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Les enfants au coeur malade

Selon une étude parue dans le Journal of the American College of Cardiology, les enfants atteints de cardiomyopathie hypertrophique pourraient recevoir une nouvelle forme de traitement.

Expliquons que cette hypertrophie du cœur consiste en une augmentation du poids de celui-ci. Le tissu musculaire et la structure cardiaques peuvent en être touchés, et cela peut entraîner des perturbations des fonctions électriques du cœur.

La cardiomyopathie hypertrophique cause de la fatigue, des douleurs thoraciques et des syncopes, entre autres. Dans certains cas, elle peut causer une mort subite par arythmie. À l’heure actuelle, on tente surtout de réduire les symptômes, comme traitement.

On suggère maintenant qu’une ablation par radiofréquence serait efficace pour le soulagement des symptômes de la voie ventriculaire gauche des enfants atteints. Exécutée avec des cathéters, cette intervention a donné des résultats probants.

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Les stéroïdes seraient inefficaces contre l’asthme

Le traitement de l’asthme chez les enfants par l’inhalation de stéroïdes est des plus communs. Or, il ne serait pas aussi efficace que l’on pense, selon une étude de la Washington University School of Medicine of St. Louis.

Des chercheurs ont remarqué que l’inhalation quotidienne de stéroïdes n’apportait pas des résultats si différents lorsque des doses plus élevées étaient données à des enfants pour réduire la respiration sifflante, et ce, dès la première apparition des symptômes de l’asthme.

De plus, le traitement quotidien ressemblait beaucoup à un autre administré par intermittence, quant à la diminution de la gravité des symptômes de cette maladie des voies respiratoires.

Pour en arriver à ces conclusions, on a suivi environ 300 enfants d’âge préscolaire qui avaient une respiration sifflante sur une base continue et qui présentaient de hauts risques d’asthme.

Les résultats complets de cette recherche sont parus dernièrement dans le New England Journal of Medicine.

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Les enfants sont accros à l’image

Selon une récente étude, la moitié des filles et le tiers des garçons seraient prêts à tout pour avoir un corps parfait ou pour atteindre le poids idéal.

Menée auprès de 810 enfants, cette étude révèle aussi qu’ils sont prêts à poser des gestes dangereux pour leur santé afin d’atteindre leur but, lit-on sur Mail Online.

Un garçon sur dix prendrait donc des stéroïdes pour devenir musclé, et une fille sur huit prendrait des pilules pour maigrir – des laxatifs, par exemple.

De plus, 50 % des répondants ont avoué avoir comparé leur corps avec ceux des vedettes de la télévision. Filles comme garçons, le quart souhaiterait un jour subir une chirurgie esthétique.

On remarque une tendance très forte au recours à des solutions rapides, au prix de la santé, pour obtenir le corps idéal. Et cette situation ne touche plus que les filles, les garçons en sont désormais tout aussi touchés.

On décrit ainsi la pression exercée sur les enfants par les médias. Souvenons-nous qu’il y a quelques mois, on apprenait que des enfants aussi jeunes que cinq ans étaient traités pour anorexie sévère.

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Le cerveau des enfants avec un TDAH

En employant l’imagerie par résonance magnétique, des chercheurs ont remarqué une différence dans le cerveau des enfants vivant avec un trouble de l’inattention avec hyperactivité (TDAH).

Il semble que les voies cérébrales de ces enfants soient perturbées. Ces anomalies au cerveau pourraient même servir de marqueurs pour reconnaître un TDAH chez de futurs patients, annonce-t-on sur EurekAlert!.

En ce moment, il est encore très difficile de poser un diagnostic de TDAH. La très vaste gamme de symptômes comportementaux qu’il comprend le rend des plus délicats à poser. Il est certain qu’en reconnaissant un marqueur cérébral, on ferait une avancée majeure quant à ce trouble.

Précisément, les enfants atteints d’un TDAH utiliseraient des voies cérébrales légèrement différentes pour traiter une information, en comparaison aux autres enfants. Cela pourrait être dû à une anomalie de la matière blanche des voies cérébrales en question, atteignant ainsi le traitement des informations visuelles.

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L’accès à la garderie pour les démunis

Selon un récent rapport de la Direction de la santé publique de Montréal, les enfants pauvres auraient plus difficilement accès à des places de garderie à 7 $ par jour. La raison n’est pas que d’accessibilité géographique, mais bien économique.

On recommande donc que des mesures soient prises afin que ces enfants puissent plus facilement profiter des services d’un centre de la petite enfance.

Parallèlement, plusieurs études soutiennent qu’une situation inverse comporte de nombreux avantages pour les enfants. Il semble que fréquenter un service de garde de qualité diminue les inégalités, une fois que les enfants vont à la maternelle.

Ces inégalités touchent principalement le développement. On a remarqué de plus faibles différences quant à la socialisation et au développement du langage des tout-petits.

En ce moment, selon le rapport ici présenté, près de la moitié (40 %) des enfants qui vivent au sein de quartiers pauvres de Montréal accusent un retard sur un point ou plus de leur développement, en comparaison aux autres.

Les services de garde de moindre qualité se trouvent aussi en plus grande partie dans les quartiers pauvres de la ville. On a plus difficilement accès à des places à 7 $ par jour dans les secteurs Centre-Sud, Lachine, LaSalle, Anjou et Verdun, notamment.

Finalement, on note que les parents prestataires d’aide sociale ne sont pas souvent accueillis par les centres de la petite enfance.

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Plus d’enfants, meilleure santé du coeur

Plus une mère a d’enfants, mieux elle serait protégée de certains problèmes de santé. Selon des chercheurs l’University of California, les hormones de grossesse auraient un impact notable sur le bon état des vaisseaux sanguins.

De plus, comme nous pouvons le lire dans Fertility and Sterility, plus une femme a d’enfants, plus elle aura une bonne santé cardiaque. Précisément, si elle a connu plus de quatre grossesses, ses risques de décès d’une maladie cardiaque se trouvent largement diminués.

Il faut aussi mentionner que plus elle aura d’enfants, plus une femme pourra bénéficier d’un soutien à mesure qu’elle vieillira.

On ne pourrait encore expliquer ce phénomène, mais on a pu remarquer une véritable relation entre la fertilité et la santé du cœur des femmes. Une exposition prolongée à des taux élevés d’œstrogènes serait bénéfique.

D’autre part, on savait déjà que les femmes qui n’arrivent pas à tomber enceintes se trouvent aussi plus à risque de souffrir d’une maladie cardiaque, entre autres à cause de kystes aux ovaires.

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Pas de bonbons durant les fêtes d’enfants…

Une récente étude parue dans le Journal of Nutrition, Education and Behavior fera certainement réagir plus d’un tout-petit. Des chercheurs suggèrent de bannir les petits gâteaux et les bonbons dans les fêtes d’enfants.

De plus en plus, on remarque la tendance des écoles à interdire les sucreries lors des fêtes ayant lieu au sein de l’établissement. On tente maintenant de propulser cette interdiction à la maison.

La raison en est évidemment de prévenir l’obésité infantile, un phénomène aussi grandissant qu’inquiétant. Or, la présente étude a démontré que les enfants pouvaient ingérer jusqu’au tiers de toutes leurs calories quotidiennes pendant une fête d’anniversaire.

De plus, ces calories proviennent d’aliments riches en gras, qui comprennent beaucoup de sucre et peu de nutriments. Les exemples sont nombreux : gâteau, croustilles, jus, crème glacée, etc.

Cela semble bien entendu radical comme méthode. Toutefois, les chercheurs rappellent qu’une année comprend de nombreux jours fériés et que chaque élève de la classe fêtera son anniversaire. Si chacun de ces moments devient une occasion de s’empiffrer, ils considèrent qu’il y a là matière à réflexion.

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Mâcher de la gomme pour prévenir l’otite

Mâcher de la gomme réduirait les risques d’otite moyenne aiguë chez les enfants, donc leur prise d’antibiotiques, apprend-on dans Cochrane Library. Les enfants qui mâchent de la gomme comprenant du xylitol courraient 25 % moins de risques de développer une infection de l’oreille.

Des chercheurs de l’Université de Toronto ont confirmé cette hypothèse, déjà avancée précédemment, en faisant mâcher de la gomme à des enfants plusieurs fois par jour. Il s’agissait de deux morceaux de gomme, cinq fois par jour après le repas, durant deux à trois mois.

Ce n’est pas la première fois que l’on accorde cette propriété au xylitol. Cette substance est reconnue pour inhiber la croissance des bactéries. Elle a d’ailleurs été recommandée par plusieurs dentistes pour prévenir la carie dentaire.

Quant aux chercheurs de la présente étude, ils ne conseillent pas hors de tout doute de mâcher de la gomme avec xylitol pour éviter les infections de l’oreille. D’autres recherches sont nécessaires avant de s’avancer.

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Les enfants sont mal attachés

On lit dans Academic Pediatrics les constats d’une étude ayant porté sur la sécurité des enfants en voiture. Les trois quarts des enfants âgés de 4 à 9 ans n’ont pas une ceinture de sécurité adéquate.

En cas d’accident, cette situation peut entraîner jusqu’à la mort. De plus, ce ne sont pas tous les enfants qui s’attachent en voiture. Selon les 900 répondants de cette étude, des conducteurs, seulement 37 % des jeunes passagers portent la ceinture.

D’autre part, une mauvaise position de la courroie d’épaule a été signalée dans 44 % des cas. Quant au passant abdominal, il était positionné incorrectement dans 62 % des cas. Au total, au moins une des courroies était mal placée dans 78 % des cas.

On rappelle donc aux parents et à tous les conducteurs de ne pas hésiter à utiliser le siège d’auto et le siège d’appoint, selon l’âge de l’enfant que l’on promène en voiture.

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La prévalence de l’autisme liée à l’emploi

Le type d’emploi que l’on occupe influencerait les risques de mettre au monde un enfant autiste. Selon une recherche de l’Université de Cambridge, les parents oeuvrant dans le domaine scientifique auraient plus souvent un enfant atteint d’autisme, lit-on sur Bioscholar.

Il semble que les ingénieurs, les informaticiens et les employés de laboratoire seraient plus enclins à avoir un enfant autiste. Cette association s’expliquerait par la tendance de ces personnes à demeurer en continuelle réflexion sur leur travail.

Elles seraient aussi moins aptes à s’ouvrir aux relations sociales. On reconnaît ici des indices du syndrome de l’autisme. Un couple formé par des scientifiques verrait donc ses risques être augmentés. Cette tendance serait d’autant plus forte si le couple s’est formé sur le lieu de travail.

Mentionnons finalement que ces corrélations ont été établies selon une cohorte de parents ayant des enfants autistes. Le syndrome de l’autisme atteint environ 1 % de la population en général.