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Les bébés tardivement prématurés et les problèmes durant l’enfance

Une naissance survenant avant la 37e semaine augmente le risque de problèmes émotifs et cognitifs, selon Pediatrics.

Une étude de l’Université de l’État du Michigan a ciblé la période entre la 34e et la 36e semaine de grossesse comme celle présentant les plus fortes proportions de troubles futurs.

Ainsi, les bébés tardivement prématurés courraient de deux à trois fois plus de risques d’avoir un quotient intellectuel plus faible vers l’âge de six ans.

De plus, ces enfants seraient plus sujets à démontrer des signes d’anxiété et présenter certains troubles d’inattention.

Ces résultats ont été obtenus d’après la comparaison entre des enfants nés au Michigan entre 1983 et 1985, une fois leurs 6 ans atteints, sans regard au QI de la mère ni au contexte démographique.

Les chercheurs devront maintenant trouver les véritables raisons se cachant derrière ces premiers résultats.

Pour l’instant, on se doute qu’ils proviennent de problèmes obstétriques, de complications néonatales ou d’autres problèmes postnataux. Une combinaison de ces trois facteurs est bien sûr envisageable.

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Lindsay Lohan admet avoir été irresponsable

Peu de temps avant d’entamer sa sentence de prison le mois dernier, Lindsay Lohan a accordé une entrevue au Vanity Fair, avouant avoir été irresponsable. Elle mentionne que son enfance, son père absent et ses mauvais choix ont fait en sorte qu’elle s’est égarée.
 
« J’ai été irresponsable », dit-elle. Elle confie qu’elle prenait un certain plaisir à faire la manchette constamment. Toutefois, elle nie tous les torts qu’on lui reproche.
 
« Je n’ai jamais abusé de médicaments d’ordonnance, jamais de ma vie, je n’en ai pas eu envie. J’ai admis les choses que j’ai faites. J’étais jeune, curieuse et d’autres personnes le faisaient, mais je vois ce qui s’est passé dans ma vie à cause de cela », confiait Lohan.
 
La starlette dit avoir complètement perdu le contrôle et la structure de sa vie. Une des raisons à cela est son père qui a toujours été absent : « Je pense que si quelqu’un doit être examiné médicalement, c’est lui ».
 
Maintenant, Lohan dit vouloir reprendre sa vie en main. « Je veux que ma carrière revienne au sommet. Je sais que je suis une bonne actrice et c’est ma passion depuis que je suis enfant. Je veux avoir le respect que j’avais quand je faisais de grands films », conclut-elle.
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Une enfance difficile peut provoquer des maladies cardiovasculaires plus tard

Grandir dans la violence, la pauvreté et l’isolement social contribue aux risques accrus de développer des maladies cardiovasculaires à l’âge adulte, selon ce que rapporte l’Association américaine de psychologie.
 
Après avoir étudié 212 adolescents de 14 à 16 ans pendant trois ans, on conclut que les expériences vécues durant l’enfance influencent grandement le développement de nombreuses maladies à l’âge adulte.
 
Peu importe le revenu familial, il semble que l’isolement social soit l’un des plus graves problèmes rencontrés. L’enfant qui vit le rejet de ses pairs voit notamment son estime de lui être à son plus bas.
 
Des facteurs de stress vécus dans l’enfance, comme la violence et la pauvreté, n’aident en rien également, rappellent les chercheurs de l’Université de Pittsburgh qui tentent d’approfondir leurs recherches sur les liens entre les expériences de l’enfance et la santé physique et mentale une fois adulte.
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L’intelligence influencerait la santé du coeur

Les personnes ayant une grande capacité intellectuelle lorsqu’elles sont enfants ont moins de risques de développer des maladies cardiaques avec l’âge.

L’American Journal of Public Health rapporte que des centaines d’études relient le quotient intellectuel durant l’enfance à une meilleure santé à l’âge adulte et une durée de vie plus grande.

On croit que l’environnement, même lorsque le bébé est encore dans l’utérus de la mère, joue un rôle important sur les capacités intellectuelles plus tard et les risques de maladies à long terme.

L’intelligence durant l’enfance influence les chances de trouver un meilleur emploi ou d’avoir un meilleur mode de vie.

Ainsi, les capacités intellectuelles à un jeune âge affectent indirectement la santé cardiovasculaire à long terme, mais elle influence surtout l’éducation, l’emploi et les habitudes de vie.

Pour les besoins de l’étude, l’University College de Londres a étudié 9 377 adultes britanniques depuis leur naissance en 1958. À l’âge de 11 ans, ils ont passé un test d’intelligence et les facteurs de maladies cardiaques ont été évalués à l’âge de 45 ans. On a défini un lien entre l’intelligence durant l’enfance et la santé de leur cœur.

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Une cause du syndrome de fatigue chronique

Une recherche, dont les détails se retrouvent dans Archives of General Psychiatry, démontre que le syndrome de fatigue chronique chez l’adulte pourrait être causé par des traumatismes émotionnels ou physiques survenus au cours de l’enfance.

« Le stress (dans l’enfance) combiné à d’autres facteurs de risque déclenche probablement le syndrome de fatigue chronique en raison de ses effets sur les systèmes neuro-endocrinien, nerveux central et immunitaire », a observé l’un des auteurs de cette étude, la Dre Christine Heim de la faculté de médecine Emory à Atlanta.

Pour tenter de définir les facteurs de risque de ce syndrome, qui touche environ 2,5 % de la population américaine, les chercheurs ont étudié 113 sujets souffrant de fatigue chronique et 124 individus en bonne santé.

Les résultats démontrent que le risque de souffrir de ce syndrome augmente de 600 % chez les participants du premier groupe, qui étaient également plus enclins à souffrir de dépression, d’anxiété et de stress post-traumatique.

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Les mauvais traitements au cours de l’enfance laissent des traces

L’équipe du professeur Moshe Szyf, de l’Université McGill, a découvert que les cerveaux des personnes qui ont subi de mauvais traitements au cours de l’enfance présentent des différences au niveau du marquage épigénétique.

Les variations de ce revêtement chimique ont été observées dans le cerveau de 13 hommes qui se sont suicidés et qui ont tous connu une enfance difficile.

« C’est la première fois qu’on observe une différence d’ADN entre des personnes qui se suicident et d’autres qui ne se suicident pas », a mentionné le Dr Szyf.

Avec cette découverte, les chercheurs s’interrogent maintenant à savoir si ce phénomène existe aussi dans l’ADN sanguin. Dans un tel cas, cette découverte mènerait vers un meilleur diagnostic pour effacer ces différences dans les marqueurs épigénétiques.