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Le surpoids de la mère causerait-il l’asthme?

Des chercheurs de l’Université de Greenwich soutiennent que le surpoids de la mère fait en sorte que son bébé sera plus enclin à souffrir d’asthme. Selon leurs résultats, parus dans le Journal of Epidemioloy & Community Health, le risque serait de 20 à 30 % plus grand.

Et il ne s’agit pas d’un surpoids durant la grossesse. La mère exposerait son futur enfant à l’asthme et au râle en ayant un surplus de poids avant de tomber enceinte. Pour tirer cette conclusion, les chercheurs ont analysé les données concernant 7000 enfants nés en Finlande.

De plus, la corrélation n’en serait que plus grande si la mère présente une plus grande surcharge de poids. Il semble en effet que plus la mère a un poids élevé, plus le risque d’avoir des symptômes de l’asthme et du râle sera important.

Les femmes les plus lourdes, dans le cadre de cette étude, se sont avérées 47 % plus enclines à mettre au monde un bébé qui souffrira d’un râle sévère. Le surpoids aurait une influence sur le développement fœtal, du point de vue d’un désordre métabolique ou de l’activité hormonale.

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Docteur, écoutez les enfants

Selon un sondage mené auprès de 2257 enfants provenant de 22 pays différents, les médecins manqueraient d’écoute quant à leurs jeunes patients. Les enfants ne seraient que trop peu renseignés sur leur état de santé.

La majorité des enfants, soit 67 %, a affirmé ne pas avoir été satisfaite des explications que lui aura données son médecin sur des traitements à subir, le cas échéant. Parmi tous les jeunes répondants, 62 % avaient eu un rendez-vous médical durant l’année, soit de 1 à 3 fois. Malgré tout, 80 % des enfants ont dit avoir été renseignés sur leur état de santé.

Un peu moins de 20 % des enfants n’auront finalement rien su quant à ce qu’il adviendra pour eux à la suite d’un traitement, et la même proportion ne se sera pas sentie suffisamment écoutée.

Les résultats de cette enquête menée par l’Université de Cork (Irlande) sont parus dans Le quotidien du médecin.fr.

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Vite au lit, vite debout

On apprend dans SLEEP que les couche-tôt sont en meilleure santé. Selon une étude australienne, les enfants qui se couchent et se lèvent tôt sont plus minces et plus actifs physiquement que ceux qui font l’inverse, et ce, même s’ils ont profitent tous du même nombre d’heures de sommeil.

Cette conclusion provient de l’analyse des données sur le sommeil de 2200 enfants mises en relation avec le poids de ces derniers et leurs activités durant le jour. Il semble que l’heure du coucher autant que l’heure du lever soient prédominantes quant au maintien d’une bonne santé.

On a d’ailleurs estimé que les enfants qui se couchent et se lèvent tard avaient 1,5 fois plus de risques de devenir obèses que ceux qui suivaient une routine de couche-tôt.

Dans le même ordre d’idée, les couche-tard auraient 2 fois plus tendance à être sédentaires et ils seraient jusqu’à 2,9 fois plus enclins à passer trop de temps (par rapport à la limite recommandée) à écouter la télévision, jouer à des jeux vidéo ou rester à l’ordinateur.

Si, depuis quelques années, on pointe du doigt le manque d’heures de sommeil quant à la prévalence de problèmes de santé – dont l’obésité –, on souligne maintenant que le moment du coucher est encore plus important.

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Vite au lit, vite debout

On apprend dans SLEEP que les couche-tôt sont en meilleure santé. Selon une étude australienne, les enfants qui se couchent et se lèvent tôt sont plus minces et plus actifs physiquement que ceux qui font l’inverse, et ce, même s’ils ont profitent tous du même nombre d’heures de sommeil.

Cette conclusion provient de l’analyse des données sur le sommeil de 2200 enfants mises en relation avec le poids de ces derniers et leurs activités durant le jour. Il semble que l’heure du coucher autant que l’heure du lever soient prédominantes quant au maintien d’une bonne santé.

On a d’ailleurs estimé que les enfants qui se couchent et se lèvent tard avaient 1,5 fois plus de risques de devenir obèses que ceux qui suivaient une routine de couche-tôt.

Dans le même ordre d’idée, les couche-tard auraient 2 fois plus tendance à être sédentaires et ils seraient jusqu’à 2,9 fois plus enclins à passer trop de temps (par rapport à la limite recommandée) à écouter la télévision, jouer à des jeux vidéo ou rester à l’ordinateur.

Si, depuis quelques années, on pointe du doigt le manque d’heures de sommeil quant à la prévalence de problèmes de santé – dont l’obésité –, on souligne maintenant que le moment du coucher est encore plus important.

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Le sexisme viendrait de maman

Il existe certainement un lien intergénérationnel quant au sexisme, selon des chercheurs de l’Université du Pays Basque (Espagne). De plus, selon leur étude parue dans Psicothema, la transmission des stéréotypes sexistes se ferait surtout par la mère.

En effet, après avoir analysé les différentes relations au sein de la famille (mère-fille, mère-fils, père-fille et père-fils) de 1455 enfants et leurs parents, on a remarqué que la mère avait une grande influence quant au sexisme.

Elle transmettrait fortement ses idées préconçues à son fils comme à sa fille. Parallèlement, on a remarqué une forte influence du père quant à son fils. Les chercheurs soulignent un paradoxe, car si les femmes sont les plus importantes victimes du sexisme, il appert qu’elles sont celles qui donnent surtout l’exemple sur ce point.

Toutefois, certains facteurs pourraient expliquer ce phénomène. Parmi eux, on retrouve les tâches ménagères demandées par la mère, le temps passé avec chacun des parents et le rôle maternel dans la transmission des valeurs en général.

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Remise en cause de probiotiques?

Les avis demeurent partagés quant au traitement de la constipation chez l’enfant, car on manque encore d’évidences scientifiques portant sur l’efficacité de suppléments non pharmacologiques.

On a entendu toutes sortes de choses sur les produits offerts sur le marché, lesquels semblent véritablement gagner en popularité. Des chercheurs des Pays-Bas viennent pourtant de démontrer que des suppléments de fibres pourraient constituer une piste de solution.

Lors de l’expérimentation, les fibres se sont avérées efficaces pour réduire les douleurs intestinales et pour augmenter la fréquence des selles.

Toutefois, une preuve semblable quant aux probiotiques et aux prébiotiques n’a pas pu être démontrée, encore une fois. Le même constat a été fait quant aux suppléments liquides et aux interventions sur le comportement de l’enfant.

Dans cette recherche ayant porté sur 640 enfants, pas moins de 9 examens et essais de contrôle ont été pris en considération. Les résultats viennent de paraître dans Pediatrics.

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Ambiguïté sexuelle à la naissance

Une récente recherche a porté sur le délicat sujet de l’ambiguïté sexuelle à la naissance. Des chercheurs du Royaume-Uni se sont penchés sur ce que peuvent vivre des parents au sein de cette dure réalité, lorsque leur enfant naît avec des organes génitaux peu clairement identifiés à la féminité ou la masculinité.

Ils ont discuté avec 15 parents (10 mères et 5 pères) qui avaient vécu cette situation à la naissance du bébé; les rencontres se sont étalées sur 18 mois. Parmi les 11 enfants concernés dans cette recherche, soit 6 filles et 5 garçons, 2 étaient âgés de moins de 4 ans. Pour le reste du groupe, l’âge variait de 5 à 11 ans.

Les parents ont affirmé avoir cherché une harmonie entre cette ambiguïté sexuelle et la façon dont ils ont élevé leur enfant, du point de vue du genre.

Les émotions que ces parents traversent sont variées. Ils semblent vivre un choc, puis de l’anxiété. Ils ressentent aussi l’urgence de protéger leur enfant.

Selon les données actuelles, 1 enfant sur 5 000 naît avec une ambiguïté sexuelle, et 1 sur 300 présente des incertitudes quant au développement de ses organes sexuels externes. Les résultats de cette étude paraissent dans le Journal of Advanced Nursing.

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Thérapie hâtive pour autistes

On lit sur News Bureau les observations de chercheurs de l’University of Missouri quant à une thérapie intensive destinée aux enfants autistes. Il semble que cette thérapie ait de meilleurs résultats si l’enfant la suit en bas âge.

En effet, plus la thérapie est ciblée et d’un intense degré, plus l’enfant en connaîtra des améliorations quant à sa communication et ses aptitudes sociales.

L’étude dont il est question ici a porté sur plus de 1000 enfants atteints du syndrome de l’autisme. On a évalué, en tenant compte des changements dans le temps, différents indices reliés aux relations sociales et à la communication.

Parmi ceux-ci, on compte les gestes, les expressions faciales, la compréhension du langage ainsi que différentes réponses sociales. La majorité des enfants, soit 94,5 %, ont démontré des améliorations dans ces divers aspects.

Pour ceux qui avaient suivi une thérapie intensive, les résultats ont été encore meilleurs. Même après avoir isolé certaines variables comme l’âge et la gravité des symptômes, les enfants avaient connu de plus grandes avancées quant à leur sociabilité et leur communication.

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Les amis ne sont pas si influents

Quand notre enfant connaît des difficultés d’ordre comportemental, on se rabat souvent, comme parent, sur les amis qu’il fréquente. Or, selon une récente recherche parue dans Social Psychology Quarterly, le cœur du problème ne se situe pas là.

Des chercheurs ont observé des jeunes provenant d’un milieu à faible revenu. Parmi eux, certains avaient de bons résultats scolaires, d’autres non. Les groupes formés comprenaient des enfants qui connaissaient des problèmes, alors que les autres n’en étaient pas nécessairement touchés.

Alors que l’on aurait cru qu’un mauvais comportement serait perçu comme un facteur d’admiration chez les jeunes, il s’est avéré qu’au contraire, la violence présente dans leur voisinage avait plutôt influencé leur choix d’amis.

Bien entendu, ces observations concernent particulièrement le passage à l’adolescence, quand un enfant accorde beaucoup plus d’intérêt aux relations d’amitié qu’il crée.

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Le travail de maman ne nuit pas

L’Université Laval vient de présenter une étude remettant en question la pensée selon laquelle une femme devrait y repenser à deux fois avant de retourner travailler après avoir eu des enfants.

Il semble que l’activité professionnelle de maman aurait une influence sur sa progéniture, et ce, d’une manière très positive. En effet, plus une femme serait impliquée dans son travail, plus son enfant serait enclin à connaître la réussite scolaire.

Toutefois, certains aspects du travail peuvent avoir des répercussions moins heureuses. Parmi ceux-ci, on retrouve les horaires atypiques, les promotions et les changements d’orientation de carrière. Le temps accordé aux enfants en serait ainsi diminué.

Malgré tout, les emplois des parents peuvent avoir un impact quant à la scolarité de leurs enfants. Une corrélation a été remarquée : les enfants qui réussissent moins bien à l’école auraient plus tendance à avoir un parent épuisé par son travail.