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L’effet du sel chez les enfants

On lit sur i-diététique.pro que la teneur en sel influencerait la consommation des enfants. Il semble que le sel contenu dans les aliments ait un effet déclencheur des plus inquiétants.

Des chercheurs ont observé près de 75 enfants, lesquels ont suivi un menu alimentaire fixe basé sur 15 jours durant plusieurs semaines. Il en est ressorti que la teneur en sel des plats servis aux enfants influençait l’appétit de ces derniers.

En quelques mots, on a remarqué que la suppression du sel engendrait une diminution de la quantité de légumes verts ingérés (ici, des haricots). À l’inverse, une plus forte teneur en sel avait entraîné de plus grosses portions de pâtes chez les enfants.

On suggère donc, à la lumière de ces résultats, que les entreprises alimentaires révisent la constitution de leurs plats préparés, en réduisant leur teneur en sel.

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Devenir père transforme les hommes

Une récente recherche de l’Oregan State University présente la paternité comme une expérience transformatrice, lit-on dans le Journal of Marriage and Family. S’étant étalée sur 19 ans, elle a suivi plus de 200 hommes, depuis l’âge de 12 ans jusqu’à 31 ans.

Il en est ressorti qu’un homme pourrait voir sa vie complètement transformée par la venue d’un enfant. En vivant l’expérience de la paternité, il aurait même tendance à abandonner le tabac, l’alcool, voire le crime.

C’est la première fois que l’on s’attarde à cet effet transformateur dû à la naissance d’un enfant. Auparavant, on avait plutôt étudié ce qui se passait à la suite du mariage.

Il semble finalement qu’avoir un enfant à la fin de la vingtaine ou dans la trentaine fait en sorte qu’un homme sera plus enclin à vivre pleinement sa paternité et à changer ses choix de vie.

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Analyse du mal de tête infantile

Des chercheurs ont tenté d’établir une approche pour mieux traiter le mal de tête chez certains enfants qui sont atteints de drépanocytose. Mentionnons qu’il s’agit d’une maladie héréditaire causée par une hémoglobine anormale. On présente leurs résultats sur Medscape.

Les chercheurs ont donc suivi 73 patients, lesquels ont présenté 102 situations de maux de tête durant la période d’étude. Les jeunes sujets avaient dû voir un médecin à l’urgence ou dans une clinique spécialisée dans une proportion de 83 %.

Mentionnons que le risque de déclenchement d’un mal de tête, chez cette population, est plus élevé quant à une pathologie intracrânienne, ce qui rend l’évaluation plus difficile.

On a par ailleurs relevé que moins de la moitié des enfants à l’étude avaient passé une imagerie numérique lors de leur visite médicale.

Finalement, la présence de symptômes neurologiques semblait reliée à un plus grand risque de pathologie du système nerveux, chez les jeunes patients atteints de drépanocytose et ayant des maux de tête.

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Traiter l’arthrite juvénile efficacement

Des chercheurs viennent de présenter leurs conclusions quant à l’utilisation d’un médicament visant à soigner l’arthrite juvénile. Selon les résultats publiés dans JAMA, il pourrait s’agir d’une bonne voie à suivre quant au traitement de cette maladie inflammatoire.

L’étanercept, après avoir été administré à des enfants souffrant d’arthrite, a été relié à de moins graves symptômes d’invalidité. De plus, le tiers des jeunes sujets ont présenté une excellente réponse au médicament. Plus de 200 patients ont été suivis dans le cadre de cette étude.

Mentionnons que l’étanercept a été accepté par la Food and Drug Administration, il y a une dizaine d’années. On souligne désormais que d’être en mesure d’identifier quels patients pourraient le recevoir et bien y répondre représenterait une excellente avancée.

En effet, les traitements actuels pourraient être revus, car chaque patient serait évalué de manière individuelle, ce qui multiplierait et amélioreraient les approches.

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Asthme : le rôle des parents

Il semble que la cellule familiale ait une influence sur la gravité de l’asthme d’un enfant. On lit sur ACAII que les enfants issus d’une famille monoparentale sont admis à l’hôpital dans une plus forte proportion que ceux dont les deux parents vivent ensemble.

Précisément, on explique que certaines conditions de vie (difficultés financières, par exemple) pouvaient contribuer à la réadmission à l’hôpital de ces enfants. Ils seraient 50 % plus enclins à y retourner au cours des 12 mois suivant une première visite, en ce qui concerne l’asthme et la respiration sifflante.

Les spécialistes soulignent que la maîtrise de l’asthme requiert du temps, de l’énergie et des ressources pour suivre le traitement. Les parents jouent donc un rôle crucial, et ceux d’une famille monoparentale seraient défavorisés.

On souligne donc l’importance d’offrir plus de soutien à ces parents, et surtout de mieux comprendre les contraintes auxquelles ils font face quant à la gestion des symptômes de l’asthme chez leur enfant.

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Autre risque de l’hypothyroïdie

Selon une récente étude, l’hypothyroïdie durant la grossesse pourrait augmenter les risques de retard de langage chez l’enfant, lit-on sur Medical News Today.

On savait depuis longtemps que cette glande avait à voir avec le développement du cerveau, mais on en perçoit maintenant les conséquences plus clairement.

Ainsi, avec une hypothyroïdie durant les trois premiers mois de grossesse, l’enfant se trouve plus enclin à souffrir d’un retard du langage entre 18 et 30 mois.

Précisément, il aurait des difficultés quant à son langage expressif, lequel consiste à la capacité à formuler des phrases, employer la grammaire de façon correcte et raconter une histoire ou relater un événement.

En résumé, on explique que les hormones thyroïdiennes jouent un rôle dans le développement de l’hippocampe, une partie du cerveau qui est importante quant à la formation de la mémoire. De plus, étant impliquées dans le développement cérébral, elles jouent aussi un rôle quant à la migration des cellules vers le cortex – la matière grise.

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L’acide folique influe sur le comportement

On lit sur Medical News Today que des experts soutiennent un nouvel avantage possible à la prise d’acide folique durant la grossesse. Il semble que ce nutriment aurait un effet sur le comportement de l’enfant à naître.

Nous savions déjà que l’acide folique jouait un rôle majeur quant à la prévention des anomalies de la moelle épinière (le spina-bifida, par exemple). On avance désormais qu’il pourrait aider à prévenir les problèmes de comportement chez les tout-petits.

L’absence d’acide folique en début de grossesse serait même liée au développement de problèmes affectifs ou d’un comportement d’autorejet lorsque le bébé a 18 mois, mentionne-t-on.

Ces résultats proviennent de projets d’études ayant porté sur la nutrition de la femme enceinte et ses répercussions sur les capacités intellectuelles de l’enfant.

Il semblerait que d’autres nutriments – acides gras oméga 3, vitamine B, fer, entre autres – ont aussi un effet sur les capacités mentales de l’enfant à long terme.

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La vie à la campagne et la santé des enfants

On entend souvent que les enfants qui vivent à la campagne ont certains avantages sur la santé, en comparaison à ceux vivant à la ville, notamment quant à leurs moindres risques d’allergies.

Pourtant, on lit sur Nurse.com qu’une récente enquête publique fait état d’une réalité bien différente. Les enfants qui grandissent en région rurale auraient des défis particuliers à affronter.

Entre autres, il semblerait que ces enfants, en comparaison à ceux de la région urbaine, seraient plus enclins à souffrir d’une maladie chronique. Les taux d’asthme, de diabète et d’obésité se sont avérés plus élevés pour eux.

Ces observations ont été réalisées selon une enquête nationale américaine effectuée auprès de parents. Ces derniers ont fourni des renseignements sur la santé de leurs enfants, comme l’indice de masse corporelle, leurs aptitudes et comportements sociaux et la présence d’une maladie chronique.

D’autre part, certains aspects du milieu de vie ont été pris en compte : la qualité de vie de la communauté, le statut socio-économique et la santé des parents eux-mêmes.

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Une déficience en zinc expliquerait l’autisme

On apprend dans Scientific Reports qu’une déficience en zinc pourrait sous-tendre l’autisme et certains troubles connexes. Un tel manque rendrait peut-être un enfant plus à risque de souffrir d’un trouble envahissant de ce genre.

Des chercheurs ont en effet remarqué qu’une déficience en zinc était plus fortement présente chez des enfants atteints d’autisme ou d’un trouble connexe, comme le syndrome d’Asperger, par exemple.

Avec cette découverte, on a déjà beaucoup d’espoir quant à une avancée de la compréhension de l’autisme, de son traitement et de sa prévention.

Toutefois, on appelle au calme, même si l’association établie est importante. Ces résultats ne permettent pas de conclusion définitive, et plusieurs autres recherches sont nécessaires. Aussi, les experts conseillent à la population de ne pas se précipiter à la pharmacie pour faire provision de suppléments de zinc.

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Diabète : le début de vie serait primordial

Des chercheurs américains, après avoir effectué des expérimentations avec des sujets animaux, soutiennent qu’un médicament donné en tout début de vie pourrait faire office de protection contre le diabète.

Selon leurs résultats parus dans Diabetologia, le médicament en question administré à un nouveau-né à risque de souffrir du diabète de type 2 pourrait l’empêcher de développer la maladie.

Les chercheurs auraient découvert un mécanisme, encore inconnu jusqu’ici, qui bloquerait le développement futur du diabète. On pourrait devenir en mesure de protéger les cellules productrices d’insuline de manière permanente.

Il s’agit d’une percée importante dans la lutte contre le diabète. Notamment, cette découverte pourrait être particulièrement efficace chez les enfants présentant un retard de croissance intra-utérin, lequel altère, entre autres, la fonction des cellules productrices d’insuline du pancréas.