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Les lits Mini-Tammy sont rappelés par le fabricant

Radio-Canada informe les consommateurs de cesser l’utilisation des lits Mini-Tammy dès à présent. Ces derniers, fabriqués en Chine par la compagnie Kidiway, ont été mis sur le marché malgré des lacunes au niveau des directives d’assemblage.
 
Les enfants qui dorment dans les modèles rappelés doivent être installés ailleurs temporairement, afin d’éviter tout danger relié à la défectuosité de montage. Les produits visés sont les suivants :
  • Mini-Tammy Fireside, CUP 820571001721
  • Mini-Tammy Java, CUP 820571001530
  • Mini-Tammy Blanc, CUP 820571011010
Jusqu’à présent, aucun incident n’a été reporté, mais le fabricant Kidiway, ayant pris conscience de l’erreur, souhaite rétablir la confiance des consommateurs. On compte plus de 200 lits rappelés, que les clients ont pu se procurer chez Bô-Bébé dans la province de Québec ou chez Baby’s Palace pour les résidents de l’Ontario.
 
Les achats des lits Mini-Tammy qui présentent un défaut d’assemblage auraient été effectués entre août 2010 et juin 2011.
 
Santé Canada suggère de communiquer rapidement avec le fabricant afin d’obtenir en échange un autre lit, et ce, gratuitement. Kidiway informera le consommateur des délais de livraison et conditions d’admissibilité pour l’échange de produits.
 
Si vous souhaitez obtenir plus d’information, vous êtes invité à consulter le site de Santé Canada, où vous trouverez, entre autres, le document sur la sécurité des lits d’enfants.
 
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La fumée secondaire, responsable des troubles d’apprentissage chez l’enfant

Selon le Daily Mail, une étude menée par l’École de santé publique de Harvard affirme que 274 100 cas de trouble de déficit d’attention auraient pu être évités si les enfants n’avaient pas été exposés à la fumée secondaire.

En fait, puisque 6 % des enfants sont ainsi exposés, il s’agit de millions d’enfants qui sont en danger. L’étude s’est déroulée aux États-Unis entre 2007 et 2008, comportant plus de 50 000 résultats lors de la compilation finale.

Les garçons âgés de 9 ans à 11 ans sont plus à risque d’éprouver des problèmes neurocomportementaux. Bien qu’il ne soit pas encore prouvé que l’association de la fumée secondaire est bel et bien responsable, le journal Pediatrics clame déjà l’évidence de la relation entre l’un et l’autre.

Le docteur Gregory Connolly, qui a participé à l’étude, affirme : « Les frais économiques et de santé pourraient être considérablement diminués si une politique volontaire de maisons sans fumée voyait le jour ».

Les résultats de cette recherche arrivent à peine quelques semaines après ceux de l’Université Concordia de Montréal, qui mentionne que l’exposition des enfants à la fumée de cigarette peut les rendre dépendants, puisque leur organisme absorbe une dose de nicotine encore plus grande que celui du fumeur lui-même.

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Aider les petits malentendants

Martin Ptok, de l’École de médecine Hannover, explique dans Deutsches Ärzteblatt International pourquoi il est si important d’évaluer l’audition de nos enfants. Selon lui, un diagnostic hâtif de surdité ou de problèmes d’audition chez les nouveau-nés peut avoir des effets remarquables.

C’est que plus on décèlera tôt des problèmes liés à la surdité, mieux seront les traitements appliqués. Par le fait même, un enfant aura plus de chances de pouvoir parler.

Monsieur Ptok suggère donc la détection auditive néonatale utilisée en ce moment, le universal neonatal hearing screening (UNHS), pour connaître les meilleurs résultats. Un grand avantage de ce test est qu’il est composé de deux volets : la mesure des émissions acoustiques et l’audimétrie automatisée du tronc cérébral.

Ce test peut finalement correspondre aux enfants qui n’ont pas été évalués auparavant, comme à ceux qui avaient reçu un premier diagnostic de possibles problèmes auditifs. Les risques encourus par le test en question sont extrêmement minces.

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De beaux dodos durant les vacances

Souvent, lorsque toute la maisonnée se retrouve en vacances d’été, on a tendance à laisser aller un peu la discipline et la routine. Pourtant, selon les experts, les enfants ne devraient pas dormir moins durant cette période de l’année, comme nous l’apprenons sur UPI.com.

L’article Let Kids be Kids: Rescuing Chilhood, présenté par la professeure Mary Muscari de la Decker School of Nursing de la Bringhamton University (New York), soutient qu’un manque de sommeil chez l’enfant peut mener à des problèmes d’apprentissage et des accidents, voire à la dépression.

De plus, l’experte rappelle aux parents qu’un enfant qui est en forme est un enfant heureux. Les enfants et les adolescents doivent bénéficier quotidiennement de neuf heures de sommeil pour bien fonctionner et grandir.

Toutefois, on peut laisser les enfants s’endormir plus tard, mais les lever plus tard aussi dans ce cas. Il faut conserver la même routine et les mêmes habitudes de sommeil, quel que soit le contexte.

Leurs nuits de sommeil doivent par contre revenir au cadre de la vie scolaire au moins une semaine à l’avance, à la fin de l’été.

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Maintenant un test génétique pour les personnes du Saguenay-Lac-Saint-Jean

Le ministre de la Santé et des Services sociaux, Yves Bolduc, ainsi que les autorités régionales ont mis sur pied un test génétique pour les personnes qui souhaitent avoir des enfants.
 
Les personnes originaires du Saguenay-Lac-Saint-Jean ou ayant des grands-parents qui y sont nés, ou encore de Charlevoix et de la Haute-Côte-Nord, pourront maintenant savoir si elles sont porteuses d’une des quatre maladies génétiques qui peuvent être détectées.
 
Ces quatre maladies qui se concentrent dans des régions sont la neuropathie sensitivomotrice héréditaire, l’ataxie récessive spastique de Charlevoix-Saguenay, l’acidose lactique congénitale et la tyrosinémie héréditaire de type 1.
 
Pour pouvoir passer le test, vous aurez d’abord une séance d’information qui vous donnera notamment les avantages et inconvénients de cette analyse.
 
Vous devez avoir plus de 18 ans et désirer avoir un enfant ou en être au moins à 14 semaines de grossesse.

De plus, vous devez être originaire de la région ou avoir des grands-parents qui y sont nés.

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Les signes vitaux pour déceler les maladies infantiles

Des chercheurs ont établi trois signes vitaux menant à une évaluation claire de la gravité d’un cas. Les maladies infantiles pourraient donc être analysées efficacement et des soins adéquats seraient administrés au bon moment.

Comme expliqué sur EurekAlert, il s’agit du battement cardiaque, de la température corporelle et de la saturation en oxygène. Le modèle a été testé auprès de 873 enfants.

L’évaluation de ces trois signes vitaux serait donc très utile pour déterminer si un enfant doit être admis à l’hôpital ou si son état de santé tendra à se détériorer les jours suivants, par exemple.

Toutefois, leur calcul demeure compliqué lorsqu’il faut le faire manuellement. On prévoit donc une future application pour iPhone qui intègrera ces données, de même que l’âge du patient.

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Le sport rend plus pacifique

On aura désormais un argument de plus pour inciter notre enfant à bouger. Des chercheurs de l’Université de Tel-Aviv ont démontré clairement que le sport a des impacts importants sur le bien-être de l’enfant, non seulement quant à sa santé physique, mais aussi mentale.

Pratiquer une activité sportive aurait effectivement des influences sur le comportement, la cognition et les émotions. Cela serait d’autant plus important chez les garçons, lisons-nous sur Medical News Today.
 
Dans le cadre de cette recherche ayant porté sur 649 enfants, on a relevé que les impulsions d’agressivité étaient plus faibles lorsque ceux-ci participaient à un programme constant d’activités sportives diverses.
 
On a aussi remarqué que la pratique d’un sport sur une base continuelle, chez un enfant, menait à une plus grande maîtrise de soi et allait de pair avec une meilleure discipline. Entre d’autres mots, cela libère l’esprit des enfants en jouant le rôle d’un exutoire.

Selon les experts, le sport pourrait même s’avérer plus efficace que la thérapie habituelle, soit par la parole. Si cette dernière encourage l’enfant à maîtriser son comportement, elle ne réduit pourtant pas les émotions négatives comme le fait l’activité sportive.

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Le yoga augmente les chances de concevoir un enfant

Pratiquer le yoga en complément de traitements de fécondation in vitro (FIV) augmenterait la fertilité des femmes, rapporte le journal Métro.
 
Vouloir concevoir un enfant peut être stressant pour une femme, qui peut ainsi se mettre beaucoup de pression. Le stress peut donc affecter l’ovulation et même l’interrompre.
 
« Une femme peut être obnubilée par son désir de devenir enceinte, à un point tel que son couple en souffre. Ainsi, les relations sexuelles s’en trouvent réduites à leur fonction procréatrice, ce qui crée bien des tensions entre les amoureux. Pourtant, on ne peut pas concevoir un bébé comme on planifie une réunion! » explique la professeure de yoga Jane Kersel.
 
Avec des traitements de FIV, pratiquer le yoga augmenterait les chances de conception. Le yoga détend profondément le corps, en plus de le rééquilibrer et de l’énergiser.

Comme le yoga aide aussi à équilibrer les hormones, sa pratique est donc suggérée après un accouchement également.

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C’est l’été, la saison des amygdales

Selon Medical News Today, la saison estivale est aussi celle du retrait des amygdales. En effet, on profite souvent des vacances pour procéder à cette chirurgie. L’enfant peut donc se reposer plusieurs jours après l’opération, sans se soucier de manquer l’école.

De nombreux enfants se font encore enlever les amygdales. Aux États-Unis seulement, on évalue que 500 000 d’entre eux subissent une telle intervention chaque année.

La plupart du temps, on procède au retrait des amygdales afin de réduire le développement du rhume, des infections aux oreilles ou pour diminuer les ronflements et améliorer la respiration.

Les problèmes de sommeil demeurent la principale raison pour avoir recours à cette chirurgie. Le retrait des amygdales – ainsi que des glandes adénoïdes – libère les voies respiratoires, lesquelles peuvent entraîner, lorsqu’elles sont obstruées, des réveils fréquents et des ronflements.

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Dangers des rayons X pour les enfants

On présente, dans la revue médicale Deutsches Arzteblatt International, des façons de réduire l’intensité des rayons X passés sur les enfants, sans compromettre pour autant la valeur du diagnostic.

Par exemple, on peut réduire le temps d’exposition au maximum et employer les systèmes de stockage CTP actuels.

Sinon, les mesures préventives d’usage doivent encore être suivies à la lettre. L’emploi correct des empiècements dédiés aux rayons X peut en lui seul constituer la meilleure des préventions.

En effet, nous savons que les rayons X sont plus dangereux pour les enfants que les adultes. Comme les petits ont des tissus à plus forte division cellulaire, cette procédure médicale peut entraîner des dommages aux cellules.

De plus, le corps des enfants étant composé d’une plus grande quantité d’eau, il absorbe plus, de ce fait, les radiations.

Les dommages encourus peuvent toucher jusqu’aux gènes.