Une étude controversée nous démontre que des enfants âgés d’à peine trois ans pourraient recevoir un diagnostic de trouble dépressif majeur.
Les résultats complets de cette recherche sont parus dans le Journal of Affective Disorders.
Une étude controversée nous démontre que des enfants âgés d’à peine trois ans pourraient recevoir un diagnostic de trouble dépressif majeur.
Les résultats complets de cette recherche sont parus dans le Journal of Affective Disorders.
Une récente étude du Massachusetts General Hospital parue dans le Journal of the American Academy of Child & Adolescent Psychiatry démontre un lien entre le trouble du déficit de l’attention avec hyperactivité (TDAH) et les problèmes de consommation.
Selon les chercheurs, les enfants atteints du TDAH étaient trois fois plus enclins à développer une dépendance. En ciblant certains facteurs, ils en sont tout de même arrivés à un risque plus élevé de 1,5 fois chez ceux qui avaient un trouble du déficit de l’attention.
Nous apprenons par voie de communiqué que le Réseau canadien de l’eau (RCE) tiendra un symposium les 8 et 9 juin à Montréal intitulé Le plomb dans l’eau potable : impacts sur la santé, suivi et contrôle.
Les rencontres se tiendront au pavillon principal de l’École Polytechnique de Montréal. Pour de plus amples renseignements, on peut consulter le http://www.cwn-rce.ca/news-and-events/lead-in-drinking-water-workshop/.
La violence familiale est plus présente que l’on pourrait le croire. Par exemple, on a déjà démontré par le passé qu’environ 25 % des femmes subiront de la violence de la part de leur conjoint et que près de 40 % des hommes ont été violents avec leur partenaire.
Parmi les participants, 40 % ont avoué avoir déjà (de rarement à souvent) intimidé d’autres enfants lorsqu’ils étaient à l’école et 38,2 % de ces derniers ont dit l’avoir fait souvent.
On apprend sur Elle qu’on aurait trouvé une explication à la mort subite du nourrisson. Des chercheurs de la Faculté de médecine de Strasbourg, en France, viennent en plus de mettre en place un traitement qui pourrait prévenir ce syndrome.
Rappelons finalement que le syndrome de la mort subite du nourrisson touche en moyenne 1 bébé sur 2 000. Il survient habituellement durant la première année de vie d’un enfant.
Quand la fin des classes arrive enfin, les parents prévoient toutes sortes d’activités familiales. Or, ce moment coïncide aussi avec plusieurs virus du printemps et du début de l’été, ce qui compromet souvent les sorties.
Bien sûr, l’enfant doit se reposer le plus possible. Les symptômes s’atténueront d’eux-mêmes au fil des jours.
On apprend sur La Parisienne que des chercheurs de l’Inserm pointent le lait de vache du doigt quant à une maladie grave chez l’enfant.
Malgré tout, cette découverte est importante quant à la prévention de cette maladie. En effet, on pourrait envisager de contrer l’apparition de la GEM, et même de la traiter, par l’adoption d’un régime adapté.
Une équipe de chercheurs vient de mettre le doigt sur une nouvelle manière de soigner les enfants allergiques au lait. Il semble qu’en mangeant des muffins contenant du lait – lequel est donc cuit –, les symptômes allergiques disparaîtraient plus vite.
Les enfants qui ont suivi la thérapie du muffin ont vu leur état s’améliorer beaucoup plus rapidement que les autres. On croit que ce serait dû à la cuisson, qui change la forme des protéines. Ainsi, le système immunitaire y réagirait moins.
La méthode par excellence pour faire manger des légumes à nos enfants consisterait tout simplement à leur faire choisir. Ce geste simple aurait des répercussions très positives sur leur alimentation.
D’autre part, les chercheurs ont remarqué que l’amertume du calcium contenu dans certains légumes pouvait faire en sorte que les enfants les aiment moins, donc qu’ils en consomment moins. Parmi ces légumes, on compte le brocoli, les épinards et les oignons.
On peut lire dans Epilepsia que les jeunes enfants vivant avec l’épilepsie accusent aussi un manque quant à leur cognition. Il semble que l’âge auquel survient la première crise d’épilepsie est également un bon indicateur du degré de cette déficience cognitive.
Les chercheurs de l’étude concluent que des programmes d’intervention suivis le plus tôt possible pourraient améliorer les capacités cognitives et psychologiques des jeunes enfants aux prises avec l’épilepsie.