante du jeu libre durant l’enfance a bien sûr des impacts sur la santé physique. Elle tiendrait un rôle important dans l’augmentation des cas d’obésité que nous connaissons depuis quelques années.

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Le visage en dit long sur l’enfance

On pourrait deviner l’enfance d’un adulte en analysant la symétrie de son visage, selon une étude parue dans l’Economics and Human Biology. Après l’analyse de 15 traits du visage, on a remarqué que l’asymétrie est un indice d’une enfance difficile.

Il semble que certains facteurs en particulier affectent les traits du visage d’une personne. On y compte l’exposition à la pollution et à la fumée de cigarette, la nutrition, la maladie et le statut socioéconomique.

Les habitudes de vie de même que la qualité de celle-ci seraient les critères les plus importants. De plus, une amélioration de la qualité de vie et l’accumulation de richesses ne changent rien à l’asymétrie du visage établie durant l’enfance.

Ces remarques ont été faites après que 292 visages aient été analysés. On peut se questionner comme parent quant à cette incidence et la qualité de vie de notre enfant.

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Le visage en dit long sur l’enfance

On pourrait deviner l’enfance d’un adulte en analysant la symétrie de son visage, selon une étude parue dans l’Economics and Human Biology. Après l’analyse de 15 traits du visage, on a remarqué que l’asymétrie est un indice d’une enfance difficile.

Il semble que certains facteurs en particulier affectent les traits du visage d’une personne. On y compte l’exposition à la pollution et à la fumée de cigarette, la nutrition, la maladie et le statut socioéconomique.

Les habitudes de vie de même que la qualité de celle-ci seraient les critères les plus importants. De plus, une amélioration de la qualité de vie et l’accumulation de richesses ne changent rien à l’asymétrie du visage établie durant l’enfance.

Ces remarques ont été faites après que 292 visages aient été analysés. On peut se questionner comme parent quant à cette incidence et la qualité de vie de notre enfant.

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Tests génétiques : pour ou contre?

Plusieurs voient d’un mauvais œil les tests génétiques effectués sur de jeunes enfants. On s’inquiète notamment sur les impacts psychologiques qu’ils pourraient avoir.

Pourtant, on lit dans le Journal of Pediatric Psychology un autre avis sur le sujet. Une chercheuse de l’University of Michigan, Dre Beth A. Tarini, y présente les avantages d’un tel recours.
 
Mentionnons tout d’abord que les appréhensions que nous connaissons ne sont pas basées sur des données empiriques, mais sur des perceptions et des hypothèses.
 
D’un autre côté, on rappelle que l’usage de ces tests génétiques permet de prévoir le développement de certaines maladies graves. Le diagnostic précoce de ces dernières permet très souvent des interventions hâtives qui ont des effets très positifs sur la santé des enfants atteints.
 
La détection durant l’enfance du possible développement d’une maladie génétique permet aussi de prendre les bonnes habitudes quant à sa situation, plus tôt dans la vie.
 
Malgré tout, Dre Tarini souligne que le recours à des tests génétiques peut effectivement entraîner, dans le cas où un enfant est avisé des résultats, une baisse d’image de soi et une détresse psychologique.
 
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La maladie mentale devient physique

Selon des chercheurs de l’University of Otago, en Nouvelle-Zélande, des problèmes de santé mentaux ou psychologiques, lorsque l’on est jeune, sont reliés à l’apparition de troubles physiques plus tard dans la vie.
 
Comme nous le lisons dans Archives of General Psychiatry, des problèmes tels qu’une dépression, de l’anxiété, la mort d’un parent, voire un divorce, seraient associés au développement de trois problèmes de santé chroniques.
 
Il s’agit de l’ostéoarthrite (la forme la plus courante d’arthrite), les douleurs chroniques à la colonne vertébrale et les maux de tête.
 
L’apparition en bas âge de problèmes mentaux ou psychologiques était toujours en relation avec de telles maladies chroniques à l’âge adulte dans la présente recherche.
 
Les chercheurs affirment aussi que l’on doit accorder une plus grande importance au trouble de l’enfance, puisqu’il serait associé à une plus forte probabilité de maladie chronique durant la vie adulte.
 
Bien que jusqu’ici on ait considéré l’influence de facteurs psychosociaux sur la santé future d’un enfant, on a peu pensé à celle de la santé mentale.
 
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La dépression postnatale, pour la vie?

Selon une recherche parue dans le Journal of the American Academy of Child and Adolescent Psychiatry, la dépression postnatale pourrait avoir des répercussions sur l’enfant.

En fait, si ce type de dépression se résout le plus souvent quelque temps après la naissance, elle pourrait en entraîner une chez l’enfant si la mère en souffre durant une plus longue période.

Les premiers signes pourraient en être reconnus dès l’enfance et, dans la majorité des cas, durant l’adolescence. Plus précisément, les enfants dont la mère avait souffert d’une dépression postnatale étaient 40 % plus enclins à en vivre une, une fois l’âge de 16 ans atteint.

De plus, l’âge moyen des premiers signes d’une dépression a été établi à 14 ans. Les signes d’un problème d’attachement à la mère durant l’enfance seraient aussi en lien avec le développement de ce mal.

Ces chiffres ont été établis selon 100 mères, dont 58 avaient reçu un diagnostic de dépression postnatale. À différentes étapes de l’étude, soit à 18 mois, puis à 5, 8, 13 et 16 ans, l’enfant et la mère ont ensuite fait l’objet d’une évaluation.

Les chercheurs rappellent donc, à la lumière de ces résultats, l’importance du dépistage de la dépression chez les nouvelles mamans afin d’offrir le soutien nécessaire le plus tôt possible.

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Le manque de sommeil et l’hyperactivité

Après avoir suivi 6 860 enfants, on a conclu que l’hyperactivité et l’inattention étaient plus fréquentes chez les jeunes enfants qui ne dorment pas suffisamment. Ces résultats ont été présentés à la rencontre de 2011 de l’Associated Professional Sleep Societies LLC.

Comme nous pouvons le lire sur Medical News Today, un manque de sommeil chez les enfants d’âge préscolaire est fortement lié aux problèmes de comportement cités, une fois que l’enfant est entré à la maternelle.
 
Mentionnons toutefois que les cas d’hyperactivité et d’inattention dont il s’agit ici sont ceux rapportés par les parents.
 
Ces nouveaux résultats semblent répondre à la récente association faite entre un comportement agressif et un manque de sommeil, toujours chez l’enfant.
 
Finalement, on avait déjà relevé des problèmes de sommeil chez des enfants d’âge scolaire et des adolescents. Le diagnostic d’hyperactivité et d’inattention survient habituellement durant les années d’école.

Cette corrélation nous indique malgré tout que les enfants qui ne dorment pas assez sont plus à risque de développer des troubles de comportement.

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Les traumatismes de l’enfance ont d’importantes conséquences

Une nouvelle étude américaine fait état de répercussions de traumatismes subis par les enfants. Ce que l’on constate devrait pousser les médecins à considérer le stress post-traumatique comme un mal tout aussi envahissant que le trouble déficitaire de l’attention.

C’est qu’un lien clair a été relevé entre un traumatisme et les risques de problèmes de comportement et d’apprentissage chez les enfants. De plus, ceux qui vivent une telle situation seraient plus exposés à souffrir d’obésité.
 
Les résultats parus dans Child Abuse & Neglect lèvent donc le voile, encore une fois, sur les problèmes de santé mentale pouvant découler de traumatismes infantiles.
 
Précisément, les enfants ayant vécu un traumatisme (dans cette recherche, quatre types d’événement) auraient 30 fois plus de risques d’avoir des problèmes de comportement ou d’apprentissage que les autres.

On conclut donc que l’évaluation de traumatismes devrait être faite systématiquement lors d’une visite médicale.

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L’intimidation peut vous suivre toute la vie

La violence familiale est plus présente que l’on pourrait le croire. Par exemple, on a déjà démontré par le passé qu’environ 25 % des femmes subiront de la violence de la part de leur conjoint et que près de 40 % des hommes ont été violents avec leur partenaire.

Une enquête récente parue dans Archives of Pediatrics & Adolescent Medicine Today fait maintenant la lumière sur l’association entre l’intimidation durant l’enfance et cette violence.
 
Dans le cadre de ce sondage réalisé auprès de 1 491 hommes de 18 à 35 ans, des chercheurs de l’École de santé publique de Harvard ont remarqué que les hommes qui avaient fait de l’intimidation lorsqu’ils étaient jeunes avaient plus tendance à être violents dans leur couple.
 
Les données de cette enquête sont par ailleurs un peu inquiétantes. Elles confirment l’association entre la violence durant l’enfance et celle à l’âge adulte.

Parmi les participants, 40 % ont avoué avoir déjà (de rarement à souvent) intimidé d’autres enfants lorsqu’ils étaient à l’école et 38,2 % de ces derniers ont dit l’avoir fait souvent.

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L’amour loyal, un jeu d’enfant

Une étude ayant porté sur près de 80 personnes âgées de 20 à 21 ans a démontré que la capacité à s’engager auprès d’une autre personne est reliée à ce que vit un jeune enfant.

C’est la conclusion à laquelle sont arrivés les auteurs de cette étude parue dans Psychological Science. Ils ont mis en relation l’engagement de jeunes adultes et la façon dont ils étaient traités par leur mère lorsqu’ils étaient âgés de deux ans.
 
En cours de route, on a aussi relevé comment les participants, une fois âgés de 16 ans, résolvaient leurs conflits avec leurs camarades.
 
Il semble donc que les jeunes enfants qui avaient reçu beaucoup d’affection de leur mère et qui trouvaient de meilleures solutions de conflit à l’adolescence arrivaient mieux à s’engager auprès de leur conjoint, plus tard dans la vie.
 
Par ailleurs, les chercheurs ont remarqué que les couples les plus disparates étaient ceux qui ne vivaient pas l’engagement de la même manière.

Selon les chercheurs de l’étude, ces résultats nous aideraient à mieux comprendre l’apprentissage de l’amour chez l’être humain.