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Problèmes métaboliques dès sept ans

On parlait récemment des risques pour la santé des enfants obèses. Une étude américaine vient de les documenter en utilisant pour la première fois des données concernant des enfants atteints ou non d’obésité juste avant leur puberté.

Selon les résultats parus dans la revue Obesity, des enfants obèses âgés de 7 à 9 ans seulement présentent des différences métaboliques avec les autres. Ils montrent aussi près de trois fois plus de gras dans leur foie que les enfants de poids normal.

Les enfants considérés comme obèses ont aussi un tour de taille presque double de ceux qui ne le sont pas. On parle d’ailleurs de problèmes métaboliques, car leur résistance à l’insuline est deux fois plus forte.

On confirme donc la prédominance à long terme de maladies telles que le diabète pour ces enfants, compte tenu de ces grandes variations du métabolisme. Mentionnons finalement que parmi les 123 enfants de cette étude, 23,6 % souffraient d’obésité.

Quant au syndrome métabolique comme tel, lequel n’a pas encore été décrit lorsqu’il s’agit d’un enfant ou d’un adolescent, 16 % des enfants répondaient à la définition même de ce problème de santé. Huit pour cent en satisfaisaient un critère par une autre définition.

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A-t-on encore peur des vaccins?

L’Institute of Medicine (OMI) des États-Unis vient de démontrer, après avoir passé en revue plus de 1 000 études sur le sujet, que les vaccins ne sont liés en rien à l’apparition de l’autisme ou du diabète de type 1 chez les enfants.

Cela en réconfortera plus d’un, car de nombreuses rumeurs avaient couru sur le sujet. Les experts ajoutent même que s’il y a des problèmes de santé (au nombre de 14) existant en raison d’un vaccin, ils demeurent très rares, comme nous le lisons sur Medical News Today.

Parmi les vaccins les plus courants, on compte celui contre la rougeole, la rubéole et les oreillons. On le connaît d’ailleurs sous le nom du vaccin RRO. Si quelques femmes et enfants peuvent en ressentir de la douleur, on ne compte que de rares cas de convulsions à la suite de fièvre.

Quant à celui prévenant contre la varicelle, un autre exemple de vaccin courant, on a relevé de rares cas de pneumonie, de méningites et d’hépatite, entre autres. Des boutons de varicelle peuvent aussi apparaître si le patient a un faible système immunitaire.

On conclut qu’en général, les vaccins peuvent affaiblir ou causer une inflammation à la hauteur de l’épaule. Le plus important est que le RRO n’entraînera pas le diabète ni l’autisme et que celui contre l’influenza n’augmente pas les symptômes de l’asthme.

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La disparition du jeu libre chez l’enfant

Les enfants d’aujourd’hui ont beaucoup moins l’occasion de s’adonner au jeu libre. On a d’ailleurs remarqué une baisse radicale de ce type de jeu au cours des 50 dernières années. On accorde cette tendance aux parents, qui sont de plus en plus portés à diriger le jeu de leurs enfants.

Ces derniers s’adonnant beaucoup moins qu’autrefois au jeu libre, on peut y relier plusieurs problèmes de société. On lit sur ce une revue de plusieurs études dans une édition spéciale de l’American Journal of Play.

Le jeu libre représente une partie importante de l’enfance. Sa diminution entraînerait des conséquences sur notre développement social, mental et physique. Il permet à l’enfant de créer son propre univers, en particulier lorsqu’il s’agit d’un jeu extérieur.

On reconnaît entre autres une corrélation entre la baisse du jeu libre et l’augmentation des dépressions et des suicides. De plus, cette décroissance serait responsable de la montée du narcissisme chez les enfants comme les adolescents.

Le jeu libre aurait aussi des répercussions très positives quant aux capacités d’apprentissage de la lecture et des mathématiques. En se mêlant aux autres, les enfants développeraient leurs aptitudes à intégrer de nouvelles notions et à prendre leur place.

La diminution constante du jeu libre durant l’enfance a bien sûr des impacts sur la santé physique. Elle tiendrait un rôle important dans l’augmentation des cas d’obésité que nous connaissons depuis quelques années.

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Les parents au coeur de la sécurité routière

Durant cette période de rentrée scolaire, on donne quelques conseils et rappels afin de maximiser la sécurité des enfants qui marchent pour se rendre à l’école. On peut lire sur Medical News Today un résumé des principes de base fournis par des spécialistes de l’University of Michigan Health System.

Par exemple, lorsqu’on est conducteur, on prend soin de rouler à basse vitesse dans les zones résidentielles et scolaires. On pense également à réduire les distractions dans notre voiture.

Aussi, on soutient les enfants dans leurs propres comportements de sécurité piétonne. Les parents ainsi que tous les conducteurs doivent prendre un peu plus de temps pour vérifier s’il n’y a pas d’enfants sur le chemin, et ce, même avant et après les heures de transport scolaire.

Les spécialistes insistent aussi pour que les parents qui reconduisent leur enfant à pied soient tout aussi prudents. Ainsi, il ne s’agit pas que de regarder des deux côtés de la rue (gauche, droite, et gauche encore) avant de traverser : on le fait aux intersections et si possible sur des passages pour piétons.

On rappelle à nos enfants, en donnant l’exemple, qu’on traverse toujours la rue en marchant. De plus, on leur rappelle de marcher face à la circulation et le plus loin possible du chemin s’il n’y pas de trottoir.

Finalement, un parent devrait accompagner tout enfant de 10 ans et moins pour traverser la rue. La sécurité routière lors de la rentrée scolaire est primordiale, pour conserver de bonnes habitudes tout au long de l’année.

Chaque année, plus de 25 000 enfants piétons sont victimes d’un accident, et ce, aux États-Unis seulement.

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Risques insoupçonnés des antibiotiques

On ne pourrait remettre entièrement en cause l’usage des antibiotiques, car ils aident à prolonger la durée de la vie en contrant des maladies. Selon des spécialistes, comme nous le lisons sur MailOnline, leurs désavantages pourraient toutefois s’avérer graves, surtout si l’on en prescrit trop aux enfants.

Les antibiotiques peuvent tout d’abord tuer les bactéries qui combattent justement la maladie. De plus, ils contribuent à la création des « superbactéries », lesquelles peuvent entraîner des problèmes de santé importants.

Parmi ceux-ci, on compte les allergies, le diabète, et ils pourraient même jouer un rôle en ce qui concerne l’obésité.

On a aussi établi un lien entre l’usage important d’antibiotiques et une maladie inflammatoire de l’intestin. Les mêmes inquiétudes s’imposent quant à la prédominance de l’asthme.

En d’autres mots, les changements à long terme qui sont causés aux bonnes bactéries pourraient augmenter les risques de contracter certaines maladies et infections.

Toutefois, les spécialistes s’entendent pour conseiller la prescription d’antibiotiques aux personnes qui sont vraiment malades et qui ne peuvent en guérir autrement.

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Une innovation pour réduire la mort infantile

Les preuves semblent concluantes quant à l’efficacité du moniteur Heart Rate Observation System (HeRo®), lequel représente une innovation majeure dans le suivi des enfants nés prématurément.

Il permet de détecter les premiers signes de détresse chez le bébé, lesquels sous-entendent très souvent une maladie grave ou une infection.

Une étude longitudinale ayant porté sur plus de 3 000 bébés prématurés a démontré que d’être suivi avec le HeRo® réduisait les décès de plus de 20 %. Cela revient à garder en vie 1 enfant sur 48, parmi ceux qui sont suivis.

En résumé, ce moniteur fournit chaque heure un relevé numérique qui note les données anormales quant au battement cardiaque du jeune patient. On reconnaît donc un nouvel outil dans le diagnostic et dans la prise de décisions médicales.

Les résultats complets portant sur les nouvelles données du moniteur HeRo® sont parus récemment dans le Journal of Pediatrics.

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Donnons de bonnes habitudes aux tout-petits

Le Journal of the American Dietetic Association présente une revue des moyens d’action potentiels pour prévenir efficacement l’obésité chez les jeunes enfants. Des représentants de différentes instances de recherches américaines ont analysé 42 études pertinentes sur le sujet.

On soutient que la prise de saines habitudes de vie dès l’âge préscolaire aurait des impacts majeurs sur la santé générale de la population. Il s’agirait d’un moment clé pour faire découvrir les bienfaits de l’activité physique et d’une saine alimentation aux enfants.

Déjà, les chercheurs ont reconnu certaines possibilités afin de revoir les standards et mesures actuels. Il est temps d’agir, car en ce moment, de nombreux enfants de moins de cinq ans peuvent être déjà considérés comme obèses, aux États-Unis.

Au cours des trois dernières décennies, les garderies en sont venues à prendre le rôle de la famille en ce qui a trait aux habitudes alimentaires, d’où l’instauration de programmes dédiés.

Les parents devraient toutefois, selon les chercheurs, devenir les arbitres de l’alimentation de leur enfant et soutenir les changements qui pourraient s’opérer dans les programmes nutritionnels.

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La vitamine A sauverait des enfants

On connaît les bienfaits de la vitamine A sur la santé, mais l’alimentation de trop d’enfants n’en contient pas suffisamment. Chez ces derniers, la prise de suppléments pourrait prévenir la maladie, voire la mort.

Une étude sur le sujet, laquelle vient de paraître sur BMJ, prône que les enfants vivant dans un pays à faible ou moyen revenu devraient recevoir des suppléments pour contrer une déficience en vitamine A.

C’est que le manque de ce nutriment peut mener à de graves problèmes de santé. Les enfants qui vivent une telle situation sont plus vulnérables à la diarrhée et à la rougeole, et cela peut même mener à la cécité. Un état grave peut finalement se solder par un décès.

L’Organisation mondiale de la santé estime que 190 millions d’enfants âgés de moins de 5 ans souffrent en ce moment d’une déficience en vitamine A. Le sujet étant très documenté, on attend l’initiative des grands décideurs pour contrer ce grave problème de santé infantile.

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La thérapie par le jeu

Medical News nous apprend qu’une équipe du Rochester Institute of Technology et du St. Fisher College travaille sur un projet qui pourrait changer le monde de la thérapie auprès des plus jeunes.

Les enfants et adolescents d’aujourd’hui sont de plus en plus nombreux à opter pour la thérapie. Ils demandent de l’aide, notamment pour gérer ou régler leur anxiété et la pression qu’ils peuvent subir.

C’est dans cette optique que cette équipe de chercheurs prépare un jeu vidéo qui aura pour but de les aider à améliorer leurs aptitudes de maîtrise de soi. La plateforme logicielle en question, basée sur des contrôleurs psychosociaux, aidera les jeunes patients d’une toute nouvelle façon.

Ainsi, le jeu s’entame par une évaluation, en incluant l’utilisateur comme personnage, ce qui aidera celui-ci à mieux comprendre et décrire ses anxiétés et son comportement.

Des détecteurs physiologiques sont structurés dans le jeu vidéo, ce qui permettra au joueur de mieux reconnaître les manifestations de son anxiété et de son stress.

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L’appel de la nature, pour les hommes aussi!

On accorde généralement l’envie pressante de donner la vie aux femmes. Pourtant, les hommes pourraient aussi être l’objet d’un appel de la nature.

C’est ce que proposent des chercheurs de la Kansas State University, au bout d’une étude s’étant étalée sur près d’une dizaine d’années. Le phénomène émotionnel et physique de l’envie soudaine et pressante d’avoir un enfant peut être observé chez les deux sexes.

Les perceptions que nous avons de chacun des sexes feraient en sorte que l’on accorde le désir profond d’avoir des enfants aux femmes uniquement. Bien qu’il ne semble pas aussi fort, le besoin pressant de devenir père est bien une réalité.

Il demeure toutefois une différence. Si les femmes ont tendance à plus souvent avoir envie d’un enfant que de rapports sexuels, l’inverse concerne la plupart des hommes.

Les résultats complets et la méthode de recherche employée sont parus dans Emotion.