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Que transmet la télé à nos enfants?

En une décennie, la célébrité s’est hissée au premier rang des valeurs mises de l’avant dans les émissions les plus populaires chez les 9 à 11 ans. C’est ce que nous apprend un rapport publié dans Cyberpsychology: Journal of Psychosocial Research on Cyberspace.

Mené par l’Université de la Californie à Los Angeles, le rapport révèle que de 1997 à 2007, la célébrité est passée de la 15e à la 1re position des valeurs les plus transmises. Des émissions de 1967 à 2007 ont été évaluées et les chercheurs notent une transformation majeure au cours de la dernière décennie.

Parallèlement, on pourrait faire un lien, toujours selon les chercheurs, entre cette prévalence de la célébrité et l’augmentation du narcissisme dans nos sociétés. Elle aurait aussi une influence importante sur notre culture.

En 2007, les 5 valeurs en tête de liste auront donc été la célébrité, le succès, la popularité, l’image et la réussite financière. En 1997, elles étaient le sentiment d’appartenance, la bienveillance (comme aider les autres et être gentil), l’image, la tradition et l’acceptation de soi.

 

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Le sport bénéfique pour le développement des enfants

Une nouvelle étude canadienne démontre encore les bienfaits des sports d’équipe chez les jeunes enfants.

L’étude, menée par la School of Kinesiology and Health Studies de l’Université Queen à Kingston en Ontario, met en lumière la pratique de sports en équipe.

Les chercheurs affirment que pratiquer un sport en équipe, afin d’évoluer dans un environnement cohésif plutôt qu’en compétition contre les autres, favorise un développement positif chez les enfants.

Sous certaines conditions, ces pratiques sportives aident l’enfant à développer ses habiletés sociales. Les experts affirment que cet apprentissage sera un atout pour ce futur adulte pour le reste de sa vie.

Les chercheurs mettent en évidence au passage le rôle des entraineurs dans cette phase de l’enfance. Des pratiques innovantes aideront l’enfant à améliorer sa motivation et sa détermination.

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Vitamine D : intoxication chez les nourrissons

Une nouvelle qui nous provient de Radio-Canada et qui souhaite prévenir l’intoxication dite chronique, caractérisée notamment par de la somnolence, des nausées ou des vomissements chez votre bambin.

On connait les effets positifs de la vitamine D. Présente dans plusieurs aliments, elle contribue entre autres à la prévention de multiples cancers. Cependant, à trop grande dose, non seulement le système ne l’absorbe plus, mais la vitamine devient toxique.
 
L’INSPQ insiste auprès des pharmaciens pour que les suppléments concentrés de vitamine D soient retirés des rayons et vendus seulement sur approbation du pharmacien.
 
La surdose est souvent due à la confusion des parents lors de l’achat de gouttes de concentrations différentes sur le marché.
 
Ainsi, l’administration régulière de supplément de vitamine D est recommandée, mais il est important de s’informer de la dose maximum à administrer.
 
Dernièrement, le Centre antipoison du Québec a enregistré des cas d’intoxication chronique de bébés, à la suite de l’ingestion de produits vitaminiques pour adultes.
 
Même la France fait appel à la vigilance et à la responsabilisation des parents à la suite de la nouvelle publiée au Québec. Il est donc important de consulter votre pharmacien dès à présent.
 
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Jouer à « Jean dit » augmente les résultats scolaires chez le jeune enfant

Megan McClelland, experte en autorégulation chez l’enfant, a publié de multiples études sur l’importance de ces exercices versus les aptitudes scolaires et préscolaires.

Menée auprès de 800 enfants d’âge préscolaire (3 à 6 ans) aux États-Unis, mais aussi dans des pays tels que Taiwan, la Chine et la Corée du Sud, où les enfants sont reconnus pour leurs capacités supérieures, l’étude a démontré des résultats plus que concluants.
 
Ainsi, les enfants qui démontrent plus de facilité à jouer à des jeux d’autorégulation, notamment « Jean dit », obtiennent des résultats scolaires beaucoup plus élevés que leurs camarades de classe en mathématique et en français. Aux États-Unis, les résultats démontrent une avance de 3 mois sur les autres enfants, alors que dans les pays orientaux, c’est de 4 mois d’avance qu’il est question.
 
Professeure associée du département du développement humain et de la science familiale de l’Université d’Oregon, McClelland est à l’origine du test d’autorégulation « Tête-Orteils-Genoux-Épaules ». L’étude a été développée à l’aide de son analogue à l’Université de Pittsburgh, Shannon Wanless.
 
L’objectif est de prouver que l’autorégulation chez l’enfant, donc la capacité à écouter, se concentrer sur des consignes, les appliquer à la tâche et se rappeler les instructions, est d’une importance majeure quant au développement scolaire de l’enfant.
 
N’hésitez donc pas à jouer à « Jean dit » avec votre bambin, et ce, le plus tôt possible.
 
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Nouveau traitement pour les enfants atteints du VIH

Selon Medical News Today, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) affirme que plus de 2,3 millions d’enfants sont atteints du VIH, dont 92 % habitent en Afrique subsaharienne. Des associations mondiales provenant de partout se sont concertées afin de prioriser le développement d’un traitement contre le VIH adapté aux jeunes enfants.

En ce moment, les traitements existant contre le VIH ne sont pas adaptés aux jeunes. D’autre part, ils demeurent inaccessibles pour les pays en sous-développement, puisqu’ils sont trop dispendieux.
 
L’association Drugs for Neglected Diseases initiative (DNDi) a rassemblé diverses organisations telles que Médecins Sans Frontières (MSF), US National Institutes of Health, UK Medical Research Council et l’Agence Nationale de Recherche sur le Sida en France afin de concerter leurs efforts dans la priorisation du développement d’un traitement adapté.
 
La thérapie antirétrovirale adaptée aux jeunes enfants éviterait de nombreux décès annuellement. En Afrique subsaharienne, seulement 28 % des cas de VIH urgents sont traités.
 
Ainsi, il y a un consensus autour de la nécessité de développer un régime nettement amélioré basé sur un inhibiteur de protéase pour les enfants de moins de trois ans.
 
À quand le miracle? Nul ne peut le déterminer à ce jour, mais désormais, plusieurs forces du domaine en font leur priorité. D’ici là, plus de la moitié des enfants touchés meurent avant d’atteindre 2 ans.
 
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Un débalancement sensoriel responsable des crises de l’enfant

Un bébé qui pleure sans arrêt et qui devient rigide dès qu’on le prend, un enfant qui pique une crise parce qu’il porte un chandail de laine ou un adolescent qui se renferme et devient incapable de participer à un sport quelconque… Il se peut que ces crises soient le reflet de préférences personnelles, mais il peut être utile de pousser la réflexion plus loin. Il se pourrait qu’il s’agisse d’un désordre du système d’intégration sensoriel.

Nos 5 sens, qui agissent à priori pour nous prévenir d’un danger potentiel (odeur de fumée, frisson, chaleur trop intense), peuvent être dysfonctionnels et puissants. C’est encore plus vrai lorsque nos périodes aux aguets se prolongent, créant une anxiété injustifiée et le retrait de tout contact avec les situations qui déclenchent ces crises sensorielles.
 
Selon independent.ie, cette théorie est de plus en plus répandue depuis son avènement, proposé par Jean Ayres dans les années 1960. Le désordre d’intégration sensorielle se manifeste dès la jeune enfance et peut s’accroître avec les années. Une technique de « pressothérapie » a été développée depuis, mais nécessite une application rigoureuse (chaque 2 heures) pendant une période déterminée.
 
Bien que des recherches scientifiques n’aient pas encore prouvé le fondement et l’existence réelle de ce désordre, de plus en plus de thérapeutes s’entendent pour dire qu’il est à l’origine de plusieurs comportements dépressifs.
 
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Des trucs pour améliorer le QI de votre enfant

Bien qu’aujourd’hui, les parents soient plus absents à cause de leur carrière, il demeure de leur responsabilité de participer au développement et à l’apprentissage de leurs enfants. Quelques trucs peuvent être facilement mis en place pour aider votre enfant à développer ses capacités intellectuelles.

D’une part, selon medicmagic.net, il faut se rappeler que les enfants apprennent mieux lorsque le jeu fait partie de la leçon. Ainsi, intégrez une balade à vélo en vous amusant aux tables de multiplication, aux règles de français ou à la retenue de lieux géographiques. Il est prouvé que brûler des calories en apprenant augmente les résultats scolaires en moyenne de 13,5 %.
 
Ensuite, assurez-vous de limiter le temps passé devant un écran, puisque cela diminue la production de dopamine, élément essentiel à la concentration et à l’apprentissage. De plus, gardez l’œil sur ce que regardent vos enfants. Il semblerait que les notes diminuent lorsque votre bambin regarde des films destinés aux adultes.
 
Ne laissez jamais votre enfant quitter la maison sans avoir pris un déjeuner. Il est connu que l’on apprend mieux le ventre plein. Choisissez par exemple le gruau, qui demeure plus longtemps dans l’organisme et nourrit ainsi le cerveau en continu.
 
Finalement, les jeunes devraient dormir au moins 8 heures chaque nuit. Une étude menée par l’Université Brown prouve que des enfants qui manquent de sommeil voient automatiquement l’efficacité de leur cerveau diminuer, tout autant que leur rendement scolaire.
 
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Des gènes pouvant prévenir la leucémie

Science Daily nous apprend qu’une nouvelle recherche offre des résultats concluants quant à la possibilité de prévention de la leucémie chez les enfants. Il s’agit d’une découverte faite par des scientifiques de l’Université Western Ontario.
 
La leucémie aiguë lymphoblastique (LAL) est un cancer du sang qui se développe principalement chez les enfants en bas âge. Cette maladie est fréquemment associée à des mutations génétiques ou une anormalité des chromosomes qui surviennent pendant la grossesse, chez l’embryon ou plus tard dans le développement du fœtus.
 
Le responsable de cette étude, Rodney DeKoter, a trouvé deux gènes essentiels à la prévention de la cellule B, la forme la plus commune de la LAL chez les enfants (80 % des cas). Il s’agit des gènes PU.1 et Spi-B, qui agissent à titre de suppresseurs de la tumeur (cellule B).
 
« Vous pouvez comparer les cellules PU.1 et Spi-B à des freins sur une voiture. Si les freins principaux lâchent (PU.1), vous avez toujours le frein d’urgence (Spi-B). Sans ces deux freins, la voiture accélère et perd le contrôle », explique DeKoter.
 
Rodney DeKoter espère que cette recherche s’avèrera une alternative aux traitements toxiques administrés aux enfants, comme la chimiothérapie agressive.
 
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Nouvelle technologie créative pour les enfants handicapés

Il s’agit d’une percée technologique phénoménale. C’est le docteur Tim Holmes, du département de psychologie du Royal Holloway, Université de Londres, qui a développé ce nouveau programme. Medical News Today rapporte les détails quant au fonctionnement du nouvel outil.

Des chercheurs se sont penchés sur la problématique des enfants handicapés quant à leur créativité. Le dessin, le coloriage et le bricolage sont des activités essentielles au développement cognitif. Les enfants qui souffrent d’un handicap physique ou mental les empêchant de participer à ces activités passent donc à côté d’un élément important de leur évolution créative.
 
La technologie développée par Holmes consiste en un programme informatique qui captera, analysera et interprètera le mouvement des yeux du jeune faisant face à l’écran. Un système complexe qui adaptera les mouvements oculaires aux préférences de l’usager et lui permettra de dessiner, bricoler ou colorier virtuellement. Nul besoin de souris ou de clavier.
 
« En reconnaissant la requête ou l’intention de l’usager par le seul mouvement des yeux, l’application permettra à ces jeunes d’explorer la créativité, chose qu’ils croyaient impossible », affirme Tim Holmes.
 
Ce mardi (19 juillet) et jusqu’à la fin de l’été, les chercheurs inviteront des visiteurs au Musée des sciences pour tester la nouvelle technologie. « Cette expérience nous permettra de valider le programme sur un vaste échantillonnage de la population, tout en évaluant les commentaires des volontaires ».
 
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Le milieu social de l’enfant affecte son niveau d’activité physique

Selon Medical News Today, une nouvelle étude a vu le jour dans l’édition de juin du Research Quarterly for Exercice and Sport. La recherche portait sur l’influence du milieu social versus l’implication des jeunes dans diverses activités physiques.
 
L’étude a été menée de 2005 à 2011 par le docteur Jeffrey Martin, aussi professeur en kinésiologie, santé et sports au Collège d’éducation de l’Université Wayne. Les résultats démontrent clairement l’écart d’activité physique entre les enfants défavorisés et ceux mieux nantis.
 
Les facteurs extérieurs influençant l’implication sont en outre le soutien des camarades de classe et la confiance, en plus du rôle joué par le professeur d’éducation physique. Aussi, les filles provenant de milieux défavorisés sont encore moins actives que les garçons.
 
L’élément déterminant est le soutien reçu par ces enfants, qui augmente leur confiance en leurs propres habiletés et les pousse vers les autres jeunes. Comme les familles de milieux défavorisés inscrivent très peu leurs enfants à divers sports ou activités, le rôle en milieu scolaire prend la plus grande part d’influence positive.
 
« Nous espérons que nos résultats s’ajoutent à un corpus de connaissances qui attire l’attention sur l’état de santé des enfants défavorisés et, finalement, pourrait influer sur l’opinion publique et politique », explique Martin dans son rapport.