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Bienfaits rapides de l’exercice chez les enfants

Des chercheurs de la Georfia Health Sciences University présentent leurs conclusions quant à un programme d’exercice suivi par des enfants obèses. Après 12 semaines, on a remarqué une baisse du taux de gras viscéral, une amélioration de la sensibilité à l’insuline et des os plus forts chez les participants.

Ces derniers étaient du nombre de 222 et ils étaient âgés de 7 à 11 ans. Parmi eux, un groupe ne faisait pas d’aérobie, un deuxième en faisait d’un degré modéré (20 minutes par jour) et un troisième en faisait à un degré vigoureux (40 minutes par jour).

Les effets ont été remarqués parmi le groupe qui faisait un exercice quotidien rigoureux. Les chercheurs soulignent donc l’importance de l’activité physique quant à la santé à long terme.

Cette recherche a été présentée récemment lors de la rencontre annuelle (2011) de l’American Society for Bone and Mineral Research; un aperçu en a été publié sur Endocrine Today.

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L’asthme nuit au contrôle du diabète

Souffrir de l’asthme peut nuire au contrôle de la glycémie chez les enfants atteints du diabète, selon une récente étude parue dans Pediatrics. Réalisée auprès de 1 683 enfants et adolescents ayant un diabète de type 1 ou 2, elle révèle par ailleurs que cette conséquence est d’autant plus grave si l’asthme n’est pas traité.

Les présentes conclusions sont basées sur des données datant de 2002 à 2005. En plus des dossiers médicaux des participants, on a utilisé des questionnaires pour évaluer la prévalence de l’asthme, de même que les médicaments prescrits. Finalement, le taux d’hémoglobine A1c des jeunes a été évalué.

On a remarqué, par le biais de cette recherche, que l’asthme touchait 10,9 % des jeunes diabétiques. Chez ceux qui avaient le diabète de type 1, la prévalence était de 10 %, alors qu’elle atteignait 16,1 % chez ceux qui avaient le type 2.

L’obésité, le diabète et l’asthme ont tous les trois augmenté en importance chez les enfants au cours des 10 dernières années. Peu à peu, on a relevé une possible influence de l’obésité sur la prévalence de l’asthme. Il semble aussi que les diabétiques présentent des fonctions pulmonaires plus faibles que les autres.

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Le couple, un réel appui pour l’enfant

On lit dans Pediatrics des réflexions sur le soutien d’un enfant aux besoins particuliers par sa famille. Parent-Provider-Community Partnerships: Optimizing Outcomes for Children With Disabilities met de l’avant l’importance d’une saine vie de couple dans ce type de situation.

Il est vrai que les familles au sein desquelles vit un enfant ayant des besoins spéciaux en soins de santé font face à plusieurs défis. Ces derniers sont d’ordres médical, financier et social.

On souligne ici l’importance que la famille se fasse un partenaire de choix quant aux décisions à prendre, à l’éducation, aux services sociaux et aux soins médicaux. Les parents doivent s’unir pour transmettre leurs besoins et ceux de leur enfant.

Le premier soutien de l’enfant demeure donc sa famille. Elle sera en mesure, en demeurant alerte, d’offrir les meilleurs soins à ce dernier, et les autres membres de la famille pourront eux aussi prendre soin de leur propre santé physique et mentale.

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L’école unisexe serait un échec

Plusieurs parents choisissent d’envoyer leur enfant dans une école pour filles ou pour garçons seulement, croyant que cela améliorera ses résultats scolaires. Pourtant, une récente étude parue dans Science dément ce présupposé.

Il semble que le fait qu’un enfant soit inscrit dans une école unisexe ne changerait rien à sa réussite scolaire, et que ses apprentissages n’en seraient pas bonifiés.

Au contraire, les stéréotypes sexistes entre les enfants et les professeurs en seraient encouragés, et le sexisme deviendrait plus légitime.

Les dernières années nous ont pourtant montré une popularité grandissante pour ce type d’établissement scolaire. On a donc voulu relever ce qui en découlait pour les enfants du point de vue de la réussite scolaire.

On remet aussi en question, par cette recherche, la conception répandue selon laquelle les garçons et les filles apprendraient différemment.

Selon les chercheurs, les interactions tant positives que négatives entre filles et garçons représentent une manière efficace d’améliorer les relations entre ces deux groupes.

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Nutella appuyé par une diététicienne

Il peut être surprenant de constater qu’une diététicienne appuie un produit chocolaté comme déjeuner pour les enfants, mais c’est bien ce que l’on peut voir dans la nouvelle brochure de Nutella.
 
La Presse nous apprend que la diététicienne Karine Levy s’est associée à Nutella. Dans la brochure du produit, elle propose des conseils aux parents pour donner des petits déjeuners équilibrés chaque jour à leur enfant.
 
Cette association est dénoncée par la Coalition Poids. « C’est sûr que ça nous dérange. S’associer à une nutritionniste, ça donne une apparence de santé à un produit qui ne l’est pas. Nous dénonçons le maquillage de la malbouffe, malheureusement courant dans l’industrie agroalimentaire actuellement. Ça mérite d’être dénoncé », mentionne la directrice de l’organisme, Suzie Pellerin, au quotidien.
 
La diététicienne se défend bien et dit appuyer Nutella dans sa campagne visant à sensibiliser les parents envers un petit déjeuner équilibré pour leurs enfants.
 
« En tant que diététiste, je suis tout à fait à l’aise de suggérer le Nutella en tant que composante d’un petit-déjeuner équilibré. Je prône la modération plutôt que l’interdiction », disait Mme Levy.
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Les défis sociaux des enfants obèses

Une récente étude parue dans Pediatrics soutient que les enfants obèses sont plus enclins à vivre des problèmes sociaux et à faire face à des enjeux émotionnels. Des chercheurs australiens ont suivi des enfants à l’âge de quatre et cinq ans, puis quelques années plus tard, pour en venir à ce constat.

Le poids et la taille des participants étaient mesurés, puis leurs parents et enseignants devaient répondre à des questionnaires, lesquels rendaient compte de la santé mentale et de la qualité de vie subséquente de chaque enfant.

Ainsi, les enfants qui ont déjà un surpoids ou sont obèses dès l’âge de 4 ou 5 ans sont 15 à 20 % plus enclins à vivre des problèmes avec leurs semblables à l’âge de 8 et 9 ans. L’obésité peut devenir une cause majeure du malheur d’un enfant, et ce, sûrement parce qu’il devient la cible de railleries ou qu’il est socialement ostracisé, selon cette recherche.

Alors que jusqu’ici, plusieurs études sur le sujet avaient porté sur les problèmes émotionnels, comportementaux et de santé mentale des jeunes obèses, celle-ci s’est penchée sur l’obésité comme élément déclencheur de ces derniers.

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Le psoriasis infantile est mal suivi

Des chercheurs américains soutiennent que le psoriasis infantile est traité de manière inconstante. Selon leur recherche parue dans Archives of Dermatology, le type de traitement dépendrait du fait qu’un enfant est suivi par un pédiatre, un interne ou un dermatologue.

Ils ont passé en revue les visites médicales de jeunes patients atteints du psoriasis des 30 dernières années. Cela fait 3,8 millions de visites chez le médecin. Sur ce nombre, 63 % ont été suivis par un dermatologue, 17 % par un pédiatre et 14 % par un interne.

Les chercheurs ont remarqué que l’approche différait d’un professionnel de la santé à un autre, quant aux traitements et aux médicaments prescrits. La plupart des enfants recevaient une prescription de corticostéroïdes, mais les médicaments variaient d’un endroit à un autre.

Par exemple, les dermatologues prescrivaient majoritairement de puissants stéroïdes, alors que les pédiatres choisissaient plus le tacrolimus, un médicament immunosuppresseur.

Les chercheurs suggèrent fortement que des lignes directrices soient émises en ce qui concerne le traitement du psoriasis infantile.

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Autre preuve du lien entre la vitamine D et l’asthme

Il vient d’être démontré, une nouvelle fois, qu’un lien existe entre la déficience en vitamine D et l’asthme. Les enfants très asthmatiques auraient de plus graves symptômes et des fonctions pulmonaires plus faibles que ceux modérément atteints en raison d’un faible taux sanguin de vitamine D.

Ce sont les conclusions que présentent des chercheurs anglais dans la présente édition de l’American Journal of Respiratory and Critical Care Medicine.

Entre autres, la présente recherche démontre qu’un faible taux sanguin de vitamine D est non seulement lié à de faibles fonctions pulmonaires, mais il aggrave aussi les symptômes de l’asthme et entraîne une plus grande prise de médicaments.

On entrevoit, grâce à ces nouvelles découvertes, de nouvelles voies de traitement de l’asthme chez les enfants. Toutefois, avant que des recommandations soient faites, d’autres recherches sont nécessaires.

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Autre preuve du lien entre la vitamine D et l’asthme

Il vient d’être démontré, une nouvelle fois, qu’un lien existe entre la déficience en vitamine D et l’asthme. Les enfants très asthmatiques auraient de plus graves symptômes et des fonctions pulmonaires plus faibles que ceux modérément atteints en raison d’un faible taux sanguin de vitamine D.

Ce sont les conclusions que présentent des chercheurs anglais dans la présente édition de l’American Journal of Respiratory and Critical Care Medicine.

Entre autres, la présente recherche démontre qu’un faible taux sanguin de vitamine D est non seulement lié à de faibles fonctions pulmonaires, mais il aggrave aussi les symptômes de l’asthme et entraîne une plus grande prise de médicaments.

On entrevoit, grâce à ces nouvelles découvertes, de nouvelles voies de traitement de l’asthme chez les enfants. Toutefois, avant que des recommandations soient faites, d’autres recherches sont nécessaires.

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Difficultés de lecture : une technique remise en cause

Près de la moitié des personnes dyslexiques souffriraient du syndrome d’IRLEN. Ce dernier consiste en un blocage de la transformation de la perception visuelle. La psychologue américaine Helen Irlen a développé pour cette raison un traitement employant des filtres transparents et de couleur. Ce traitement permettrait d’identifier et de réduire, voire d’éliminer, ce problème.

Or, des chercheurs de l’University of Edinburgh remettent maintenant cette théorie en question, soutenant que l’utilisation de ces feuilles n’améliorerait pas immédiatement les aptitudes de lecture des enfants.

Ils ont fait passer des tests à 61 enfants qui avaient des difficultés de lecture; 47 d’entre eux (77 %) avaient reçu un diagnostic de syndrome d’IRLEN. Lors de différentes journées, les enfants passaient des tests de lecture sous trois conditions : avec leur filtre Irlen, avec un filtre d’une autre couleur, puis avec une feuille de plastique transparent.

Il en est ressorti que le type de filtre ne faisait aucune différence quant aux résultats aux tests de lecture. Madame Irlen a répondu à ces conclusions, lesquelles sont parues dans Pediatrics.