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Les problèmes dentaires évités très tôt

Bien que l’on rappelle souvent aux parents l’importance de bonnes habitudes d’hygiène bucco-dentaire, il semble qu’encore trop peu d’enfants se font inculquer le bon exemple sur ce sujet.

Medical News Today présente donc un topo de la situation, et il semble que de nombreux enfants commencent leur vie avec un recul quant à leur santé dentaire. Elle est pourtant primordiale, car la plupart des problèmes dentaires naissent de lacunes quant à l’hygiène bucco-dentaire.

Entre autres, on apprend qu’aux États-Unis, la plupart des enfants âgés d’un à deux ans n’ont jamais vu un dentiste. Seulement 23 % des enfants de 1 an y seraient allés, et 44 %, soit moins de la moitié, auraient été examinés par un dentiste à 2 ans.

Il faudrait pour les parents suivre plus rigoureusement les règles concernant la santé dentaire des tout-petits. La carie, durant la petite enfance, constitue la principale cause de maladies chroniques, par exemple.

Les médecins et pédiatres sont donc maintenant considérés comme des partenaires de haute importance quant à l’éducation à faire auprès des parents afin d’améliorer la santé dentaire des jeunes enfants.

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La vie de famille change les gènes

Une équipe de chercheurs de diverses universités canadiennes vient de démontrer que les conditions de vie d’un enfant sont associées à des changements notables sur l’ADN de celui-ci, lit-on sur Psychcentral.

Les facteurs sociaux et économiques liés à la vie familiale seraient en relation avec certaines transformations des gènes. Une différence a en effet été remarquée entre des enfants qui vivaient au sein d’une famille de haut niveau de vie et d’autres issus de milieux à faible niveau.

C’est toutefois quant aux conditions de vie en bas âge que les différences les plus marquantes ont été relevées. Elles étaient fortement associées avec les conditions socio-économiques de l’enfant devenu adulte.

Pas moins de 1252 différences génétiques ont ici été relevées, en comparaison avec les 545 provenant des conditions générales. On tentait d’explorer de quelle manière les conditions du début de vie pouvaient devenir biologiquement intégrées, pour ensuite influencer la santé générale au cours des années suivantes.

On pourrait ici expliquer en partie pourquoi les problèmes et faiblesses de santé pouvaient demeurer toute une vie en étant associés avec des conditions socio-économiques.

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Jouer dehors pour une meilleure vue

Des chercheurs de l’University of Cambridge viennent de présenter leurs conclusions quant à un lien entre l’exposition à la lumière naturelle et la myopie. De plus longues et plus fréquentes périodes de jeu extérieur réduiraient le développement de la myopie.

Le développement de la myopie, soit d’avoir de la difficulté à distinguer les objets qui sont situés à une certaine distance, se produit parce que la lumière pénètre dans l’œil d’une manière incorrecte. L’effet pourrait donc être atténué en passant plus de temps à l’extérieur, sous la lumière naturelle.

On soutient même que plus de temps passé à l’extérieur constituerait une mesure simple et efficace à suivre pour trouver des bénéfices marquants à la vision – et à la santé générale – des enfants, lit-on sur Medical News Today.

Pour présenter ces conclusions, les chercheurs se sont basés sur 8 études ciblées qui regroupaient au total plus de 10 000 participants et qui exposait les liens entre la myopie chez les enfants et le temps passé à l’extérieur.

Les enfants atteints de myopie passaient en moyenne 3,7 heures de moins par semaine à l’extérieur que ceux avec une vision normale.

Il semble que pour chaque heure supplémentaire à jouer dehors, un enfant aura 2 % moins de risques de développer la myopie, laquelle a grandement augmenté en proportion depuis les 40 dernières années.

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Découverte d’un nouveau marqueur de l’autisme

On pourrait établir un diagnostic plus clair de l’autisme après l’observation des voies respiratoires. Alors que jusqu’ici, on décèle l’autisme par l’observation subjective de comportements spécifiques du syndrome, on pourrait en poser un diagnostic sans faille par des symptômes physiques.

Des chercheurs viendraient de démontrer, selon EurekAlert!, qu’une anomalie des voies respiratoires serait propre aux enfants atteints d’autisme. N’ayant pas pu être relevée chez des enfants non autistes, il appert que cette anomalie pourrait constituer un marqueur important du syndrome.

Une analyse ayant porté sur 49 enfants atteints d’autisme ou d’un trouble envahissant du développement a fait état que les sujets autistes présentaient, en résumé, un décollement des voies respiratoires inférieures. Ce phénomène de doublon n’a jamais pu, semble-t-il, être observé chez un patient non atteint d’autisme.

En plus de représenter un indicateur potentiel pour un diagnostic plus efficace de l’autisme, ce dédoublement des voies respiratoires inférieures nous permettrait d’expliquer certains traits caractéristiques des enfants atteints du syndrome.

C’est que les enfants autistes ne sont pas, en général, des personnes athlétiques, et cette condition des voies respiratoires sous-tendrait cette réalité.

On souligne toutefois que l’anomalie ici présentée ne peut pas encore constituer, à ce stade de la recherche, un réel outil d’investigation quant à l’autisme.

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Les BPA touchent plus les petites filles

Des chercheurs américains et canadiens viennent de démontrer une fois de plus que l’exposition aux BPA durant la grossesse comporte des risques importants.

Cette fois, on ajoute que cette exposition dans l’utérus est liée à des problèmes de comportement et émotifs chez les enfants d’âge préscolaire. Cette répercussion serait d’autant plus marquée chez les petites filles, lit-on dans Pediatrics.

La présente étude a regroupé 244 mères et leurs enfants. Des corrélations ont été établies selon des échantillons d’urine des mères durant la grossesse et à l’accouchement, puis de celles des enfants lorsqu’ils ont eu un, deux et trois ans, ainsi que des réponses à un sondage quant au comportement des enfants à trois ans.

On remet donc encore en cause l’emploi de ces substances chimiques dans la fabrication des produits de consommation. Rappelons que les BPA se trouvent notamment dans les contenants en plastique, dans certains scellants dentaires et dans le papier thermique.

Les chercheurs ajoutent que si une plus faible exposition à ces substances est souhaitée, on ne saurait encore établir concrètement si cette réduction aurait un impact évident.

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Les jeux vidéo contre les problèmes de vue

Des résultats d’étude probants laissent croire que les jeux vidéo seraient à considérer pour traiter certains problèmes de vue. Ce que l’on appelle communément « l’œil paresseux » pourrait être corrigé par un traitement incluant cette activité.

L’ambyopie courante, soit une acuité visuelle plus faible sans qu’il y ait lésion apparente, pourrait être traitée de la sorte. Parmi les 100 participants d’une étude présentée à la réunion annuelle de l’American Academy of Ophtalmology, 30 avaient connu une amélioration significative de leur vision.

À l’heure actuelle, on reconnaît que si l’amblyopie n’est pas diagnostiquée et traitée avant l’âge scolaire, il est par la suite difficile, voire impossible, de la corriger. Beaucoup d’espoir réside donc dans cette étude.

Par exemple, un enfant qui aura un œil plus faible au début du traitement pourra voir l’acuité de celui-ci s’améliorer au fil du temps en jouant à un jeu vidéo, rapporte EurekAlert!. Les spécialistes soulignent par ailleurs l’implication du patient dans la réussite d’une correction d’un œil paresseux.

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Diagnostic déficient de l’appendicite chez l’enfant

Il semble que des questions financières atteignent la santé des enfants. On apprend dans Le Figaro que près de 18 000 enfants ont reçu un diagnostic 48 heures plus tard que d’autres, en vue d’éviter un trop grand nombre d’interventions coûteuses.

Il s’en est suivi une catastrophe, pour ces enfants. Parmi ceux qui auront ainsi attendu, 22,6 % ont subi une rupture de leur paroi de l’appendice. De plus, une vingtaine d’enfants diagnostiqués trop tard pour une crise d’appendicite auront eu à subir une chirurgie visant à enlever une partie du côlon.

Les enfants tardivement diagnostiqués auront aussi été hospitalisés plus longtemps que les autres; on parle ici d’une proportion comparative de 3,5, soit de 3 à 10 jours.

D’autre part, les considérations financières auront été vaines, car ces diagnostics tardifs auront finalement coûté deux fois plus cher aux compagnies d’assurance.

Toutefois, il faut mentionner que le diagnostic de la crise d’appendicite est ardu chez l’enfant. Il existe malgré tout le score d’Alvaro, lequel sert à évaluer efficacement l’urgence de la situation.

Dans cette charte, chacun des symptômes de l’appendicite correspond à un nombre de points; au-dessus de quatre, le patient est en observation; au-dessus de six, on procède à une intervention.

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Prévoyons une fête de l’Halloween sécuritaire

On lit sur Medical News Today quelques trucs pour atteindre les meilleures conditions de sécurité lors de la soirée d’Halloween qui approche. Rappelons-nous qu’en moyenne, deux fois plus d’enfants meurent dans un accident piétonnier le soir de l’Halloween, en comparaison avec les autres jours de l’année.

Bien que l’on demande aux conducteurs de faire preuve d’une prudence sans faille, les enfants doivent eux aussi garder en tête certaines règles de sécurité.

Entre autres, on doit traverser la rue en respectant plus que jamais les règles d’usage. On se rend aux intersections, on attend le signal s’il y a lieu, on regarde à gauche et à droite avant de traverser. Un enfant de moins de 12 ans ne devrait jamais traverser la rue sans un adulte.

Il faut toujours marcher sur le trottoir. S’il n’y en a pas, on doit avancer dans le sens contraire de la circulation. Les enfants devraient aussi suivre une même route le plus longtemps possible sans traverser. Et l’on ne traverse jamais entre deux voitures stationnées.

Bien sûr, on porte un costume qui peut à la fois être créatif et sécuritaire. On fait bon usage du ruban réfléchissant ou des autocollants du même genre. Le maquillage est aussi préférable au masque.

Finalement, les enfants auront tout intérêt à se balader avec une lampe de poche ou un bâtonnet réfléchissant; ainsi, ils verront mieux et ils seront plus visibles.

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Espoir pour les enfants avec des lésions cérébrales

Des chercheurs du Kennedy Krieger Institute viennent de présenter leurs résultats quant à une thérapie combinée pouvant venir en aide aux enfants atteints de lésions cérébrales. Cette méthode pourrait aussi être appliquée aux adultes atteints d’un AVC ou d’autres conditions qui se retrouvent avec un déficit de marche.

Le principe de cette thérapie est que l’on apprend de ses erreurs, que la pratique, en somme, est la clé du succès.

Comme on l’explique dans The Journal of Neuroscience, lorsqu’on force un sujet à marcher sur un tapis roulant selon un modèle inhabituel, il devient plus apte à suivre la forme habituelle de marche le jour suivant.

C’est en faisant marcher des sujets sur un tapis roulant à double courroie que les chercheurs ont remarqué cet effet. Ce type de tapis oblige la personne à bouger l’une de ses jambes plus rapidement que l’autre.

Habituellement, pour réapprendre à marcher, on nous explique et montre comment il faut le faire, puis on pratique, et on pratique encore. La présente étude prouve, au contraire, qu’il est plus efficace d’appliquer une méthode combinée appliquant la règle de l’essai-erreur.

La technique ainsi créée est porteuse de grands espoirs quant aux enfants – et aux adultes – qui se retrouvent avec une faiblesse sur un côté du corps.

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Un enfant sur quatre fait face à la violence familiale

Des données recueillies par des chercheurs de l’University of New Hampshire font réfléchir quant à la forte présente de la violence familiale. Pas moins d’un enfant sur quatre aurait déjà été témoin de violence physique survenue entre ses parents. La majorité, soit 90 %, était directement témoin de la dispute.

Parmi ces enfants, un sur neuf aurait vécu un tel événement au cours de la dernière année, lit-on sur Medical News Today. Ces données concernent plus de 4500 enfants âgés de 0 à 17 ans; elles ont été recueillies au cours de l’année 2008.

Les chercheurs concluent que les proportions remarquées se rapportent à 18,8 millions d’enfants exposés à la violence familiale au moins une fois dans leur vie.

Parmi les observations recueillies, l’assaillant était le père dans 69 % des cas, et la mère 23 %. Les deux étaient actifs dans le conflit dans 9 % des cas.

Quant aux réactions des enfants, elles peuvent être fortes. Près de la moitié crie à ses parents d’arrêter, et plus de 40 % essaient de fuir le conflit. Environ le quart appelle à l’aide.

On fait remarquer que l’exposition à la violence dans un contexte familial ne se limite pas qu’à ce qui se passe entre les parents. Cela peut concerner d’autres membres ou proches de la famille.