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Les zélés du sport

On lit sur Health News l’avis de Sandra Sims, de la Birmingham School of Education de l’University of Alabama, quant à l’approche qu’ont certains parents devant la pratique sportive de l’enfant.

Selon Madame Sims, un jeune athlète a besoin d’avoir du plaisir et de recevoir de la reconnaissance. Toutefois, en demander trop peut tout gâcher. Elle rappelle par ailleurs qu’un enfant, jusqu’à six ans, a besoin d’avoir des jeux non structurés. Des parents tendent à traiter plutôt leurs enfants comme de « minis adultes ».

En fait, la majorité des enfants ne devraient pas se spécialiser dans un sport avant l’âge de 15 ans. Après chaque saison dans une discipline, les parents devraient prendre le temps d’en demander l’évaluation à leur enfant, puis de décider si l’on poursuit dans cette voie ou non.

Permettre à son enfant d’essayer différents sports est très sain, affirme Madame Sims. Cela lui permet de vraiment choisir lequel il préfère, soit celui dans lequel il aura vraiment envie de se dépasser.

Finalement, elle rappelle que porter un uniforme ne signifie pas que notre enfant fait de l’activité physique 60 minutes par jour; cela dépend du sport.

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Un régime alimentaire spécial pour les autistes

Une récente étude vient de démontrer qu’un régime alimentaire sans gluten et sans caséine (une protéine contenant des composants azotés du lait) n’a pas d’effet sur les symptômes de l’autisme.

Pourtant, on estime que la moitié des enfants autistes suivent un tel régime alimentaire, car leurs parents souhaitent améliorer leurs symptômes, et ce, malgré les avis contradictoires sur cette méthode.

En se basant sur 22 enfants âgés de 30 à 54 mois, dont 14 ont finalement pu suivre strictement le régime alimentaire en question au moins 4 semaines, les chercheurs ont observé leur comportement après 6 semaines, lit-on sur WebMD.

Aucune différence n’a pu être relevée quant au sommeil, aux selles, à la capacité d’attention ou dans les interactions sociales des enfants à l’étude. Aucune amélioration du langage ou du comportement n’a pu être remarquée non plus.

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Être mince serait de famille

On lit dans les Archives of Pediatrics & Adolescent Medicine que la famille a beaucoup à voir dans le poids d’un enfant. Si ses parents sont minces, un enfant aura trois fois plus de chances de l’être qu’un autre dont les parents ont un surpoids.

Précisément, si les parents ont un poids santé, leurs enfants auront 16,2 % d’être minces, en comparaison à 7,8 % si les deux parents ont un léger excès de poids, 5,3 % s’ils ont un surpoids, et 2,5 % s’ils sont obèses.

Il semble donc que la minceur, tout comme la prédisposition au surpoids et à l’obésité, serait transmissible selon plusieurs facteurs génétiques. Toutefois, dans le cas de l’étude ici présentée, aucune différence n’a pu être établie entre la mère et le père.

La minceur a été remarquée plus communément chez les plus jeunes enfants. Aucune différence n’a été relevée quant au sexe et au statut socio-économique.

Ces observations ont été prises à la suite de l’analyse de données recueillies entre 2001 et 2006 auprès de 7000 familles. Les indices de masse corporelle de leurs membres ont été calculés.

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L’hypertension chez les jeunes obèses

On lit dans Hypertension: Journal of the American Heart Association que les jeunes obèses sont réellement à risque de souffrir d’hypertension. Il avait déjà été démontré qu’ils pouvaient faire face à ce problème de santé.

Maintenant, on apprend qu’ils sont trois fois plus à risque d’avoir une haute pression sanguine que les enfants qui ont un poids normal. Cela annonce la pression sanguine qu’ils auront, une fois l’âge adulte atteint.

Selon les résultats de la présente étude, lorsque l’indice de masse corporelle (IMC) d’un enfant dépasse le 85e percentile, l’effet de la masse adipeuse (sous la peau et autour des organes vitaux) sur sa pression sanguine était 4 fois plus important que chez les enfants d’un poids normal.

Mentionnons qu’à partie du 85e percentile, un enfant est considéré en surpoids. On a fait ces constatations après avoir suivi 1111 enfants en bonne santé générale durant 4 ans et demi. Le percentile d’IMC a été choisi pour faire l’analyse, car l’indice comme tel doit changer et augmenter au fur et à mesure que l’enfant grandit.

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Les peurs maternelles du voisinage

Une recherche des universités Rice et Stanford fait état d’une réalité de plusieurs mères, quoiqu’elle soit surprenante. Il semble que le voisinage encourage ou non une mère à laisser ses enfants jouer dehors.

En d’autres mots, la pauvreté environnante pousserait une maman à retenir ses enfants à la maison. Les chercheurs suggèrent cette tendance comme l’une des causes de la baisse de popularité du jeu extérieur des dernières décennies, lit-on dans Family Relations.

De plus, selon leurs observations, le statut économique, l’éducation, l’emploi et la santé physique et mentale influencent les peurs de la mère. La même chose a donc été remarquée quant à la perception que cette dernière a de son voisinage.

Les femmes qui vivent au sein d’un voisinage où sont partagées les mêmes valeurs seraient, à l’inverse, plus enclines à laisser leurs enfants jouer dehors.

On suppose que le lien existant entre cette peur et la pauvreté serait dû aux facteurs qu’on lui associe, par exemple, le manque d’aires de jeux et la criminalité. Les perceptions de la mère joueraient donc un rôle prédominant, et leur peur ne serait pas complètement rationnelle.

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Forger son caractère par l’encouragement

Selon l’avis d’Art Markman, Ph. D., offrir des compliments à son enfant ne devrait pas être fait à la légère. En effet, comme il l’explique sur YouBeauty, on peut forger le caractère de notre enfant par les encouragements, mais on peut aussi le pousser à une obsession de l’apparence physique et de la perfection en le complimentant.

L’exemple présenté est éloquent. Si l’on complimente notre petite fille sur sa belle chevelure, il faudrait le faire comme si on le faisait pour ses bonnes notes à l’école. Dans ce dernier cas, on soulignait l’effort, de la même manière, on devrait lui dire : « Tu as de beaux cheveux! Les as-tu brossés toi-même? »

En suivant cette méthode, on apprend à notre enfant qu’il est ce qu’il est parce qu’il le réussit, non parce qu’il est simplement né ainsi. Recevoir des compliments à outrance et sans souligner l’effort qu’il sous-entend peut mener à une obsession, au lieu d’augmenter la confiance en soi.

Si un enfant pense qu’il est essentiellement talentueux et que le compliment ne vient que de ce point, ce sera difficile pour lui de faire face à un obstacle, un peu plus tard. Si, au contraire, il sait que cela demande un effort, il tentera alors de trouver une solution et il sera poussé à se dépasser.

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Vaccins : êtes-vous à votre affaire?

Il semble que les parents manquent parfois d’organisation quant aux différents vaccins que leur enfant doit recevoir. Par exemple, selon ce que nous lisons dans Pediatrics, 1 parent sur 10 ne suivrait pas l’ordre requis dans le carnet de vaccination de son enfant, et ce, aux États-Unis seulement.

Selon les données d’enquête recueillies par l’University of Michigan, des parents seraient en fait portés à suivre leur propre suite de vaccins au lieu de celle recommandée par les instances de la santé.

Tous les enfants devraient recevoir leurs vaccins contre les maladies graves contagieuses, comme la rougeole, la varicelle, la diphtérie, le tétanos et la poliomyélite, pour ne nommer que celles-là.

Dans le sondage ici présenté, qui portait au départ sur 748 parents, 28 % ont répondu que les moments de vaccination recommandés étaient les meilleurs à suivre. Et parmi ceux qui ont retardé cesdits moments, 55 % ont attendu que leur enfant soit plus vieux, et 17 % ont refusé tous les vaccins.

En plus d’avoir relevé que 10 % des parents suivaient leur propre organisation des vaccins, les chercheurs ont noté que parmi ceux qui respectaient les règles établies, une importante proportion serait encline à changer pour suivre sa propre organisation.

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Les enfants difficiles et les troubles alimentaires

Selon les données actuelles, 10 % des enfants souffrirait d’un trouble alimentaire. Comme nous pouvons le lire sur Health Day, un trouble alimentaire infantile n’est pas la même chose qu’être difficile à l’heure du repas.

Il est normal pour un enfant d’être difficile quant à certains aliments, mais il faut reconnaître les signes d’un trouble, car celui-ci peut entraîner des conséquences graves sur son développement physique et mental. Rejeter tous les aliments empêche évidemment un enfant d’absorber tous les nutriments dont il a besoin.

Quelques indices peuvent aider à reconnaître l’apparition d’un trouble alimentaire infantile. Une fatigue inexpliquée et une perte d’énergie peuvent indiquer un problème. Des changements soudains dans les habitudes alimentaires qui durent plus de 30 jours aussi.

Durant le repas, si un enfant tousse beaucoup ou s’étouffe avec la nourriture, cela peut aussi constituer un indicateur. Un comportement dérangeant durant les heures de repas peut également mettre la puce à l’oreille.

Sans que cela ne devienne trop paniquant, il faut observer son enfant et réagir le plus rapidement possible, car la voie de la guérison n’en sera que plus facile pour lui.

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Effet direct de la maladie de Graves Basedow

Une récente étude parue dans le Journal of Clinical Endocrinology & Metabolism fait état d’un effet subséquent majeur de la découverte de la maladie de Graves Basedow chez un enfant.

Il semble qu’un enfant à qui l’on diagnostique cette maladie auto-immune de la thyroïde serait très enclin à prendre du poids de manière importante, et ce, au cours des premiers mois suivant le début du traitement.

Rappelons que la maladie de Graves Basedow consiste en la production d’anticorps anormaux contre les cellules folliculaires de la thyroïde. L’hypertrophie de la thyroïde (hyperthyroïdie) en résultant provoque l’apparition de symptômes précis, dont des pulsations cardiaques accélérées et irrégulières, de même qu’une plus grande nervosité.

À la suite de la découverte ici présentée, les chercheurs recommandent aux médecins de conseiller adéquatement les enfants atteints, comme leurs parents, sur des mesures strictes à suivre afin de contrer l’augmentation importante de l’appétit accompagnant la maladie.

On suggère de surveiller le poids de l’enfant tous les deux mois à la suite du diagnostic, puis tous les trois à six mois. La période ciblée de gain de poids semble plus prononcée durant les six premiers mois, soit lorsque l’hyperthyroïdie s’améliore.

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Un soutien bien spécial pour les enfants malades

Une initiative de la productrice Denise Robert améliorera le quotidien des enfants malades de l’hôpital Sainte-Justine. C’est avec le soutien de Céline Dion et du Cirque du Soleil que l’environnement hospitalier de Sainte-Justine sera empreint d’une ambiance fantastique.

D’ici Noël, un nouveau Service des urgences accueillera les enfants, lequel sera transformé selon un concept du Cirque. On prévoit entre autres des miroirs déformants, des ballons lumineux et des tables interactives.

Céline Dion offre quant à elle son nom à une nouvelle salle de cinéma, laquelle sera construite directement dans l’hôpital pour enfants. De plus, les couloirs seront bonifiés par la vidéo; c’est Moment Factory, l’entreprise responsable des images virtuelles lors des spectacles de Céline à Las Vegas, qui sera derrière ce projet.

Denise Robert a su rallier des représentants importants du monde des arts tant que des affaires dans cet immense projet de bénévolat, pour le bonheur et le soutien des enfants malades du CHU Sainte-Justine.