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Est-il possible de déceler un traumatisme crânien causé par la violence?

Pediatrics a publié un article à propos d’une nouvelle étude qui a été menée afin de déterminer s’il est possible de reconnaître chez un enfant la différence entre un traumatisme crânien causé par la violence et un traumatisme crânien qui n’a pas été causé par la violence.

 

Afin d’y arriver, on a étudié les résultats comparatifs de six études réalisées sur des enfants de moins de trois ans ayant des lésions intracrâniennes.

Ces lésions ont été analysées afin de déterminer s’il y avait un lien qui permettrait de découvrir s’il s’agit d’un traumatisme crânien causé par la violence, et ce, à partir d’une combinaison de différents problèmes.

Ceux-ci pourraient être l’apnée, l’hémorragie rétinienne, les fractures des côtes, du crâne et des os, les ecchymoses ou coups ou à la tête, et d’autres blessures.

Après avoir analysé 1 053 enfants, dont 348 d’entre eux souffraient d’un traumatisme crânien causé par la violence, les prédictions positives d’un traumatisme crânien causé par la violence variaient entre 4 % et 97 %, selon les différentes combinaisons de blessures.

Il semble que la possibilité de souffrir d’un traumatisme crânien causé par la violence augmente considérablement lorsque l’enfant souffre de fractures aux côtes ou d’une hémorragie rétinienne combinée avec n’importe quelle autre blessure. Dès qu’il y a la présence de trois des blessures mentionnées, les chances que l’enfant souffre d’un traumatisme crânien causé par la violence s’élèvent à 85 %.

On conclut donc que les probabilités qu’un enfant souffre d’un traumatisme crânien causé par la violence peuvent être estimées en se basant sur la combinaison de blessures cliniques.

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Comment prendre soin d’un enfant atteint d’hémoglobinose?

Une liste de 41 indicateurs de soins a été créée pour permettre de mesurer et d’améliorer les soins à prodiguer à des enfants atteints de l’hémoglobinose (ou anémie à cellules falciformes).

 

Cette liste a été développée par un groupe d’experts, selon une étude publiée en ligne le 15 août dernier par Pediatrics.

C. Jason Wang, de la Boston University School of Medicine, et ses collègues ont développé cette liste d’indicateurs de soins à prodiguer pour les gens qui doivent s’occuper d’enfants qui sont atteints de l’hémoglobinose.

Les indicateurs ont été développés selon la méthode de la Rand (University of California Los Angeles), incluant une revue exhaustive de ce qui a été écrit sur le sujet, avec les faits évidents, en plus de deux rondes de notes anonymes écrites par un groupe d’experts. Une discussion a même été menée pour chacun des indicateurs par les panélistes entre les deux rondes.

Les chercheurs ont finalement recommandé un total de 41 indicateurs qui couvrent 18 sujets. On retrouve 17 indicateurs qui décrivent la routine de soins à maintenir, 15 qui décrivent les soins aigus ou subaigus, ainsi que 9 indicateurs décrivant les soins chroniques.

Les auteurs de cette étude ont déclaré : « Cette liste de 41 indicateurs peut être utilisée pour évaluer la qualité des soins et fournir un point de départ pour augmenter la qualité des efforts. »

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Les parents sous-estiment le poids de leurs enfants

Un rapport de Statistique Canada démontre que les Canadiens sous-estiment le poids et surestiment la taille de leurs enfants.

 

Même pour eux-mêmes, les adultes ont vraiment du mal à évaluer les bonnes données concernant leur poids et leur taille. Le rapport entre la grandeur et la taille permet de déterminer si une personne compte parmi les obèses morbides.

Lorsqu’on demande aux parents d’évaluer le poids et la taille de leurs enfants, les données sont également inexactes. Le poids est erroné de 1,09 kg et la taille de 3,3 cm, en moyenne.

La plupart du temps, les enfants dont on avait sous-estimé le poids étaient en réalité obèses, alors qu’au contraire ceux qu’on avait dit obèses étaient des candidats dont on avait sous-estimé la taille. Il serait donc important de pouvoir bien évaluer les données.

Ainsi, le taux d’obésité que l’on retrouve chez les enfants est erroné, car il est basé sur les données recueillies par les parents.

 

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Le lait meilleur que l’eau pour réhydrater les enfants

La majorité des gens actifs ne boivent pas suffisamment lors de leurs activités, ce qui se solde par une baisse de la performance ainsi qu’un risque accru de malaises, notamment des coups de chaleur.

 

Le Medical News Today affirme que lors d’activités ou d’exercices physiques, le lait est meilleur que l’eau ou les boissons sportives pour combattre la déshydratation chez les enfants.

En effet, le lait procure des protéines de haute qualité, des glucides, du calcium et des électrolytes.

D’autre part, il remplace efficacement le sodium qui est perdu dans la sueur et il aide le corps à mieux retenir les fluides. Il fournit les nutriments pour la bonne croissance des os et des muscles chez les enfants.

Donc, lors de la prochaine activité sportive de vos enfants, pensez plutôt à apporter du lait, afin de leur donner l’énergie nécessaire pour continuer leur sport et ainsi demeurer bien hydraté.

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Le lait meilleur que l’eau pour réhydrater

La majorité des adultes et des enfants actifs ne boivent pas suffisamment lors de leurs activités, ce qui en résulte une baisse de la performance, ainsi qu’un risque accru de malaises, notamment des coups de chaleur.

Le Medical News Today affirme que lors d’activités ou d’exercices physiques, le lait est meilleur que l’eau ou les boissons sportives, surtout chez les enfants, afin de combattre la déshydratation. 

En effet, le lait procure des protéines de haute qualité, des glucides, du calcium et des électrolytes.

D’autre part, il remplace efficacement le sodium que nous perdons dans la sueur et aide le corps à mieux retenir les fluides.

Donc, lors de la prochaine activité sportive de vos enfants, pensez plutôt à apporter du lait, afin de leur donner l’énergie nécessaire pour continuer leur sport et ainsi demeurer bien hydraté.

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Le poids est sous-estimé et la taille surestimée.

Un rapport de Statistique Canada démontre que les Canadiens sous-estiment leur poids et surestiment leur taille, y compris chez leurs enfants.

Les adultes ont vraiment du mal à évaluer les bonnes données concernant leur poids et leur taille. Le rapport grandeur et taille permet de déterminer si une personne compte parmi les obèses morbides.

Lorsque l’on demande aussi aux parents d’évaluer le poids et la taille de leurs enfants, les données sont également inexactes. Le poids est erroné de 1,09 kg et la taille de 3,3 cm en moyenne.

La plupart du temps, les enfants dont on avait sous-estimé le poids étaient en réalité obèses, alors qu’au contraire, ceux qu’on avait dit être obèses, étaient des candidats dont on avait sous-estimé la taille. Il serait donc important de pouvoir bien évaluer les données.

Ainsi, le taux d’obésité que l’on retrouve chez les enfants est erroné car il est basé sur les données recueillies auprès des parents.

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La publicité encore pointée du doigt

Il semble que les personnages animés que les enfants voient à la télévision aient bel et bien un impact sur leurs envies. Ils seraient responsables de la convoitise pour les aliments sucrés chez les tout-petits.

C’est ce que démontre une étude parue dans le Journal of Children and Media. Si les médias en général ne semblent pas présenter d’influence sur les goûts alimentaires des enfants, certaines publicités de la télévision en auraient pourtant une.

L’emballage, les personnages présentés et le temps d’exposition à de telles publicités font aussi partie des facteurs.

Dans le cadre de cette recherche, 64 mères d’enfants de 3 à 5 ans – pour une moyenne de 3 enfants par famille – ont été questionnées sur le sujet. En moyenne, il y avait deux télévisions à la maison.

L’une des solutions est d’offrir un choix de remplacement. En d’autres mots, si l’enfant voulait cette sorte de céréales avec des guimauves, mais ne peut l’avoir, lui proposer alors deux autres sortes, ces dernières constituant un choix santé.

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Enfant gros, enfant malade

On lit sur Health l’avis d’une spécialiste de la Miller School of Medicine (University of Miami), Dr Sarah Messiah, quant au surpoids en bas âge.

Selon elle, un enfant âgé d’à peine deux ans est déjà exposé à des problèmes de santé importants dans sa vie adulte s’il a un surpoids. Dès cet âge, il présente des symptômes du syndrome métabolique.

Ce problème de santé peut mener entre autres à une maladie cardiaque et au diabète. Ainsi, un enfant qui souffre de problèmes de poids est déjà un enfant malade. Néanmoins, l’un des premiers dangers consiste en la résistance à l’insuline, laquelle est déjà observable chez des enfants de cinq ans.

Dr Messiah rappelle que le premier enjeu auquel est confronté l’enfant en surpoids est la prévalence du diabète.

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Risque élevé de cancer chez les mamans afro-américaines

Selon une étude effectuée auprès de 59 000 Afro-américaines, menée depuis 1995, les risques de cancer sont particulièrement élevés chez ces femmes lorsqu’elles n’allaitent pas.

Précisément, comme l’explique La Presse, cette population de femmes est 50 % plus exposée à un cancer du sein (celui dit « de récepteurs hormonaux négatifs aux oestrogènes et à la progestérone ») si elle a 2 enfants ou plus et qu’elle n’allaite pas.

Sur toute la cohorte, 318 femmes ont développé ce type de cancer du sein, alors qu’une tumeur cancéreuse avec ces mêmes récepteurs et hormones a été diagnostiquée chez 457 d’entre elles.

Une augmentation de 50 % de prévalence a été remarquée chez les femmes qui avaient accouché de 2 bébés ou plus, sauf pour celles qui avaient choisi l’allaitement.

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Mieux traiter la paralysie cérébrale

Parue récemment dans Developmental Medicine and Child Neurology, une étude menée par diverses instances de l’Alberta présente une toute nouvelle façon de venir en aide aux enfants atteints de paralysie cérébrale.

Au lieu de se baser sur la posture ou les aptitudes à faire des mouvements, cette méthode d’intervention porte plutôt sur le milieu de vie de l’enfant et au jeu.

Ce que l’on appelle une « intervention basée sur le contexte » (context-focused intervention) porte justement sur l’environnement plutôt que l’enfant lui-même. Cette nouvelle méthode offerte aux parents concernés et à leur enfant a donné des résultats probants quant à son efficacité.

Durant l’expérimentation, laquelle a portée sur 128 enfants atteints, l’approche dont il est question a donné des résultats équivalents à la méthode de traitement habituelle, notamment pour ceux dont l’état est évalué de moyen à sévère.