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L’école à la maison, pour tous?

Faire l’école à la maison est une tendance de plus en plus populaire. Mais qu’en est-il des résultats et de possibles répercussions? Des chercheurs de l’Université Concordia (Montréal) et de l’Université Mount Allison (Nouveau-Brunswick) ont comparé ce mode de scolarisation à celui, plus traditionnel, transmis en établissement scolaire.

Le constat est on ne peut plus surprenant, lisons-nous sur RIRE, le réseau d’information pour la réussite éducative. Il semble tout d’abord que les résultats scolaires de l’enfant peuvent être meilleurs, s’il est convenablement encadré par son parent, dans un contexte d’école à la maison.

Toutefois, les chercheurs soulignent l’importance de la socialisation, qui est nécessaire au développement de l’enfant et qui n’est offerte que par l’école traditionnelle.

Les avantages pédagogiques de l’école à la maison sont tout de même mis de l’avant. En fait, le processus d’apprentissage de l’enfant peut y être accéléré, en comparaison à celui d’un élève de l’école habituelle.

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La vitamine D ne protège pas du diabète

Contrairement à ce que l’on pensait, ni la vitamine D ni la vitamine 25 (OH) ne peuvent être liées à l’auto-immunité ou la progression du diabète de type 1 chez l’enfant. Même après ajustement de certains facteurs comme l’historique familial de diabète de type 1, le lien n’a pu être établi.

C’est ce que présentent des chercheurs dans la revue Diabetologia. Pour en arriver à cette conclusion, ils ont mesuré les taux de vitamine D et de vitamine 25 (OH) chez 198 enfants sur une base régulière.

Ils ont ainsi été suivis à 9, 15 et 24 mois. Par la suite, leur prise de vitamine D a été évaluée selon des questionnaires remis à leurs parents lorsqu’ils avaient entre deux et neuf ans. Finalement, ils ont répondu eux-mêmes aux questions à l’âge de 10 ans.

Les chercheurs reconnaissent toutefois que leurs résultats contredisent en partie de précédentes études, lesquelles suggéraient un effet protecteur de la vitamine D quant au diabète de type 1 au cours de la petite enfance.

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Le TDAH cause plus de blessures

Selon une étude de l’University of Alabama parue dans Academic Pediatrics, les enfants souffrant d’un trouble déficitaire de l’attention avec hyperactivité (TDAH) seraient plus à risque de subir des blessures que les autres.

Après avoir suivi près de 5 000 enfants, on a évalué que les enfants atteints d’un TDAH étaient jusqu’à 2 fois plus enclins à souffrir d’une blessure sérieuse. Cette proportion est d’autant plus marquée chez des enfants de 11 ans.

En fait, plus un enfant aura des symptômes du TDAH, plus il courra le risque de subir des blessures. Les garçons seraient deux fois plus touchés que les filles par ce lien. De plus, cesdites blessures tueraient plus d’enfants atteints que toutes autres causes combinées.

Dans le cadre de cette recherche, on a défini les blessures comme en étant qui nécessitaient des soins médicaux. Plus de la moitié de celles-ci consistaient en des fractures osseuses.

Une raison simple de cette corrélation serait que les enfants vivant avec le TDAH sont impulsifs et inattentifs; ils bougent beaucoup et sont souvent portés à ne pas avoir conscience du danger.

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La vision influence ses résultats scolaires

Selon certaines études, 70 % des enfants d’âge scolaire qui ont des difficultés de lecture auraient en fait des problèmes de vision. Un ophtalmologiste, Dr Joel Zaba, souligne l’importance pour les parents d’y demeurer attentifs.

Et c’est avec raison, car nous savons que près de 80 % de ce qu’un enfant apprend se fait par la vision. Selon le Dr Zaba, si plusieurs facteurs peuvent faire en sorte qu’un enfant réussit moins bien à l’école, l’état de sa vue en fait partie, lisons-nous sur Medicinenet.

Quelques indices peuvent sous-entendre des problèmes de vision chez l’enfant. Par exemple, il doit plisser les yeux lorsqu’il observe quelque chose ou il approche un livre très près de son visage pour lire.

Le rêve éveillé peut aussi être un indicateur s’il est fréquent. Un enfant qui dodeline souvent la tête peut aussi indiquer un problème de la vue.

Finalement, on reste sensible aux symptômes les plus courants, soit les maux de tête, les nausées et les étourdissements durant la lecture.

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La vision influence ses résultats scolaires

Selon certaines études, 70 % des enfants d’âge scolaire qui ont des difficultés de lecture auraient en fait des problèmes de vision. Un ophtalmologiste, Dr Joel Zaba, souligne l’importance pour les parents d’y demeurer attentifs.

Et c’est avec raison, car nous savons que près de 80 % de ce qu’un enfant apprend se fait par la vision. Selon le Dr Zaba, si plusieurs facteurs peuvent faire en sorte qu’un enfant réussit moins bien à l’école, l’état de sa vue en fait partie, lisons-nous sur Medicinenet.

Quelques indices peuvent sous-entendre des problèmes de vision chez l’enfant. Par exemple, il doit plisser les yeux lorsqu’il observe quelque chose ou il approche un livre très près de son visage pour lire.

Le rêve éveillé peut aussi être un indicateur s’il est fréquent. Un enfant qui dodeline souvent la tête peut aussi indiquer un problème de la vue.

Finalement, on reste sensible aux symptômes les plus courants, soit les maux de tête, les nausées et les étourdissements durant la lecture.

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La routine du dodo

Il semble que d’aborder les difficultés de la routine du dodo de notre enfant comme une réelle problématique nous permettrait d’en trouver la solution. Des chercheurs australiens ont démontré qu’une consultation sur le sujet serait des plus efficaces.

On lit sur Medscape que des parents qui avaient consulté avaient vu les problèmes de sommeil de leur enfant s’améliorer grandement, en comparaison aux autres. De plus, au cours de l’année scolaire, les enfants dont les parents avaient consulté avaient vu leurs résultats s’améliorer.

Précisément, les enfants dont les parents avaient consulté avaient toujours des problèmes de sommeil après 6 mois dans une proportion de 26 %; celle-ci était de 47 % chez ceux dont les parents n’avaient pas profité d’une consultation.

Selon les chercheurs, les troubles du sommeil chez l’enfant de cinq à six ans sont majoritairement liés à des problèmes de comportement sous-jacents. Leurs parents devraient donc se tenir concernés dans la solution et devraient envisager la consultation.

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Hausse marquée des cas de SARM

On lit dans Academic Pediatrics que les cas de SARM (staphylococcus aureus résistant à la méticilline) sont en augmentation. Selon une étude américaine, The Annual Report on Health Care for Children and Youth in the United States : Focus on Trends in Hospital Use and Quality, le nombre d’hospitalisations dues au SARM chez les enfants a plus que doublé depuis 2000.

Mentionnons que le staphylococcus aureus résistant à la méticilline, communément appelé SARM, ou staphylocoque doré, se reconnaît justement par une résistance à un antibiotique (la méticilline). Cette infection peut s’avérer mortelle dans certains cas, mais elle est habituellement facile à traiter si elle est reconnue rapidement.

Il semble que la hausse la plus forte s’est produite de 2000 à 2005, et que la stabilité subséquente des cas est surtout attribuable à la façon dont les médecins traitent désormais le SARM. Au début des années 2000, on ne reconnaissait pas la croissance des cas de staphylocoque doré; on le traite maintenant plus efficacement.

Les hospitalisations se sont aussi mises à baisser depuis que la population en sait plus sur le SARM. Les parents reconnaissent mieux, aujourd’hui, les signes de cette infection cutanée.

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Papa est fait pour s’occuper de bébé

On lit dans Proceedings of the National Academy of Sciences qu’un papa est naturellement destiné à prendre soin de son bébé. Une étude de la Northwestern University vient de démontrer qu’il est biologiquement programmé pour le faire.

Des chercheurs ont prouvé que le taux de testostérone de l’homme s’abaisse lorsque son bébé vient au monde. Cette répercussion corporelle est par ailleurs observable chez plusieurs autres espèces animales qui s’occupent de leurs rejetons.

Il semble que les activités et les comportements typiquement « mâles » entreraient en conflit avec les responsabilités de la paternité. Le corps réagirait donc pour que le père puisse prendre soin adéquatement de son poupon.

Dans le cadre de cette étude, plus de 600 hommes dans la vingtaine ont été suivis pendant près de 5 ans.

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Faire le deuil d’un parent

Certaines grandes lignes directrices peuvent être établies quant aux enfants qui font face à la mort d’un de leurs parents. Des spécialistes ont présenté dernièrement leurs constats à ce sujet dans les Archives of General Psychiatry.

On apprend entre autres que pour un assez grand nombre d’entre eux, le processus de deuil se fait plutôt rapidement. Au bout de 9 mois, près de 60 % des enfants verront leurs réactions au décès d’un parent être grandement diminuées. De plus, ces réactions tendront à s’amoindrir dans le temps par la suite.

Toutefois, les difficultés demeurent présentes pour un peu plus de 40 % des enfants vivant cette situation. Les réactions seront donc encore sévères après les 9 premiers mois pour 31 % des enfants. Et après 3 ans, les répercussions sont encore présentes et intenses pour 10 % d’entre eux.

On souligne d’ailleurs que des difficultés prolongées représentent un indicateur important de dépression ou de problèmes de fonctionnement. Ces derniers touchent la réussite scolaire et les relations avec les gens, entre autres.

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Les convulsions liées au système respiratoire

Des chercheurs auraient découvert une autre explication des convulsions fébriles. Les enfants qui en souffrent présentaient en fait une alcalose respiratoire. Précisément, elle se reconnaîtrait par un pH sanguin élevé et de faibles taux de dioxyde de carbone – ce qui est causé par l’hyperventilation.

Le fait est que les convulsions fébriles n’ont pas été remarquées chez des enfants qui avaient fait de la fièvre durant une gastro-entérite. On lit donc dans Epilepsia que des chercheurs croient qu’un faible pH sanguin pourrait avoir un effet protecteur.

On a pu tirer ces conclusions après avoir suivi 433 enfants qui présentaient une fièvre semblable ou égale. Ils avaient été admis à l’hôpital soit pour des convulsions fébriles, soit pour une gastro-entérite. On a pris le pH sanguin et le taux de dioxyde de carbone de chaque jeune patient lors de son arrivée.

Les convulsions fébriles sont assez courantes chez les enfants, en touchant 1 sur 25. Elles surviennent de façon générale entre six mois et cinq ans.