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Le visage en dit long sur l’enfance

On pourrait deviner l’enfance d’un adulte en analysant la symétrie de son visage, selon une étude parue dans l’Economics and Human Biology. Après l’analyse de 15 traits du visage, on a remarqué que l’asymétrie est un indice d’une enfance difficile.

Il semble que certains facteurs en particulier affectent les traits du visage d’une personne. On y compte l’exposition à la pollution et à la fumée de cigarette, la nutrition, la maladie et le statut socioéconomique.

Les habitudes de vie de même que la qualité de celle-ci seraient les critères les plus importants. De plus, une amélioration de la qualité de vie et l’accumulation de richesses ne changent rien à l’asymétrie du visage établie durant l’enfance.

Ces remarques ont été faites après que 292 visages aient été analysés. On peut se questionner comme parent quant à cette incidence et la qualité de vie de notre enfant.

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L’autisme récurrent, plus grave que prévu

Une étude de l’University of California parue récemment dans Pediatrics fait état d’un constat inquiétant. C’est que la récurrence de l’autisme au sein d’une même famille est encore plus importante que l’on aurait pensé.

Si des études précédentes en étaient arrivées avec un taux de récurrence se situant entre 3 et 10 %, puis de 14,2 %, on a désormais atteint un taux de 18,7 %.

Un enfant de sexe masculin serait d’autant plus à risque de recevoir un diagnostic d’autisme. Le taux est aussi plus élevé chez les enfants dont plus d’un frère ou sœur est autiste.

Cette recherche portait sur 664 enfants. Tous provenaient d’une famille où grandissait au moins un enfant atteint de ce trouble envahissant. Ils ont été choisis avant leurs 18 mois, et leur évaluation quant à l’autisme n’a pas été effectuée avant qu’ils aient atteint l’âge de 3 ans.

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L’autisme récurrent, plus grave que prévu

Une étude de l’University of California parue récemment dans Pediatrics fait état d’un constat inquiétant. C’est que la récurrence de l’autisme au sein d’une même famille est encore plus importante que l’on aurait pensé.

Si des études précédentes en étaient arrivées avec un taux de récurrence se situant entre 3 et 10 %, puis de 14,2 %, on a désormais atteint un taux de 18,7 %.

Un enfant de sexe masculin serait d’autant plus à risque de recevoir un diagnostic d’autisme. Le taux est aussi plus élevé chez les enfants dont plus d’un frère ou sœur est autiste.

Cette recherche portait sur 664 enfants. Tous provenaient d’une famille où grandissait au moins un enfant atteint de ce trouble envahissant. Ils ont été choisis avant leurs 18 mois, et leur évaluation quant à l’autisme n’a pas été effectuée avant qu’ils aient atteint l’âge de 3 ans.

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La musique contre le cancer

Dans le cadre d’une étude dirigée par la Drexel University (Philadelphie), on a remarqué l’effet considérable de la musique sur l’état de jeunes patients cancéreux. En faisant l’étude de 30 recherches précédentes, on a relevé des améliorations quant à la douleur, notamment.

On a aussi remarqué une amélioration des signes vitaux comme la pression sanguine et l’humeur. En effet, les enfants de l’étude – tout comme les adultes, d’ailleurs – ont vécu moins d’anxiété s’ils écoutaient de la musique dans le cadre d’un traitement, selon Medical News Today.

Mentionnons que dans certains cas, les patients étaient invités à jouer du piano, à chanter, ou encore à créer des mélodies à l’aide d’un thérapeute.

C’est donc avec raison que l’on envisage d’intégrer la musique non seulement dans les traitements habituels contre le cancer, mais aussi contre des maladies chroniques et d’autres maladies dégénératives qui affectent les émotions.

Il n’y a encore aucune évidence quant au type de musique, mais il semble que ce soit plus efficace si les airs choisis correspondent aux goûts du patient, entre autres.

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Plus de « bon gras » chez les enfants minces

On lit dans le Journal of Pediatrics des résultats scientifiques quant à l’impact des quantités de bon gras et de mauvais gras chez l’enfant. Rappelons que ce que l’on appelle « bon gras » en est un qui brûle plus facilement de l’énergie plutôt que d’en accumuler.

À la suite d’analyse de données, on comprend qu’une approche concernant la quantité de mauvais gras pourrait mieux contrer les taux croissants d’obésité et de diabète infantiles. Les enfants minces présentent une quantité plus importante de bon gras dans leur organisme.

On a pu faire cette constatation après avoir effectué des tests par imagerie auprès de 172 enfants âgés de 5 ans et plus. De plus, il semble que l’augmentation du bon gras lors du passage de l’enfance à l’adolescence, ainsi que sa corrélation inversée avec l’obésité, suggère qu’il joue un rôle majeur dans le métabolisme infantile.

Ainsi, en trouvant de nouveaux moyens pour augmenter la quantité de bon gras chez les enfants, on arriverait à combattre d’une toute nouvelle façon le diabète et l’obésité. Qui plus est, ces moyens se révéleraient plus sécuritaires pour leur santé.

On souligne finalement que bien des questions demeurent sans réponse quant à ce phénomène. Entre autres, on ne saurait dire encore si un enfant est plus mince parce qu’il présente un taux plus élevé de bon gras, ou s’il a un tel taux en raison de sa minceur.

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Le chien, le compagnon de lecture de l’enfant

Un enfant améliorera ses aptitudes en faisant la lecture à un chien. C’est ce que soutiennent des chercheurs de la Cummings School of Veterinary Medicine de la Tufts University. Une étude menée auprès d’enfants démontre en effet cette qualité chez le meilleur ami de l’homme.

On a demandé à 18 enfants de 2année de faire la lecture durant 30 minutes par semaine à un chien ou à une personne. Au bout de cinq semaines, divers segments ont été analysés; entre autres, les aptitudes de lecture des enfants ont été réévaluées.

Pour ses qualités d’écoute, le chien s’est avéré un excellent compagnon de lecture. De plus, puisqu’il ne porte aucun jugement sur l’enfant, ce dernier a gagné plus de confiance en lui-même en tant que lecteur.

On a aussi remarqué une différence quant aux performances des petits lecteurs. Une légère hausse des mots lus par minutes a été relevée au sein du groupe où les enfants faisaient la lecture à un chien. L’inverse a été remarqué dans le second groupe.

Il semble finalement que l’engagement envers la lecture a été renforcé lorsqu’un enfant
faisait la lecture au chien. Plus de renseignements sur cette étude sont parus sur Daily Dose.

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Risques d’allergies : facteurs prénataux

On ne saurait deviner toutes les raisons pour qu’un bébé de deux ans développe des allergies. Selon une étude du Henry Ford Hospital de Détroit, cela peut prendre source de multiples façons.

Par exemple, si l’exposition de la mère à des animaux domestiques durant la grossesse joue un rôle, la nationalité de cette dernière et les conditions de l’accouchement aussi.
 
Afin d’en venir à ces conclusions, on a évalué un anticorps, le IgE, chez 1 187 bébés à la naissance et à l’âge de 6 mois, 1 an et 2 ans. Le IgE est associé au développement de l’asthme et des allergies; plus le taux en est élevé, plus la prédominance est importante.
 
Il s’est trouvé que le taux de IgE était 28 % plus faible chez les enfants dont la mère avait été exposée à des animaux domestiques lorsqu’elle était enceinte. Le même taux baissait de 16 % lorsqu’en plus de ce premier facteur, l’enfant était né par voie vaginale.
 
Finalement, le IgE des jeunes Européens, Asiatiques et ceux du Moyen-Orient était 33 % plus bas lorsqu’il y avait eu exposition prénatale à des animaux domestiques.
 
Les résultats complets de cette recherche viennent tout juste de paraître dans le Journal of Allergy and Clinical Immunology.
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Les antibiotiques peuvent rendre malade

On apprend dans Archives of Pediatrics & Adolescence Medicine que les antibiotiques augmenteraient le risque de certaines maladies. Des chercheurs affirment que leur administration rendrait l’enfant plus vulnérable au staphylococcus aureus.

Le staphylococcus aureus résistant à la méticilline (SARM), communément appelé le « staphylocoque doré », se reconnaît justement à sa résistance aux antibiotiques. Les infections qui en découlent peuvent être graves, voire mortelles.
 
Les chercheurs font remarque que les agents antibactériens avaient déjà été pointés du doigt quant à la contraction du SARM. Un lien vient donc d’être établi entre les médicaments de ce type sous ordonnance et la récurrence de la maladie.
 
Ils ont identifié des enfants atteints du SRMA parmi un échantillonnage (qui était de 1 enfant sur 19) s’étalant de 1994 à 2007 au Royaume-Uni. Le taux annuel d’enfants atteints était de 4,5 sur 100 000.
 
Toutefois, les chercheurs rappellent que les agents antibactériens ne représentent pas nécessairement une prédisposition au SRMA.
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Aucun risque lié à la somatropine?

Selon la Food and Drug Association, la somatropine ne serait pas liée avec des risques de décès, pouvons-nous lire sur Internal Medicine News.

Rappelons que la somatropine est une hormone de croissance. Son administration est entre autres employée dans le traitement du nanisme.
 
Les analyses se poursuivent, afin de cerner les effets à long terme sur la santé de ce traitement. Une cohorte de 30 000 enfants traités avec la somatropine a été établie dès 2010 aux fins de la recherche.
 
En plus des risques de mortalité, on tentera de prouver s’il y a risque de développement d’un cancer en prenant cette hormone.
 
Pour l’instant, la FDA affirme que le lien entre la somatropine et un risque de décès ne peut être confirmé.
 
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Comment réduire le stress de notre enfant

Selon une recherche de l’University of Chicago, le stress vécu à l’école, que ce soit lors d’un examen ou pendant une activité sportive, peut entraver la réussite scolaire. On lit dans Emotion qu’un simple changement de perception pourrait toutefois changer la donne.

D’après les résultats des experts, il semble que le cortisol, une hormone du stress, peut à la fois être relié à un faible résultat et constituer un facteur de réussite. Cela ne dépendrait que de l’état d’esprit de l’enfant.
 
C’est la première fois que l’on établit un lien entre la mémoire, l’anxiété (quant à un test de mathématiques) et le cortisol. Soixante-treize élèves ont été évalués lors de cette expérimentation.
 
Afin de maîtriser son stress et ainsi s’en servir pour mieux réussir, notre enfant pourrait donc changer sa perception de la situation selon deux méthodes. Il peut soit écrire sur ses angoisses avant de faire un test, soit se rappeler un moment où il a vécu une réussite.