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Les femmes célibataires choisissent la FIV

On lit sur Mail Online que la proportion de procédures de fécondation in vitro chez les femmes célibataires ne cesse d’augmenter. Elles semblent de plus en plus enclines à choisir la FIV plutôt que de partager leur vie avec un homme pour avoir un enfant.

Ainsi, en 2009, au Royaume-Uni, on a relevé 1615 procédures de FIV avec don de sperme. De celles-ci sont nés 585 bébés. En 2010, le nombre de FIV est passé à 1963. Cela représente une augmentation de 21 % en un an.

Si l’on regroupe tous les types de procédures FIV, on arrive à 57 652 procédures en 2010. Au total, cela représente une hausse de 5,9 %. Cela englobe les FIV par injection intracytoplasmique, soit l’injection d’un spermatozoïde à la fois dans l’ovule.

Dans 74 % des cas, les femmes utilisaient leurs propres ovules. La plupart des procédures ont été administrées à des femmes de 18 à 34 ans, et un peu moins de 4 % des futures mères étaient âgées de 43 à 44 ans.

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Impacts de l’obésité infantile : nouvelles données

On parle beaucoup en ce moment des futurs risques pour la santé pour un enfant qui souffre d’obésité. Entre autres, on fait état des nombreux cas de maladies cardiovasculaires et de diabète à prévoir au cours des prochaines années.

Parallèlement, plusieurs soutiennent que le traitement de l’obésité infantile pourrait diminuer ces risques ainsi que ceux du développement de maladies métaboliques.

Une nouvelle étude menée par des experts de l’University of Nottingham renforce ces suppositions. Selon les données parues dans l’International Journal of Obesity, un enfant obèse s’exposerait hors de tout doute à des risques pour sa santé adulte. Et réduire son indice de masse corporelle aurait un certain effet protecteur, quoique léger.

D’autre part, après avoir analysé 11 études ayant porté sur la santé d’Occidentaux, les experts ont remarqué que l’on ne tenait pas compte de l’augmentation de l’IMC avec le temps. Ainsi, un enfant mince qui devient obèse plus tard dans sa vie court de grands risques d’hypertension artérielle, de maladies cardiaques et de diabète de type 2.

Il n’existe pas suffisamment de preuves, par ailleurs, pour établir un lien vraiment direct avec des risques pour la santé qui se retrouvent indépendants de l’IMC à l’âge adulte.

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Quand un frère ou une soeur meurt du cancer

Selon une étude parue dans Cancer Nursing, la première sur le sujet, la plupart des enfants dont un frère ou une sœur meurt du cancer vivront des changements dans sa vie au cours de l’année suivante, mais ceux-ci ne sont pas les mêmes pour tous.

On a analysé les changements individuels et ceux touchant les relations avec les autres chez des enfants endeuillés, et ce, en fonction de trois perspectives : la mère, le père, et les frères et sœurs.

Parmi les changements positifs et négatifs vécus, les frères et sœurs en deuil ont remarqué chez eux une plus grande maturité subséquente. Une grande partie des enfants ont aussi fait état d’une plus grande compassion, et des transformations dans leurs priorités se sont opérées.

Leurs parents ont pour leur part remarqué que leurs enfants vivaient de la tristesse, de la colère et qu’ils avaient tendance à s’isoler. De plus, ils ont relevé que les enfants avaient plus peur qu’une autre mort survienne.

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Le QI relié à l’usage des drogues

Selon une recherche ayant porté sur 8000 participants, on pourrait faire un lien entre l’usage des drogues et le quotient intellectuel. Il semble qu’un fort QI durant l’enfance entre en corrélation avec une plus grande vulnérabilité aux drogues illégales plus tard dans la vie.

Cette étude longitudinale met aussi en lumière que les femmes seraient encore plus touchées par ce phénomène, ajoute-t-on sur Medical News Today.

Pour tirer ces conclusions, les chercheurs ont évalué le quotient intellectuel des sujets lorsqu’ils avaient de 5 à 10 ans. Par la suite, des renseignements portant sur la consommation de drogue et la détresse psychologique ont été recueillis à 16 ans, puis à 30 ans.

Les drogues dont il est question ici incluent le cannabis, la cocaïne, le LSD, l’héroïne, les tranquillisants et les méthamphétamines.

Il s’est avéré que les hommes qui avaient un QI élevé à l’âge de 5 ans avaient été 50 % plus enclins à consommer certaines drogues à 30 ans. Chez les femmes, celles qui avaient un QI élevé au même âge se sont retrouvées deux fois plus vulnérables quant à la consommation de cocaïne et de cannabis.

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Les visages de la violence familiale

Selon les conclusions d’experts, la violence familiale n’est pas causée que par les parents, lit-on sur Pediatric News. Tous les membres de la famille peuvent en être responsables.

En effet, les enfants (ainsi que les préadolescents et les adolescents) peuvent eux aussi être la source du problème et présenter un comportement violent.

Par exemple, on note qu’en Australie, la moitié des cas retenus au tribunal pour cause de violence impliquaient un acte de l’enfant au parent, ce qui est notable.

Il semble par ailleurs que de tels événements se produisent un peu plus souvent au sein des familles monoparentales, soit 58 %. Les cas de violence familiale envers un parent sont le plus souvent perpétrés par un garçon contre sa mère.

Il semble aussi que les garçons soient plus vulnérables à adopter la violence physique dans leurs futures relations. Les filles, quant à elles, sont plus enclines à souffrir d’abus verbaux ou émotionnels.

On accorde peu d’attention à la violence de certains enfants envers leur frère, leur sœur ou leurs parents. Peu à peu, on les reconnaît comme des problèmes sociaux graves, et les lois devraient les concerner.

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Les règles de la santé infantile

Plusieurs études ont démontré l’influence du sommeil et du temps passé devant la télévision sur la santé et le poids des enfants. On lit donc sur Medical News Today un résumé des lignes directrices à suivre.

On souligne que le sommeil peut aider notre enfant à maintenir un poids santé. Il a plusieurs fois été démontré que dormir suffisamment aidait efficacement à avoir un poids corporel normal.

Les enfants qui dorment moins de 9 heures par nuit ont 2 fois plus de risques d’avoir un surpoids, en comparaison avec ceux qui cumulent 11 heures de sommeil. Ceux qui dorment de 9 à 10 heures par nuit ont quant à eux un risque de surpoids 1,3 plus élevé.

On a aussi prouvé que plus un enfant passe de temps devant la télévision ou l’ordinateur, plus il a tendance à faire de l’embonpoint. De plus, le tour de taille des enfants a déjà été mis en relation directe avec le type de comportement adopté (actif ou passif).

D’autre part, l’alimentation est influencée par le temps passé devant l’écran. Les enfants qui regardent beaucoup la télévision consomment des aliments gras, et surtout très élevés en sucre.

En considérant ces corrélations à l’inverse, on remarque qu’un enfant qui a un comportement actif durant ses temps libres et qui passe moins de temps devant la télévision sera plus enclin à adopter une saine alimentation.

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Contrôle du cholestérol dès 9 ans

Un groupe d’experts soutient que les tests de cholestérol devraient être subis par les enfants de 9 à 11 ans. On lit dans Pediatrics que le taux de cholestérol des enfants de cet âge pourrait être mesuré par une prise de sang ne nécessitant pas qu’ils soient à jeun.

L’introduction d’un test de ce genre améliorerait le dépistage du cholestérol chez les plus jeunes, et il pourrait être intégré facilement à une pratique routinière. Ainsi, on pourrait identifier facilement et rapidement les enfants à risque.

Plusieurs études convergent quant à ce que l’athérosclérose (maladie des artères) s’entame dès l’enfance.

Aussi, on a plus d’une fois relevé que les accidents vasculaires cérébraux, les crises cardiaques ainsi que plusieurs autres maladies cardiovasculaires survenant à l’âge adulte étaient le résultat d’éléments étant passés inaperçus durant l’enfance.

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Le divorce et la famille

Lors de la réunion annuelle de l’American Acdemy of Psychiatry and the Law, des experts ont relevé certains faits entourant un divorce sain pour tous les membres de la famille.

Entre autres, comme nous le lisons sur Pediatric News, il semble qu’en ce qui concerne la mère, l’élément le plus important soit sa stabilité émotionnelle, pour que tout fonctionne bien pour les enfants comme pour les parents.

Quant au père, la présence ou non d’un casier judiciaire est ressorti comme l’élément ayant le plus d’impact. Une mère aura de quatre à cinq fois plus de chances d’obtenir la garde exclusive des enfants si le père a déjà connu des arrestations.

En comparaison, on apprend que le père se retrouve avec 10 fois plus de chances d’obtenir la garde exclusive si la mère a été l’objet de mesures appliquées par les services sociaux.

Finalement, les experts n’ont pu que constater l’idée largement répandue selon laquelle une garde exclusive entrait en corrélation avec un revenu et un degré d’éducation plus élevés.

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Réduire la moisissure dans la chambre d’enfant

On apprend sur Pediatric SuperSite que des interventions ciblées visant à diminuer la présence d’humidité pourraient réduire les moisissures et les spores fongiques dans les chambres d’enfants.

L’effet serait vraiment grand, selon les chercheurs ayant présenté les résultats d’une expérimentation à l’American College of Allergy, Asthma and Immunology Annual Scientific Meeting.

Dans le cadre de leur recherche, la moisissure et les spores fongiques ont diminué de 70 à 80 % dans les chambres d’enfants qui ont fait l’objet d’une intervention.

Ces interventions concernent particulièrement les enfants asthmatiques, et ces derniers pourraient aussi recevoir des visites subséquentes s’ils présentent un asthme persistant, ajoutent les chercheurs.

Les spores fongiques dont il est ici question consistent surtout en l’aspergillus et le penicillium.

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L’expérience de l’adoption

Une étude fait état, et ce, pour la première fois, des problèmes auxquels font face les gens qui souhaitent adopter un enfant. S’étant déroulée en Australie, cette étude révèle pourtant des problèmes que connaissent des personnes dans la même situation dans ce côté-ci du globe.

Les résultats présentés sur Science Daily mettent tout d’abord en lumière la lourdeur des pratiques administratives du processus d’adoption. La lourde bureaucratie ferait en sorte que le système actuel est inflexible, entre autres.

Par exemple, plusieurs parents potentiels se voient jugés inadéquats à adopter un enfant en raison de leur vécu émotionnel; on souligne par ailleurs que les pratiques administratives et bureaucratiques comportent en elles-mêmes de grands facteurs de tension.

L’étude en question a porté tant sur l’adoption locale qu’internationale. C’est la première fois que l’on donne réellement la parole aux gens qui souhaitent adopter dans un contexte de recherche.