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L’appel de la nature, pour les hommes aussi!

On accorde généralement l’envie pressante de donner la vie aux femmes. Pourtant, les hommes pourraient aussi être l’objet d’un appel de la nature.

C’est ce que proposent des chercheurs de la Kansas State University, au bout d’une étude s’étant étalée sur près d’une dizaine d’années. Le phénomène émotionnel et physique de l’envie soudaine et pressante d’avoir un enfant peut être observé chez les deux sexes.

Les perceptions que nous avons de chacun des sexes feraient en sorte que l’on accorde le désir profond d’avoir des enfants aux femmes uniquement. Bien qu’il ne semble pas aussi fort, le besoin pressant de devenir père est bien une réalité.

Il demeure toutefois une différence. Si les femmes ont tendance à plus souvent avoir envie d’un enfant que de rapports sexuels, l’inverse concerne la plupart des hommes.

Les résultats complets et la méthode de recherche employée sont parus dans Emotion.

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La poussière et l’asthme

Selon une étude de l’Université de Melbourne, les jeunes enfants qui souffrent déjà d’un râle et qui présentent une sensibilité à la poussière volatile sont plus à risque de souffrir d’asthme quelques années plus tard, soit à 12 ans.

Précisément, les enfants qui avaient eu un résultat positif à un test cutané portant sur la poussière volatile que l’on retrouve dans nos maisons étaient atteints de l’asthme dans 75 % des cas à l’âge cité.

En comparaison, seulement 36 % de ceux qui étaient arrivés à un résultat négatif pour le même test avaient développé l’asthme, toujours au même âge.

Il semble donc que la poussière volatile peut constituer un facteur prédictif de l’asthme chez les enfants plus à risque. Mentionnons que les 620 enfants de cette recherche longitudinale avaient tous un historique familial d’allergies.

Tous les sujets ont été suivis à partir de leur naissance. À l’âge d’un an, puis de deux ans, ils ont passé des tests d’allergies divers – aux noix, au lait, aux chats et à la poussière volatile, notamment.

Une fois l’âge de 12 ans atteint, les enfants de cette étude parue dans le Journal of Allergy and Clinical Immunology ont alors été évalués quant à l’asthme.

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L’allaitement ne prévient pas l’eczéma

On propose maintenant de voir l’allaitement comme une prévention contre certaines allergies, et les femmes devraient, selon plusieurs instances, allaiter au moins six mois pour créer cet effet.

L’eczéma fait partie des maladies allergiques que l’on pourrait contrer en allaitant son enfant. Pourtant, une récente étude menée par le King’s College London vient de démontrer qu’il n’en est rien.

Parue dans le British Journal of Dermatology, elle consistait à comparer les répercussions – quant à l’eczéma – entre un allaitement s’arrêtant après quatre mois et un autre se poursuivant.

Il semble qu’il n’y ait aucun lien entre le développement de l’eczéma infantile et la durée de l’allaitement. Cette pratique ne protégerait aucunement contre la maladie de peau. Cette recherche a porté sur plus de 50 000 enfants de 8 à 12 ans provenant de 21 pays européens.

Ajoutons malgré tout qu’une incidence, quoique faible, avait été remarquée précédemment au sein de pays en voie de développement, et l’on aurait pu croire à une protection de l’eczéma par l’allaitement. Cette hypothèse est maintenant réfutée pour les pays industrialisés.

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Plus de Facebook, moins de livres

On lit dans le Telegraph que les réseaux sociaux prennent de plus en plus la place de la lecture dans les activités des enfants. C’est ce qui est ressorti, entre autres, d’un sondage mené par le National Literacy Trust auprès de 18 000 enfants de 8 à 17 ans.

Il semble que la technologie prenne beaucoup de place dans la vie des enfants d’aujourd’hui et que ce phénomène soit en progression, comme nous nous en doutions. Un enfant, chez lui, aura plus facilement accès à un ordinateur et à un téléphone cellulaire qu’à des livres.

L’inquiétude grandit, car en ce moment, on évalue que 1 adulte sur 6 a des problèmes de lecture, à tel point qu’il peut être du niveau d’un enfant de 11 ans. Dans le cadre du présent sondage, 13 % des jeunes répondants n’avaient même pas lu un livre durant le mois précédent.

Le contenu de lecture principal des enfants s’est avéré les messages textes, suivis par les courriels et les affichages sur des réseaux sociaux.

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Les nausées prédisent le comportement

Une nouvelle étude américaine soutient que les nausées du matin chez la femme enceinte pourraient engendrer certains troubles du comportement, apprenons-nous dans le Journal of Developmental Origins of Health and Disease.

Toutefois, ce lien serait établi lorsqu’il s’agit de nausées extrêmes, lequel problème se nomme l’hyperemesis gravidarum (HG). Dans certains cas, il peut mener à une hospitalisation, voire à un arrêt de la grossesse.

Il semble donc que les enfants dont la mère aura souffert du HG seraient 3,6 fois plus enclins à présenter un trouble bipolaire, de l’anxiété ou de la dépression, une fois l’âge adulte atteint.

Des études précédentes avaient fait un lien entre des nausées persistantes de la future maman durant son premier trimestre de grossesse et des troubles d’apprentissage et d’attention chez l’enfant (à l’âge de 12 ans).

L’hyperemesis gravidarum (HG) serait une cause de malnutrition et de déshydratation, ce qui aurait des impacts sur le développement cérébral du fœtus.

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Trouble du langage écrit lié au TDAH

Un enfant qui souffre du TDAH serait plus enclin à souffrir aussi d’un trouble du langage écrit, lit-on dans Pediatrics. Il semble aussi que les filles ayant un TDAH auraient plus de risques d’avoir ledit trouble ainsi que des difficultés de lecture.

Ce triste constat a été fait après que l’on ait suivi 5 718 enfants; une certaine partie des sujets étaient atteints d’un TDAH. Tous les enfants étaient nés entre 1976 et 1982, et ils ont été suivis jusqu’à presque 20 ans.

Le lien entre le trouble déficitaire de l’attention et celui du langage écrit (et, dans certains cas, des difficultés de lecture) a été fait selon leur incidence et une analyse de données scolaires et médicales.

La différence s’est révélée marquante. Chez les garçons ayant le TDAH, 64,5 % avaient aussi un trouble du langage écrit, contre 16,5 % pour les autres. Ce rapport était de 57 % contre 9,4 % chez les filles. L’analyse finale s’est faite lorsque les participants ont eu l’âge de 19 ans.

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Cinq trucs pour éviter les radiations cellulaires

Plusieurs parents ont choisi de munir leur enfant d’un téléphone cellulaire en prévision de la rentrée scolaire. Bien qu’il soit très pratique, cet appareil peut comporter certains risques, notamment en ce qui concerne l’exposition aux radiations cellulaires.

En effet, de plus en plus d’études nous mettent en garde contre les dangers potentiels du téléphone cellulaire ou de tout autre appareil émettant des fréquences radio. On peut donc lire sur UPI.com les cinq principaux trucs dont peuvent bénéficier les parents et leurs enfants.

Cet avis a été donné par un organisme à but non lucratif américain, le Grassroot Environmental Education. Son premier conseil est évidemment de ne pas tenir le téléphone cellulaire collé sur la tête.

Conséquemment, on suggère d’employer le système de haut-parleur ou le casque d’écoute de l’appareil. Sinon, on propose de changer de côté d’une fois à l’autre, ce qui constitue le troisième truc.

On recommande aussi de ne jamais transporter un téléphone cellulaire dans une poche ou quoi que ce soit collé sur notre corps. Pour terminer, on demande de ne l’employer que pour les urgences ou pour de courtes durées.

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Pas plus de deux heures de télé par jour

On recommande qu’un enfant ne passe pas plus de deux par jour devant la télévision. Or, près du tiers d’entre eux dépasseraient cette limite. Il semble que les parents y jouent un grand rôle.

C’est ce que démontre une étude récemment parue dans Pediatrics, dans laquelle on a suivi plus de 400 paires de parent et enfant. Le groupe d’âge ciblé pour les enfants de cette recherche était de 10 à 11 ans.

Il en est ressorti que les parents qui regardaient beaucoup la télévision avaient aussi un enfant qui faisait la même chose. Au contraire, ceux qui limitaient ce temps et imposaient, en quelque sorte, le jeu extérieur avaient un enfant qui était moins porté à demeurer sédentaire.

En voulant définir les différents styles d’autorité parentale quant à l’écoute de la télévision, les chercheurs ont par ailleurs relevé qu’un peu plus de la moitié des participants (53,4 %) passaient moins de 2 heures devant l’écran.

Ajoutons toutefois qu’il n’a pas été possible, dans l’analyse des résultats, de différencier le temps d’écoute en semaine et durant le week-end.

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Prenez garde à la fenêtre

On réalise trop peu qu’une fenêtre peut être dangereuse pour un enfant. Une récente étude américaine en fait par ailleurs état. Ses résultats viennent de paraître dans Pediatrics.

Entre autres, on y apprend que près de 5 200 enfants ont été traités dans un service des urgences en raison de blessures liées à une fenêtre. Ce nombre correspond à des données américaines de 1990 à 2008. Cela correspond à un taux annuel de 14 enfants blessés en raison d’une chute depuis une fenêtre.

Il semble aussi que les bébés et les tout-petits (zéro à quatre ans) sont plus vulnérables. Ils représentent la majeure partie des blessures, soit 65 %, et les plus graves. C’est dans ce groupe que l’on retrouve les plus hauts taux d’hospitalisations et de décès.

La région la plus souvent touchée, lors d’une chute depuis une fenêtre, est la tête et le visage, soit dans presque la moitié des cas (49 %). Mentionnons finalement que 190 enfants se blessent de cette façon après avoir grimpé sur un meuble à proximité d’une fenêtre.

On rappelle donc aux parents de demeurer vigilants et surtout de se rappeler qu’une moustiquaire ne constitue pas une protection.

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En âge de comprendre

Des chercheurs de l’Oxford Brookes University se sont penchés sur la manière de rechercher des connaissances par les enfants de quatre ans.

Il semble que ces derniers sont déjà capables de discerner vers qui se tourner pour obtenir les renseignements qu’ils cherchent.

Ainsi, ils savent s’ils peuvent se fier aux connaissances d’une personne ou s’ils doivent trouver quelqu’un d’autre.

De plus, une personne pourrait recevoir une telle confiance non seulement parce qu’elle aura fourni une bonne réponse, mais aussi lorsqu’elle aura demandé à quelqu’un d’autre.

On a pu en arriver à ce constat à la suite d’une expérimentation impliquant de jeunes enfants. Il semble en effet que les enfants ont tendance, dès l’âge de quatre ans, à choisir leur source d’informations en fonction des paramètres cités.

Les résultats complets de cette nouvelle recherche sont parus dans Psychological Science.