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La force de la vie préscolaire

On lit dans Child Development les résultats d’une autre étude appuyant les bienfaits d’une vie préscolaire enrichissante. Un enfant en verra son langage et ses aptitudes en lecture améliorés.

Selon les remarques de chercheurs du Vanderbilt University’s Peabody College, l’emploi d’un vocabulaire plus poussé et la discussion sur des livres à la garderie, ajoutés à un encouragement à la lecture à la maison, auraient des répercussions importantes.

On parle ici d’une compréhension de lecture et de la reconnaissance des mots du niveau de la quatrième année. Une telle observation a aussi été faite quant au langage d’enfants de trois ans lorsqu’un soutien continu était offert à la maison.

Des efforts mis durant cette période décisive auraient donc des effets complexes et à long terme. Les chercheurs soutiennent finalement que nous ne reconnaissons pas encore suffisamment l’impact de l’apprentissage du langage en milieu préscolaire.

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Tabagisme et grossesse : plus grave encore

Selon une nouvelle étude parue dans le Journal of Human Capital, le tabagisme durant la grossesse augmenterait de 40 % les risques pour le bébé de vivre des problèmes de développement entre 3 et 24 mois.

Ce nouveau constat est pire que ce que l’on croyait jusqu’ici. Il semble que les bébés dont la mère a fumé la cigarette pendant la grossesse sont plus enclins à souffrir de problèmes de développement neurologique.

On espère que cette nouvelle découverte encouragera encore plus de futures mamans à arrêter de fumer durant la période prénatale.

La recherche en question a porté sur près de 1 600 enfants, lesquels provenaient d’Argentine, du Brésil et de la Chine.

Près de 11 % des mères de l’étude avaient fumé durant leur grossesse. Il s’agit de la plus vaste étude ayant porté sur le développement neurologique en lien avec le tabagisme qui ait été réalisée jusqu’ici.

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L’autorité parentale existe-t-elle encore?

Il semble que l’autorité des parents soit de plus en plus discutable. C’est ce que révèle un sondage de TNS Sofres, lequel est paru dans le magazine Psychologies.

On découvre tout d’abord que 81 % des répondants croient que les parents n’arrivent pas à bien se faire obéir par leurs enfants. Les trois quarts (76 %) pensent que ces derniers n’y arrivent tout simplement pas.

L’avis des parents est totalement à l’inverse. En effet, ceux-ci croient à 83 % qu’ils arrivent à ce que les enfants leur obéissent. Même que 46 % d’entre eux ne rencontreraient aucun problème de cet ordre.

Toutefois, 16 % avouent avoir de la difficulté à faire respecter certaines règles, dont la principale étant de faire ranger sa chambre à leur enfant. Lorsqu’on pose la question, on voit que 47 % des répondants reconnaissent qu’il s’agit « plutôt » d’un problème.

Les tâches ménagères, avec 30 %, constituent de toute façon un autre problème important, de même que l’heure du coucher (27 %).

La différence entre les avis nous pousse donc à nous demander où en est exactement l’autorité parentale de nos jours.

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L’autorité parentale existe-t-elle encore?

Il semble que l’autorité des parents soit de plus en plus discutable. C’est ce que révèle un sondage de TNS Sofres, lequel est paru dans le magazine Psychologies.

On découvre tout d’abord que 81 % des répondants croient que les parents n’arrivent pas à bien se faire obéir par leurs enfants. Les trois quarts (76 %) pensent que ces derniers n’y arrivent tout simplement pas.

L’avis des parents est totalement à l’inverse. En effet, ceux-ci croient à 83 % qu’ils arrivent à ce que les enfants leur obéissent. Même que 46 % d’entre eux ne rencontreraient aucun problème de cet ordre.

Toutefois, 16 % avouent avoir de la difficulté à faire respecter certaines règles, dont la principale étant de faire ranger sa chambre à leur enfant. Lorsqu’on pose la question, on voit que 47 % des répondants reconnaissent qu’il s’agit « plutôt » d’un problème.

Les tâches ménagères, avec 30 %, constituent de toute façon un autre problème important, de même que l’heure du coucher (27 %).

La différence entre les avis nous pousse donc à nous demander où en est exactement l’autorité parentale de nos jours.

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Les enfants ne lisent pas assez

Une récente étude menée au Royaume-Uni nous indique que les enfants d’aujourd’hui ne sont pas tous de grands lecteurs, loin de là. On lit sur Actualitte qu’un enfant sur six lit moins d’un livre par mois.

La tendance observée en est une d’opposés : soit un enfant lit plus de 10 livres par mois, soit il ne lit pas du tout. Pourtant, la lecture devrait être partagée par un beaucoup plus grand nombre d’enfants, car nous en connaissons les bénéfices.

Par exemple, la lecture est fortement reliée à la réussite scolaire; l’une influence tout autant l’autre. Cela a à voir, entre autres, avec la concentration : 77 % des enfants qui lisent plus d’une heure à la fois ont plus de facilité, et seulement 4 % d’entre eux ont des difficultés.

D’autre part, si un enfant ne lit pas suffisamment, il pourra se retrouver avec des lacunes à l’âge adulte. On prévoit que plusieurs d’entre eux n’auront qu’un degré de lecture équivalent à celui d’un enfant de 11 ans. Une grande inquiétude réside donc dans ces futurs problèmes d’alphabétisation.

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Effets des retards de croissance foetale

Les convulsions sont un problème de santé que vivent de nombreux enfants. Des chercheurs ont tenté de connaître les différentes sources de celles-ci, notamment durant la grossesse.

Selon leurs résultats parus dans Pediatrics, un retard de croissance fœtale est fortement lié à de plus grands risques de convulsions durant les deux premières années de vie de l’enfant.

Dans le cadre de l’étude, afin de déterminer quels sujets accusaient un retard de croissance, on a évalué diverses caractéristiques de la croissance fœtale à l’aide d’ultrasons. Parmi celles-ci, on trouve la circonférence de la tête et celle de l’abdomen, la longueur du fémur et l’estimation du poids fœtal.

Toutes ces données ont été recueillies durant le deuxième et le troisième trimestre de grossesse. Par la suite, on a évalué l’occurrence des convulsions chez les bébés entre leurs 12e et 24e mois. Au total, on comptait 3 372 bébés dans cette recherche.

En regard aux résultats obtenus, on souligne une fois de plus les impacts des facteurs génétiques et ceux liés à l’environnement durant la grossesse, car ils peuvent aussi influencer le développement des convulsions chez l’enfant.

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La santé du bébé reliée à la vitamine D

Les spécialistes rappellent que les femmes enceintes devraient être mieux suivies et évaluées quant à leur taux de vitamine D.

Une carence de cette vitamine peut mener à des convulsions, des problèmes cardiaques et un rachitisme chez son enfant. D’autres problèmes peuvent aussi être liés à une telle carence, dont le diabète et l’asthme.

De plus, on peut lire dans le Journal of Medical Screening que la source principale de vitamine D est bien l’exposition au soleil et à la lumière du jour, avec un taux de 90 %.

On recommande donc de faire passer des tests sanguins durant la grossesse afin d’évaluer quelles sont les femmes (et leur bébé) le plus à risque. À l’heure actuelle, les femmes enceintes sont encouragées à prendre des suppléments de vitamine D.

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Les problèmes de santé de la mère à l’enfant

Si sa mère connaît des problèmes de santé ou si elle est désavantagée dans sa vie en général, un enfant courra plus de risques d’être malade à son tour. Il semble de plus que cette corrélation ne s’explique pas que par des facteurs génétiques.

C’est ce que révèle une récente étude présentée à l’Annual Meeting of the American Sociological Association. On peut en voir un aperçu sur EurekAlert.

En se basant sur des données de 2007 et 2008, on a en effet remarqué que les enfants dont la mère était en mauvaise santé et vivait à la fois des difficultés éprouvaient plus souvent des problèmes de santé, soit 5 fois plus. Ainsi, on comprend que les raisons ne peuvent pas être que génétiques.

Ces enfants souffriraient plus souvent d’asthme et connaîtraient plus de problèmes d’apprentissage notamment. Les raisons en seraient nombreuses, dont les impacts émotifs et financiers de la mauvaise santé de la mère et de ses défis en général.

Mentionnons finalement que les difficultés de la mère pouvaient ici être son degré d’éducation, son revenu familial et sa structure familiale.

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L’importance de la vitamine D

Des chercheurs affirment que la majorité des enfants atteints du VIH ont un taux de vitamine D insuffisant. Les résultats de leur recherche sur le sujet sont parus dans le Journal of Pediatrics.

Ces enfants auraient besoin de recevoir deux fois le traitement standard pour atteindre les degrés attendus. La vitamine D est évidemment recommandée à tous les enfants, rappellent les chercheurs.

Pour ce qui est d’une déficience de cette vitamine, les raisons peuvent être diverses. On pense entre autres à une trop faible exposition au soleil, à l’emploi courant, de nos jours, de la protection solaire ainsi qu’à une alimentation incomplète. D’autre part, les médicaments antirétroviraux pourraient également avoir un impact sur le taux de vitamine D.

La présente recherche a porté sur 53 enfants atteints du VIH. Au total, 85 % d’entre eux accusaient une carence en vitamine D.

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Les bébés protégés contre la grippe par n’importe quelle méthode

Les enfants de moins de trois ans reçoivent les mêmes anticorps protecteurs contre la grippe saisonnière indépendamment du fait que les deux doses soient injectées par aiguille, inhalées par vaporisateur nasal ou qu’elles soient administrées par ces deux méthodes dans n’importe quel ordre, selon des chercheurs financés par des instituts nationaux de la santé.

 

Les médecins donnent généralement ces deux types de vaccins contre la grippe. Le but de cette étude était de déterminer si ces deux méthodes fonctionnaient bien, rapporte le site Medicalnewstoday.

L’étude a été réalisée dans les unités d’évaluation des vaccins et des traitements (VTEUs) et financée par le National Institute of Allergy and Infectious Diseases (NIAID). L’étude s’est déroulée au cours de la période 2005-2006, puis en 2006-2007, pendant les saisons de la grippe saisonnière. Au total, 53 enfants âgés de 6 à 35 mois ont participé à cette enquête.

« Les complications graves de la grippe saisonnière peuvent être dévastatrices pour les jeunes enfants », a notamment souligné Anthony S. Fauci, directeur du NIAID.

La vaccination contre la grippe pour les jeunes enfants est une combinaison de deux doses. La première est conçue pour produire une réponse immunitaire favorable, et la deuxième dose stimule en fait cette réponse immunitaire.

Sharron Goodyear / FreeDigitalPhotos.net