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Le stress est intergénérationnel

On lit dans Developmental Psychobiology que le stress vécu par des parents peut se transmettre à leur progéniture.

Des chercheurs ont recréé un modèle avec des rats, en raison de leurs similitudes avec les humains. Après avoir suivi 40 rats femelles avant même leur grossesse, ils ont remarqué des faits surprenants.

Tout d’abord, il semble qu’un stress vécu par la mère fera en sorte que l’interaction sociale de son bébé sera diminuée, mais que l’aptitude à éviter la détresse de l’enfant en sera améliorée.

Il semble donc que les parents tendent, du point de vue de l’évolution, à préparer leur progéniture à mieux se débrouiller au sein de son environnement.

Autrement dit, la mère aura tendance à créer ce qu’on appelle un « environnement thérapeutique » afin de minimiser les effets négatifs du stress sur la prochaine génération.

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Le ipad pour bébé

On apprend sur Le Parisien.fr qu’une entreprise a lancé dernièrement un ipad pour bébés. Vinci Genius offre une tablette tactile conçue pour les moins de quatre ans. La Vinci Tab se détaille autour de 389 dollars, et on la trouve notamment au www.amazon.com.

Toute la famille aura donc sa tablette tactile, car rappelons-nous qu’après celle destinée aux adultes, un gadget du genre a été lancé pour les enfants âgés de 5 à 10 ans.

L’écran de cet ipad mesure 7 pouces, et l’on mentionne qu’il résiste aux chocs et aux petites dents qui mâchent tout.

Bien sûr, des jeux interactifs sont offerts, de même que des livres et des vidéos de musique. On y trouve aussi un appareil photo et vidéo de 3 mégapixels.

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La dépression atteint plus les enfants maltraités

Des chercheurs du King’s College London Institute of Psychiatry soutiennent que la dépression touche plus les enfants maltraités que les autres. En fait, il semble que les enfants qui vivent des sévices courent deux fois plus de risques de vivre plus d’un épisode de dépression.

Selon leurs résultats parut dans l’American Journal of Psychiatry, ces épisodes de dépression tendent aussi à être plus longs, et les personnes répondront moins bien au traitement la plupart du temps.

Les chercheurs se sont basés sur les résultats de 16 études, ce qui revient à 23 000 patients, pour tirer ces conclusions.

La dépression constitue le problème de santé mentale le plus courant au monde. On estime que 1 adulte sur 15 en souffre chaque année, aux États-Unis seulement.

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Nouvelle percée quant au TDAH

On pourrait atténuer les symptômes du trouble déficitaire de l’attention. Des chercheurs entrevoient de nouveaux médicaments après avoir analysé un récepteur du cerveau. Leurs résultats sont parus dans Molecular Psychiatry.

On y lit que des stimulants pourraient en fait en venir à réduire les symptômes liés au déficit de l’attention. C’est qu’une dysfonction de la dopamine, un récepteur, serait bel et bien liée au développement du TDAH.

Ce lien avait déjà été établi, de même qu’avec d’autres troubles impulsifs et l’abus de drogues.

Précisément, la dopamine D4.7, une variation de la D4, semble commune à tous ceux qui sont atteints du trouble déficitaire de l’attention.

Une expérimentation a été effectuée sur ce sujet en utilisant des souris, mais l’on prévoit déjà un transfert vers l’humain, afin de soulager les symptômes des enfants atteints de ce trouble, entre autres.

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Le surpoids et l’asthme

On lit dans le Journal of Epidemiology and Community Health que le surpoids et l’obésité durant la grossesse peuvent causer l’asthme chez le futur enfant.

Précisément, selon les résultats d’une étude, une femme qui a un surpoids ou qui est obèse lorsqu’elle tombe enceinte, expose son bébé à naître à de plus grands risques de symptômes respiratoires liés à l’asthme durant son adolescence.

On a tiré ces conclusions après avoir suivi 7 000 adolescents qui étaient nés entre 1985 et 1986. Leurs mères ont quant à elles été questionnées sur leur style de vie et leur milieu social durant leur grossesse, entre autres.

Les enfants dont la mère était obèse ou présentait un surpoids avant d’être enceinte ont de 20 à 30 % plus de risques de souffrir de l’asthme ou d’avoir certains problèmes respiratoires. 

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Un nouveau médicament contre l’arthrite juvénile

On apprend dans le Daily Mail qu’un médicament venant d’être lancé pourrait soulager des centaines d’enfants atteints d’arthrite grave. En effet, l’administration de tocilizumab s’est avérée concluante.

Le tocilizumab est une sorte d’anticorps monoclonal. Il sert à bloquer des récepteurs, et son apport contre la polyarthrite rhumatoïde est déjà reconnu.

On a maintenant statué, à la suite de tests, que pas moins des deux tiers des enfants ayant reçu ce médicament avaient vu leur état général s’améliorer au point de ne plus se déplacer en chaise roulante.

Les tests ont été effectués auprès de 112 enfants. Après trois mois, les trois quarts d’entre eux avaient vu leur état s’améliorer à 70 %.

Jusqu’ici, on traitait ce type de maladie inflammatoire par des médicaments tels que les corticostéroïdes. Malheureusement, ces derniers causaient des effets secondaires importants, en plus de ne pas freiner la progression de la maladie.

On prévoit déjà que la qualité de vie de nombreux enfants sera changée, car l’arthrite juvénile frappe dès l’âge de 18 mois.

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Traiter l’infection de la peau chez l’enfant

À la suite de tests, il s’avère que la clindamycine est le traitement à choisir lors d’une infection de la peau, lit-on dans Pediatrics. Rappelons que la clindamycine est un antibiotique. L’un de ses effets secondaires les plus courants est la sécheresse de l’épiderme.

On a par ailleurs remarqué que ses effets étaient d’autant plus grands si les plaies de l’infection étaient nettoyées.

La cohorte choisie pour cette recherche s’élevait à près de 50 enfants. Sur ce nombre, près de 7 500 ont pris de la clindamycine, et les autres ont pris d’autres sortes de médicaments.

C’est l’antibiotique en question qui a présenté le plus faible taux d’échec du traitement et de récurrences de la maladie.

 

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Les parents d’enfants allergiques sont jugés

Si un enfant souffre d’une allergie grave, ses parents ont tendance à devenir trop protecteurs. Cela entraîne souvent des préjudices et des jugements, comme le soutient une étude récente parue dans Chronic Illness.

En outre, les enfants en paieraient aussi certaines conséquences, comme se faire intimider à l’école sur ce sujet.

De plus, dans le cas d’une allergie aux noix, les enfants atteints feraient souvent face à des attitudes négatives de même qu’à de l’étiquetage inadéquat.

Puisqu’ils avaient déjà vécu des situations très stressantes à cause de l’allergie de leurs jeunes, les parents de cette recherche faisaient montre d’une multitude de précautions afin d’assurer la sécurité de leur enfant.

Ce comportement semble malheureusement mener à de l’irritabilité et du scepticisme de la part des autres.

On conclut donc que les allergies alimentaires graves constituent une réelle source d’anxiété pour les familles visées, qui se retrouvent parfois isolées socialement, voire exclues.

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La dépression atteint le cerveau de l’enfant

Des chercheurs de l’Université de Montréal on démontré qu’une partie du cerveau d’enfants nés d’une mère dépressive, l’amygdale, était plus grosse.

Rappelons que l’amygdale (complexe amygdalien) est un noyau situé dans le lobe temporal. Cette partie du cerveau est reliée à la réponse émotive.
 
Cela ferait donc en sorte que ces mêmes enfants ne répondraient pas de la même manière s’ils doivent affronter une situation nouvelle ou comportant un danger.
 
Selon les explications des chercheurs, lesquelles sont parues récemment dans Proceeding of the National Academy of Sciences, le cerveau de ces enfants est très sensible à la qualité des soins qui leur sont prodigués.
 
On parle ici en particulier du cerveau d’enfants de 10 ans dont la mère a présenté des symptômes de dépression tout au long de leur vie.
 
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Le visage en dit long sur l’enfance

On pourrait deviner l’enfance d’un adulte en analysant la symétrie de son visage, selon une étude parue dans l’Economics and Human Biology. Après l’analyse de 15 traits du visage, on a remarqué que l’asymétrie est un indice d’une enfance difficile.

Il semble que certains facteurs en particulier affectent les traits du visage d’une personne. On y compte l’exposition à la pollution et à la fumée de cigarette, la nutrition, la maladie et le statut socioéconomique.

Les habitudes de vie de même que la qualité de celle-ci seraient les critères les plus importants. De plus, une amélioration de la qualité de vie et l’accumulation de richesses ne changent rien à l’asymétrie du visage établie durant l’enfance.

Ces remarques ont été faites après que 292 visages aient été analysés. On peut se questionner comme parent quant à cette incidence et la qualité de vie de notre enfant.