L’anorexie frappe très jeune
Selon une récente recherche parue dans Epilepsia, on a fait un grand pas dans la compréhension de l’épilepsie infantile. Grâce à l’électroencéphalographie intracrânienne, on arrivera bientôt à cerner la région du cerveau qui est en cause dans l’épilepsie.
On avait déjà soutenu, dans des études précédentes, que la résection d’une partie du cerveau pourrait réduire l’apparition de crises épileptiques.
Cela était encore impensable pour les enfants, car ces derniers ont très souvent un réseau épileptique beaucoup plus étendu que chez les adultes.
Or, l’avenir semble prometteur pour les enfants atteints d’épilepsie. Il semble qu’une telle chirurgie puisse devenir possible, si elle est réalisée à l’aide d’ondulations rapides. Une meilleure identification de la zone cérébrale atteinte permettrait une opération chirurgicale réussie.
Jusqu’ici, on a remarqué un effet bénéfique permettant de meilleures suites d’une crise d’épilepsie chez les jeunes patients de l’étude. Une nouvelle approche chirurgicale est donc envisagée.
Les parents utilisent chacun leur méthode pour éduquer leurs enfants, tentant de réduire certains comportements et d’en encourager d’autres. Pourtant, il semble que ce ne sont pas toutes les techniques qui vont à tous les enfants.
C’est ce que soutiennent des psychologues de l’University of Washington. Selon leur étude parue dans le Journal of Abnormal child Psychology, il serait profitable pour l’enfant que l’éducation qui lui est donnée concorde avec sa personnalité.
On a remarqué, au fil de cette recherche de trois ans, qu’un bon accord entre le style d’éducation et la personnalité de l’enfant a fait baisser de la moitié les symptômes liés à la dépression et à l’anxiété.
À l’inverse, un mauvais accord entre ces deux segments d’analyse durant la même période de temps aura engendré le double de cas dépressifs et anxieux. L’éducation parentale ne devrait donc pas être donnée au hasard.
Cette étude a porté sur 214 enfants et leur mère. Autant de filles que de garçons faisaient partie du groupe, et tous avaient environ neuf ans lorsque la recherche a été entamée.
Des chercheurs viennent de trouver un gène de l’épilepsie chez le Lagotto Romagnolo, un chien truffier couramment employé pour la chasse, rapporte le PloS Genetics.
Il semble que cette découverte soit aussi importante pour le chien que pour l’humain. Chez le Lagotto Romagnolo, chaque troisième génération est porteuse du gène en question, le LGI2. Un test génétique a d’ailleurs été mis au point pour éliminer la maladie de la race.
Ce gène n’avait toutefois pas été, jusqu’ici, associé à l’épilepsie humaine. On parle donc d’un « nouveau gène candidat » pour l’épilepsie infantile. L’apport crucial de cette nouvelle recherche est toutefois de faire la lumière sur les mécanismes dirigeant le développement cérébral de l’enfant.
On découvrira donc, par le biais de cette récente découverte, de nouveaux éléments des bases moléculaires et de la transformation du cerveau, depuis l’enfance jusqu’à l’âge adulte. Ici, on parle d’optimisation de la structure et de la stabilité électrique jusque dans la vie adulte.
L’épilepsie est la maladie neurologique la plus courante chez l’enfant de 2 à 10 ans (0,5 %), survenant ainsi durant le développement le plus important des nerfs cérébraux. Elle est aussi la maladie du système nerveux la plus commune chez le chien.
Piqûre de guêpe : que fera maman?
On lit sur DailyMark que selon les résultats d’un sondage, les trois quarts des mamans ne savent pas quoi faire en cas de choc anaphylactique. Environ 500 mères ont été questionnées sur ce sujet.
Si leur enfant avait une réaction allergique sévère à une piqûre d’abeille, 76 % d’entre elles ne pourraient pas la traiter et 66 % s’inquiètent pourtant des guêpes durant la saison chaude. 82 % évitent donc consciemment les lieux où il se trouve beaucoup d’insectes.
Pourtant, dans un tel cas, les règles à suivre sont plutôt simples. Première chose, on appelle à l’aide : on compose le 911. Surtout, on reste calme et on encourage l’enfant à faire de même.
Ensuite, en attendant l’ambulance, on fait étendre le petit sur le dos, les pieds relevés. De cette façon, le flux sanguin est dirigé vers la tête et le cœur. Si jamais l’enfant vomit, on le tourne simplement sur le côté, puis on le remet en position initiale jusqu’à l’arrivée des secours médicaux.
Dans la dernière année, on aurait enregistré une hausse de 13 % quant aux demandes d’aide reliées aux piqûres de guêpes. On appelle malgré tout au calme et on demande aux parents de relativiser les choses.