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Tests génétiques : pour ou contre?

Plusieurs voient d’un mauvais œil les tests génétiques effectués sur de jeunes enfants. On s’inquiète notamment sur les impacts psychologiques qu’ils pourraient avoir.

Pourtant, on lit dans le Journal of Pediatric Psychology un autre avis sur le sujet. Une chercheuse de l’University of Michigan, Dre Beth A. Tarini, y présente les avantages d’un tel recours.
 
Mentionnons tout d’abord que les appréhensions que nous connaissons ne sont pas basées sur des données empiriques, mais sur des perceptions et des hypothèses.
 
D’un autre côté, on rappelle que l’usage de ces tests génétiques permet de prévoir le développement de certaines maladies graves. Le diagnostic précoce de ces dernières permet très souvent des interventions hâtives qui ont des effets très positifs sur la santé des enfants atteints.
 
La détection durant l’enfance du possible développement d’une maladie génétique permet aussi de prendre les bonnes habitudes quant à sa situation, plus tôt dans la vie.
 
Malgré tout, Dre Tarini souligne que le recours à des tests génétiques peut effectivement entraîner, dans le cas où un enfant est avisé des résultats, une baisse d’image de soi et une détresse psychologique.
 
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Les soins particuliers nuiraient à la réussite scolaire

Une récente étude parue dans Pediatrics fait la lumière sur la vie sociale et la réussite scolaire d’enfants nécessitant des soins de santé particuliers. Il semble que les enfants ayant de tels besoins en soient discriminés.

En effet, après que l’on ait ajusté certains segments, on a remarqué que les enfants recevant des soins particuliers en milieu scolaire étaient plus souvent victimes d’intimidation et affichaient un comportement dérangeant dans une plus grande proportion.
 
De plus, ils démontraient une moins grande motivation et obtenaient de moins bons résultats scolaires. Parmi les enfants de 34 écoles, 33 % ont été reconnus comme nécessitant des soins particuliers.
 
Ceux-ci comprenaient les limites physiques dues à une maladie chronique et les problèmes de comportement. La seule prise de médicaments ne faisait pas partie des raisons, du moins dans cette recherche. Au total, 1 457 enfants de la 4e à la 6e année ont été évalués.
 
On recommande, à la suite des résultats obtenus, que les enfants ayant des besoins particuliers soient mieux soutenus dans le milieu scolaire.
 
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Asthme : gare aux facteurs moins visibles

Une étude du Cincinnati Children’s Hospital Medical Center soutient l’hypothèse que la moisissure est reliée à l’asthme. Il semble que les enfants qui y sont exposés risquent trois fois plus de souffrir d’asthme à l’âge de sept ans.

Si cette exposition en bas âge, à la maison, semble influencer le développement de la maladie, les chercheurs soutiennent que les facteurs génétiques demeurent importants. Par exemple, un enfant dont les parents souffrent d’allergies ou d’asthme est plus à risque.
 
La recherche s’est donc étalée sur sept années et 36 types de moisissures ont été évalués. On comparait ensuite les effets sur la santé respiratoire des jeunes participants. Au total, 176 enfants faisaient partie de cette étude.
 
Les résultats complets de cette nouvelle recherche ont paru dernièrement dans Annals of Allergy, Asthma & Immunology.
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Autobus scolaire : la prudence est de mise!

Prévoyant la rentrée scolaire, tout parent devrait prendre le temps de parler de la sécurité entourant le transport scolaire avec son enfant. On lit quelques conseils sur le sujet sur Medical News Today.
 
D’abord, on attend l’autobus scolaire avec un peu de sérieux. On ne s’excite pas. Il faut aussi s’organiser pour être à l’arrêt d’autobus au moins cinq minutes avant l’arrivée prévue du véhicule; on n’aura pas à courir pour l’attraper.
 
Une fois dans l’autobus, on demeure assis. Il ne faut jamais sortir sa tête ni ses bras à l’extérieur, et on laisse l’allée libre. On tâche aussi de ne pas déranger le conducteur pour rien.
 
Lorsqu’on sort, on fait une seule file, et dans le calme. Si l’on échappe quelque chose, et ce, aussi lors de son entrée dans le véhicule, on avise tout de suite le chauffeur.
 
Mentionnons finalement que l’enfant doit respecter une distance d’environ 10 pieds en passant devant l’autobus scolaire, car il s’agit d’un angle mort pour le chauffeur. Ici, toutefois, cette zone dangereuse a été réduite par la pose d’une barre de sécurité sur certains autobus scolaires.
 
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Le sport, c’est la santé : voyons-y

Le changement de saison qui approche signifie que votre enfant verra ses activités sportives se transformer. Aussi, comme on le lit dans Pediatrics News & Children’s Health News, on procède à une inspection en règle.
 
Car les risques de blessures sont grands dans la pratique sportive des plus jeunes. On estime qu’aux États-Unis seulement, près de 3 millions d’enfants de moins de 14 ans se font mal en pratiquant un sport ou une activité récréative.
 
On commence par la tête. Le casque protecteur de votre enfant lui fait-il adéquatement? De nombreuses blessures à la tête sont dues à un mauvais ajustement. Rappelez bien à votre enfant, de plus, qu’il doit aviser immédiatement son entraîneur s’il se sent étourdi ou perdu à la suite d’un accident de ce type.
 
Même si la température extérieure baissera au cours des prochains mois, on demeure aux aguets quant aux coups de chaleur. En tout temps, un enfant doit s’hydrater aux 10 à 15 minutes lorsqu’il pratique un sport extérieur.
 
Votre enfant peut aussi se préparer à la reprise de ses entraînements extérieurs en passant graduellement un peu plus de temps dehors, dans la chaleur et l’humidité actuelles, et ce, pendant environ deux semaines.
 
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Le sport, c’est la santé : voyons-y

Le changement de saison qui approche signifie que votre enfant verra ses activités sportives se transformer. Aussi, comme on le lit dans Pediatrics News & Children’s Health News, on procède à une inspection en règle.
 
Car les risques de blessures sont grands dans la pratique sportive des plus jeunes. On estime qu’aux États-Unis seulement, près de 3 millions d’enfants de moins de 14 ans se font mal en pratiquant un sport ou une activité récréative.
 
On commence par la tête. Le casque protecteur de votre enfant lui fait-il adéquatement? De nombreuses blessures à la tête sont dues à un mauvais ajustement. Rappelez bien à votre enfant, de plus, qu’il doit aviser immédiatement son entraîneur s’il se sent étourdi ou perdu à la suite d’un accident de ce type.
 
Même si la température extérieure baissera au cours des prochains mois, on demeure aux aguets quant aux coups de chaleur. En tout temps, un enfant doit s’hydrater aux 10 à 15 minutes lorsqu’il pratique un sport extérieur.
 
Votre enfant peut aussi se préparer à la reprise de ses entraînements extérieurs en passant graduellement un peu plus de temps dehors, dans la chaleur et l’humidité actuelles, et ce, pendant environ deux semaines.
 
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Le sac à dos peut être nuisible

Chaque année, à l’approche de septembre, on rappelle aux parents les règles de prévention entourant le sac à dos. Preventive Medicine publie d’ailleurs d’excellents conseils sur le sujet; en voici un aperçu.
 
Premièrement, le poids du sac ne doit jamais excéder 15 à 20 % du poids corporel de l’enfant. Aussi, on préconise les sacs qui ont des poches de côté, des bretelles rembourrées (qui sont toutes deux utilisées!) et une bande de soutien à la taille.
 
Car il est grandement question de répartition du poids. C’est pourquoi on doit expliquer à notre enfant de placer les livres les plus lourds le plus près possible du corps. Le reste, si possible, est rangé dans les pochettes.
 
De plus, à l’aide d’une démonstration, on explique à notre jeune écolier que lorsqu’il met son sac à dos sur ses épaules, il doit absolument le faire en s’appuyant sur ses deux genoux.
 
Finalement, on pense aux autres enfants : on ne laisse jamais traîner un sac par terre, pour éviter qu’on trébuche, et on ne le balance pas, pour ne pas faire mal aux personnes autour de nous.
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Les retards de développement sous la loupe

Selon l’avis de chercheurs de deux universités de la Colombie-Britannique, deux tests déjà existants permettraient de diagnostiquer efficacement un retard de développement chez un jeune enfant.
 
Ainsi, celui-ci pourrait être mieux accompagné dans un contexte de médecine familiale, comme nous l’apprenons dans le Journal of Developmental & Behavioral Pediatrics. Les deux tests en question sont l’ASQ (Ages and Stages Questionnaire) et le PEDS (Parent’s Evaluation of Developmental Status).
 
Ces deux questionnaires donnent des résultats probants en quelques minutes, et elles peuvent être complétées au bureau du médecin de famille ou à domicile. Plus tôt on décèlera un retard de développement chez l’enfant, meilleur en sera le soutien.
 
En ce moment, trop peu d’enfants sont évalués quant à un tel retard, lequel peut être au niveau de l’apprentissage, mais aussi d’ordre physique ou social.
 
On estime que seulement 30 % des enfants souffrant d’un retard de développement en reçoivent le diagnostic avant l’âge scolaire.
 
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La rentrée des classes approche

La préparation pour la rentrée des classes devrait être entamée bien à l’avance, selon des experts. On lit d’ailleurs les conseils de Dre Robin Gurwitch du Cincinnati Children’s Hospital Medical Center sur Medical News Today.
 
On devrait donc commencer à parler de l’école à son enfant dès maintenant, en particulier s’il y aura un changement : l’entrée à la maternelle, un changement d’établissement scolaire ou une rentrée au secondaire.
 
Les parents d’un enfant peuvent ainsi cerner ses peurs et ses inquiétudes et avoir le temps de les apaiser ou d’y remédier. Certains gestes peuvent aussi être posés.
 
Par exemple, lorsqu’un tout-petit fait son entrée à la maternelle, on participe aux journées d’accueil et l’on établit une routine bien avant le début de l’année scolaire. Si notre enfant s’ennuie de nous, on peut ajouter des petits objets ou photos à son sac qui lui rappellent la maison.
 
Si nous avons un adolescent, il y a aussi une préparation à faire. Un parent devrait parler avec lui et l’aider à établir des buts et des façons d’obtenir de bons résultats scolaires. On prévoit aussi un outil de planification quotidienne.
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L’éducation nutritionnelle, c’est payant

Selon une étude parue dans Archives of Pediatrics & Adolescent Medicine, le partage de bonnes habitudes de vie auprès de jeunes du secondaire aurait des impacts majeurs sur les finances américaines.

En effet, après que l’on ait comparé 10 écoles, dont 5 avaient suivi le programme préventif Planet Health, on projette que l’éducation nutritionnelle pourrait sauver le système de santé.

C’est qu’il en coûterait tout simplement moins cher d’éduquer les élèves du secondaire et de prévenir l’obésité et les troubles alimentaires plutôt que de les soigner plus tard.

Dans le cadre de l’expérimentation, pas moins de 14 000 dollars auraient été sauvés par la participation au programme de 254 filles.

Si ce projet s’étendait sur 100 écoles, l’économie auprès du système de santé serait de l’ordre de près de 700 000 dollars.

Le programme Planet Health a été développé par la Harvard School of Public Health. En résumé, il consiste à apprendre aux jeunes à faire de bons choix alimentaires, à accroître leur activité physique et à réduire leur temps passé devant la télévision.