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Les bébés peu stressés développent moins d’allergies

Une nouvelle étude de l’Institut de Karolinska, en Suède, démontre que durant les deux premières années de leur vie, les nourrissons ayant de faibles concentrations de cortisol — l’hormone liée au stress — dans leur salive développent moins d’allergies que les autres nourrissons.

Depuis quelques décennies, le taux d’allergies chez les enfants ne cesse d’augmenter. En Suède, 30 à 40 % des enfants ont une quelconque forme d’allergie.

Le mode de vie et l’environnement dans lesquels on vit seraient des éléments qui influencent le développement de ces réactions liées au stress, et donc à un taux élevé de cortisol.

Les spécialistes espèrent que ces nouvelles connaissances seront utiles pour prévenir ce type de maladies. Les enfants seront dorénavant suivis dès la naissance et pendant toute leur enfance.

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Parents alcooliques : la santé mentale des enfants atteinte

L’étude Bottling It Up: The Next Generation, réalisée en Ukraine au cours de la dernière année, a démontré que dans ce pays, plus de 12 000 personnes avaient joint des groupes d’aide et que 2,6 millions d’enfants vivaient avec au moins un parent alcoolique.

La santé mentale de ces jeunes peut être affectée par l’alcoolisme parental, se traduisant par des désordres alimentaires, la dépression et même le développement d’une psychose à l’âge adulte.

Ces enfants seraient également portés à expérimenter les mondes de l’alcool et des drogues plus tôt que les autres.

En effet, sur 1000 parents alcooliques, 52 % autorisent leurs enfants à consommer. Soixante-dix-sept pour cent d’entre eux donnent le feu vert avant que l’adolescent ait 16 ans, et 6 % ne disent rien lorsque leurs enfants boivent avant l’âge de 10 ans.

Seuls 28 % de ces adultes sont conscients que leur problème d’alcool fait manquer des cours ou nuit à la concentration de leurs bambins en classe.

La moyenne de consommation quotidienne était de 10 fois la limite permise, soit l’équivalent de trois bouteilles de vin ou 15 chopines de bière.

Près de la moitié des gens qui ont rejoint des groupes d’aide sont des mères qui ont trois enfants ou plus et qui craquent à l’idée d’être des « supermamans ».

Pour déconnecter, sauver les apparences et tenter d’être toujours à la hauteur, la plupart des femmes boivent en cachette, le soir, lorsque les enfants sont au lit. Certaines vont même jusqu’à prendre de la vodka pour éviter l’odeur trop forte d’autres boissons.

Certaines disent que le manque de soutien de leur conjoint les pousse à sombrer dans l’alcool.

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Des céréales pour enfants beaucoup trop sucrées

Nous savions que les céréales pour enfants comportaient du sucre, mais peut-être pas autant que ce que le rapport de l’Environmental Working Group mentionne.
 
84 marques de céréales populaires pour enfants ont été analysées. Parmi les plus sucrées, on note les Froot Loops de Kellogg’s originales et celles aux guimauves, ainsi que les Cap’n Crunch de Quaker.
 
Une portion de Cheerios au miel et aux noix correspond à trois biscuits ou encore à 3 cuillères à café de sucre.
 
Comme les bols sont plus grands maintenant, les portions servies sont donc plus importantes, ce qui veut dire que la quantité de sucre est également augmentée.
 
Idéalement, ce sont les céréales sans sucre qui devraient être privilégiées.
 
Le petit déjeuner est le repas le plus important de la journée, surtout pour les enfants, et un bol de céréales est souvent la solution rapide. Il faut toutefois savoir bien les choisir, pour la santé de vos petits.
 
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La crise de colère : il ne faut rien faire!

Bien des parents vivent un désarroi en voyant leur jeune enfant faire une crise de colère, étant incapables de le maîtriser. Or, il ne faudrait pas tant s’en faire, selon des chercheurs américains.

On lit sur 7sur7.be que des chercheurs des universités du Minnesota et du Connecticut ont démontré, par le biais d’une étude, qu’il vaut mieux ne rien faire du tout quand un enfant fait une crise.

Surtout, on oublie la tactique de la pose de questions pour tenter de calmer notre tout-petit. Ce sera pire, car en plus de lui demander plus d’énergie, il vivra une frustration en n’arrivant pas à s’exprimer comme il le souhaite.

Le mieux à faire, avec les enfants âgés de 2 à 4 ans, est d’attendre que la tempête se calme, toujours selon les experts. On en viendra de toute manière au même résultat, et la crise de colère ne sera pas écourtée d’une manière ou d’une autre.

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Maman dépressive, enfant vulnérable?

Il semble que la dépression de la mère influence le comportement et le bien-être des enfants, lit-on dans Pain. En effet, il semble qu’un enfant dont la mère est dépressive ait plus de risques de souffrir d’anxiété ou de développer un problème de comportement.

Cette situation n’est pas aussi rare que l’on puisse s’imaginer. La dépression post-partum touche près de 15 % des femmes, et sûrement plus, car de très nombreux cas ne sont pas diagnostiqués.

Des effets à long terme se répercutent alors sur les enfants, en particulier en ce qui concerne leur développement social et affectif.

Par cette nouvelle recherche, on envisage plusieurs traitements potentiels qui pourraient donner de grands résultats. De plus, on peut déjà entrevoir de meilleures pistes de prévention.

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La douleur chronique, un mal infantile

On a remarqué une prévalence croissante de la douleur chronique dans la population infantile. Une analyse systématique publiée dans Pain nous présente les grandes lignes de ce problème de santé très actuel.

La douleur chronique peut avoir des conséquences sur de nombreuses sphères de la vie d’un enfant. Cela peut engendrer un plus grand absentéisme à l’école, ou encore mener l’enfant à abandonner des activités sociales.

Conséquemment, un enfant qui souffre de douleur chronique pourrait en venir à développer des symptômes d’introversion – l’anxiété, par exemple.

D’autre part, il semble que les filles aient plus tendance que les garçons à souffrir de douleur chronique. Et si ce problème de santé est très présent chez les enfants, il tend même à augmenter en importance avec l’âge.

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Avancées dans la recherche sur la leucémie

On annonce une avancée importante dans la recherche sur le cancer et la leucémie, mais aussi sur une rare maladie infantile. Des chercheurs qui étudiaient les mutations génétiques pouvant causer la leucémie ont découvert un lien menant au chérubisme, annoncent-ils dans CELL.

Cette maladie infantile rare est héréditaire. Elle fait partie des maladies osseuses. L’enzyme Tankyrase jouerait un rôle majeur dans le développement de la protéine qui dirige deux gènes connus du cancer.

L’enzyme en question pourrait ainsi avoir une influence quant à deux types de cancer du sang, la leucémie myéloïde chronique et la leucémie myéloïde aiguë. On pourrait expliquer de quelle manière l’enzyme modifie la protéine 3BP2.

En somme, l’enzyme Tankyrase constitue une cible potentielle quant à la création de traitement contre les maladies humaines. Et l’on envisage de nouvelles approches thérapeutiques contre le chérubisme, en utilisant des inhibiteurs déjà disponibles sur le plan clinique.

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L’insuffisance hépatique chez l’enfant

L’insuffisance hépatique sévère est un syndrome rare et très grave, et des adultes comme des enfants en sont atteints. Or, on lit une analyse sur Medscape qui remet en cause, entre autres, la transplantation du foie chez les enfants touchés.

Le fait est que les enfants qui bénéficient d’une greffe accusent encore, malgré l’intervention, de hauts risques de décès. De plus, les jeunes malades doivent souvent faire face à une longue liste d’attente pour une transplantation.

On explique donc que l’insuffisance hépatique sévère, chez l’enfant, doit être soignée selon une approche multidisciplinaire. Rappelons que la cause sous-jacente du syndrome demeure indéterminée dans de nombreux cas.

Malgré tout, dans le cas d’une insuffisance hépatique infantile, il faut recourir à des soins et envisager la transplantation le plus rapidement possible quand même. Ce syndrome entraîne une rapide détérioration neurologique, et plusieurs organes peuvent en subir les ravages en peu de temps.

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La récession a un impact sur la famille

On lit sur Science Daily que la récession cause certains torts au noyau familial. Des chercheurs ont voulu comprendre de quelle manière la situation financière actuelle pouvait causer des dommages à la famille.

Dans l’ensemble, on a remarqué que les parents qui vivaient des problèmes financiers et souffraient de détresse mentale (dépression) se retrouvaient à délaisser leur relation avec leurs enfants.

Les parents qui se retrouvent dans une telle situation auraient moins tendance à se sentir liés à leurs enfants. En retour, les enfants deviendraient moins enclins à s’engager auprès des autres, c’est-à-dire à faire du bénévolat ou aider les autres.

Cette étude nous démontre encore une fois que le comportement des enfants est influencé par des problèmes qui se situent au-delà de leur propre réalité.

Rappelons que des recherches précédentes avaient déjà relevé que la relation entre un parent et son enfant est un indicateur important des comportements sociaux que ce dernier adoptera.

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Plus de chances à l’école pour la classe moyenne

Des chercheurs américains présentent les résultats d’une étude dans American Sociological Review sur l’attitude des enfants à l’école en fonction de leur classe sociale. On y remarque encore, malheureusement, de grandes différences.

Il semble que les enfants issus de la classe moyenne soient plus enclins à demander de l’aide à leur enseignant, en comparaison aux enfants de la classe ouvrière. Cela a pour effet qu’ils bénéficient plus souvent de soutien et d’assistance.

Pour en venir à ce type d’observation, on a suivi pendant trois ans des enfants de la troisième à la cinquième année du primaire. On se rendrait fréquemment à l’école pour observer les jeunes sujets, et des questionnaires étaient attribués aux enseignants, aux parents et aux enfants.

On a donc remarqué que les enfants de la classe moyenne avaient plus tendance à être proactifs en classe, qu’ils s’affirmaient plus aisément en demandant de l’aide, alors que la demande d’aide semblait être, chez les enfants de la classe ouvrière, le dernier recours.