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Conditions reliées chez l’enfant

Selon une récente étude parue dans l’American Thoracic Society’s American Journal of Respiratory and Critical Care Medicine, certains éléments de la santé d’un enfant sont en effet relié.

On a déjà entendu parler d’une possible relation entre le manque de sommeil et l’obésité. Certaines interdépendances viennent ainsi d’être posées par une équipe de l’University of Chicago.

Il semble donc que chez l’enfant, l’obésité, les troubles respiratoires du sommeil et le processus cognitif sont reliés. Ces interdépendances sont d’une importance majeure chez l’enfant, car son développement cérébral est en plein essor.

D’autre part, le nombre grandissant d’enfants obèses semble avoir un impact sur ces relations. La perte de poids comprendrait donc non seulement des avantages pour la santé, mais pour le potentiel d’apprentissage.

Les troubles respiratoires du sommeil augmenteraient le risque de problèmes cognitifs et de poids. Inversement, le surpoids amplifierait les troubles respiratoires du sommeil et les problèmes cognitifs.

De plus, il s’est avéré que de bonnes aptitudes cognitives pouvaient avoir un effet de protection quant à la prise de poids.

Pour tirer ces conclusions croisées, les chercheurs ont suivi 351 enfants, dont la moyenne d’âge était de presque 8 ans (7,9).

Mentionnons toutefois que l’étude ne tenait compte que d’un développement normal de l’enfant; avoir inclus parmi les sujets des enfants aux troubles respiratoires du sommeil plus graves pourrait avoir exagéré les résultats obtenus.

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Plusieurs parents refusent les vaccins

On apprend sur HealthDay News que plusieurs parents ne font pas vacciner leurs enfants. Une étude a par ailleurs été menée sur le sujet en Californie, un État où la règle peut même être évitée.

Que pourrait-on craindre de ce choix? Il semble que l’on devrait s’inquiéter quant à l’immunité collective, qui est ici compromise lorsque des enfants ne reçoivent pas les vaccins d’usage.

On apprend en effet, par cette étude menée par l’University of Pennsylvania, qu’un enfant sur cinq se retrouve non vacciné dans les écoles ciblées. De grandes questions sur la santé et la prévention des maladies devraient être posées, car l’école demeure un lieu important d’exposition aux maladies.

Et le phénomène s’annonce grandissant : de plus en plus de parents font ce choix. Les raisons les plus courantes sont les risques associés à certains vaccins dont on parle dans les médias – rappelons-nous le vaccin ROR et les cas d’autisme, même si cela a été démenti.

Les croyances personnelles sont aussi une raison, mais cela demeure une exception. On soutient que les parents souhaitent plutôt recevoir plus de renseignements quant aux vaccins donnés à leurs enfants et leur sécurité pour la santé.

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Les jeux vidéo rendent créatifs

On aurait prouvé un autre avantage à s’adonner aux jeux vidéo. Il semble, selon une étude de la Michigan State University, qu’ils rendraient les enfants plus créatifs. Cet effet a été remarqué tant chez des garçons que des filles.

En observant près de 500 enfants, on a remarqué que plus ils jouaient à des jeux vidéo, plus leur créativité s’exacerbait dans des tâches comme le dessin et la composition d’une histoire, lit-on sur Medical News Today.

Ce serait la première fois que l’on démontre un lien aussi clair entre l’utilisation des outils technologiques et la créativité.

Maintenant qu’il est posé, on pourrait envisager des jeux vidéo conçus pour optimiser la créativité. Une nouvelle génération de jeux pourrait donc éliminer la différence existant entre l’éducation et le divertissement.

On soutient aussi que les concepteurs mêmes de jeux vidéo devraient tenir compte de cette découverte pour identifier quels sont les aspects responsables d’une augmentation de la créativité.

Ajoutons toutefois qu’aucun lien du genre n’a pu être établi quant à l’usage autre d’un ordinateur, de l’Internet ou encore d’un téléphone cellulaire.

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Jouer avec des blocs, un classique gagnant!

Bien que de nouveaux jouets sont continuellement offerts aux enfants, il semble que certains jeux bien classiques seraient particulièrement bons pour eux. Des chercheurs expliquent en quoi jouer avec des blocs est bénéfique pour l’enfant dans Mind, Brain and Education.

C’est que le jeu de blocs aurait un effet très positif sur l’apprentissage des mathématiques, des sciences, de la technologie et de l’ingénierie. Dans un contexte interactif, l’enfant y apprend un langage relié à la compréhension de l’espace (« sur », « autour » et « à travers », par exemple).

En résumé, employer un langage lié à l’espace aide à mieux comprendre ses concepts. Et le développement du vocabulaire de l’espace est nécessaire à ses aptitudes reliées.

D’autre part, ces compétences sont impliquées dans l’accomplissement de nombreuses tâches quotidiennes, comme remplir le coffre arrière de la voiture ou monter un meuble.

Ainsi, le jeu interactif enclencherait plus effectivement certains mécanismes chez l’enfant que ne le ferait un jeu préassemblé.

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Hypertension pulmonaire : de l’espoir

Les enfants atteints d’hypertension artérielle pulmonaire peuvent recevoir un médicament déjà approuvé auprès des adultes, le citrate de sildénafil, nous apprend Medscape. On le connaît aussi sous le nom de Revatio.

Après qu’il ait été administré à des enfants atteints de cette hypertension pulmonaire, on a remarqué que leur respiration s’était améliorée; toutefois, cela ne se produisait qu’avec des doses moyennes ou fortes.

Règle générale, le Revatio est administré en fonction du poids, de 10 mg chez les patients de 20 kg et moins, puis de 20 mg chez des patients plus lourds. Des doses plus fortes avaient été reliées, dernièrement, à un plus haut taux de mortalité.

Il vient maintenant d’être prouvé, après 16 semaines d’expérimentation, que des doses plus élevées avaient engendré une amélioration de la respiration chez certains enfants. La dose la plus élevée, ici, consistait à 80 mg pour des enfants pesant jusqu’à 45 kg.

Le taux de survie s’est avéré le même chez le groupe suivi comme pour celui de contrôle, durant les deux premières années. On a toutefois recommandé que la dose soit abaissée, une fois que l’enfant atteint l’âge de trois ans. À long terme, il demeure un taux de mortalité plus élevé avec l’emploi d’une forte dose.

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Effet de la grossesse sur la mémoire

Un enfant dont la mère a souffert d’hypothyroïdie durant sa grossesse aurait une moins bonne mémoire. Précisément, un impact négatif sur le fonctionnement de son hippocampe rendrait difficile le rappel de ses souvenirs autobiographiques, lit-on sur Medscape.

C’est que l’hormone thyroïdienne joue un rôle clé dans le développement de cette partie du cerveau. L’hippocampe est activé plus fortement lors de la recherche de mémoire autobiographique. On a donc vérifié de quelle manière l’hypothyroïdie pouvait l’influencer.

L’étude dont il est question ici a porté sur 34 enfants de 9 à 11 ans. Près de la moitié (15 sujets) étaient nés d’une mère qui avait souffert d’hypothyroïdie durant sa grossesse. Les enfants ont répondu à des questions portant sur leur mémoire autobiographique et sur des souvenirs événementiels; une imagerie numérique était effectuée pendant ces tests.

Il s’est avéré qu’il y avait une différence notable entre les deux groupes d’enfants. De plus, les taux de l’hormone stimulant la thyroïde durant le premier trimestre de grossesse prédisaient l’activation de l’hippocampe lors du rappel de souvenirs autobiographiques.

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Le retard de langage, pas si rare

Les résultats d’une étude ayant porté sur le retard de langage viennent de paraître sur Medscape, et il y a tout à croire qu’il ne faut pas s’inquiéter lorsque notre enfant en présente un.

Il semble en fait que vers l’âge de 18 mois, de 20 à 25 % des enfants ont un retard de langage expressif, c’est-à-dire qu’ils parlent peu ou pas du tout. Ce déficit est par ailleurs présent sans qu’il soit causé par des problèmes neurologiques, sensoriels ou cognitifs.

Or, la plupart des enfants en viennent à atteindre la norme en ce qui concerne leur langage, et ce, qu’il y ait eu intervention ou non, vers l’âge de trois ans.

Toutefois, de 5 à 8 % des enfants trainent leur retard de développement du langage jusqu’à l’école, puis dans leur vie adulte.

Dans le cadre de la présente recherche, après avoir suivi 1138 couples parent-enfant, on a remarqué que le niveau de langage de tous les enfants s’accordait à la norme, et ce, malgré un dépistage, puis une intervention lorsqu’elle était jugée nécessaire.

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Les bonnes manières : mode d’emploi

Les parents sont souvent aux prises avec le comportement de leurs enfants à l’heure des repas. Il semble même qu’un sondage mené auprès de 2000 personnes aurait révélé que 1 parent sur 5 n’irait même pas au restaurant pour cette raison.

Pourtant, les enfants sont tout à fait capables de bien se tenir à table. On lit quelques trucs gagnants sur le Daily Mail.

Tout d’abord, l’enfant doit prendre conscience de sa posture. Avant le repas, il prend donc le temps de s’asseoir bien droit, et ses mains ne doivent pas toucher la table.

Notre enfant doit aussi s’attarder à la façon dont il tient ses ustensiles. Si l’on est au restaurant, on en demande de plus petits, comme à la maison.

Toujours au restaurant, on le laisse choisir ce qu’il souhaite manger. C’est une sortie, aussi l’enfant veut-il lui aussi profiter de ce moment spécial. Et l’on évite ainsi au moins une crise.

Dès un jeune âge, l’enfant doit aussi s’assurer qu’il ne gaspille pas de nourriture, ou le moins possible. Au lieu de demander une énorme assiette, il commence par une plus petite et il prend le temps de la manger.

L’attitude est aussi très importante. L’heure du repas est souvent explosive parce que nos enfants se disputent entre eux, ou encore parce que le mets servi ne leur plaît pas vraiment. On pose donc des règles, on donne des exemples, puis on félicite les bons coups.

Dans le même ordre d’idée, on ferme les appareils électroniques et l’on ne répond pas au téléphone. Cela aide à la concentration.

Finalement, notre enfant ne doit jamais oublier les « s’il vous plaît » et les « merci ». Ils sont à la base de toute chose, et il doit toujours être reconnaissant pour les repas qui lui sont préparés.

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Comprendre l’enfant : le défi des parents

Il semble que mieux comprendre les enjeux derrière la compréhension de situations conflictuelles encouragerait l’amélioration du comportement d’un enfant aux prises avec des problèmes psychiatriques.

Selon une série d’articles parue dans le Journal of Child and Adolescent Psychopharmacology, les différentes perceptions des parents, de l’enfant et de l’enseignant seraient la source de désaccords importants.

Mieux comprendre les raisons de ces divergences en viendrait à améliorer le comportement de l’enfant, en ce qui concerne les actions posées et leurs résultats.

Les professionnels de la santé, en se concentrant sur les renseignements contradictoires des parents et de l’enseignant, par exemple, verraient plus clairement où et comment il faut agir pour le bien de l’enfant.

Il leur faudrait donc aborder le problème d’une manière complètement nouvelle. Au lieu de voir ces perceptions conflictuelles comme des freins, ils devraient plutôt les considérer comme des renseignements supplémentaires.

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Le Ritalin est sans danger

On en parlait ces jours-ci, et c’est maintenant confirmé : il n’est pas dangereux pour la santé de prendre du Ritalin. Une étude parue dans le New England journal of Medicine explique qu’aucun lien n’a pu être établi entre le médicament et des accidents cardio-vasculaires.

On avait pointé du doigt le Ritalin quant à de tels problèmes de santé chez des enfants atteints d’un trouble d’inattention avec hyperactivité (TDAH). Or, les risques apparaissent comme très faibles. La Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis entérine alors le médicament, et les professionnels de la santé peuvent le prescrire selon l’étiquette du produit.

La FDA a émis ce constat après que les cas de 2,5 millions de personnes aient été suivis. Sur le nombre, seulement sept ont vécu un accident cardiovasculaire considéré comme grave.

En résumé, les recommandations consistent à poursuivre la médication déjà établie par le médecin et de lui poser toutes les questions nécessaires.

De plus, on conseille de consulter un professionnel de la santé dès que l’on ressent une douleur thoracique, un essoufflement ou si l’on perd connaissance – toujours dans le contexte où l’on prend du Ritalin. On fait aussi part à notre médecin de tout effet secondaire qui nous fait douter.