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Les enfants s’habituent-ils à la violence?

Au fil des recherches, on se contredit sur les jeux vidéo et la violence qu’ils présentent. Cette fois, des chercheurs de l’Université du Missouri parlent de l’habitude à la violence que peut entraîner ce type d’activité.

Ils abordent en fait la question de la montée de l’agressivité par ces jeux d’un autre côté. Ils ont remarqué chez des joueurs de jeux vidéo violents que leur cerveau présentait une moins grande réponse à la violence.
 
C’est finalement cette plus faible réaction cérébrale qui mènerait à un comportement plus agressif. Il y a donc lieu de se questionner quant à l’usage de ces divertissements chez les enfants.
 
En ce moment, on évalue que les enfants à l’école primaire passent en moyenne plus de 40 heures à jouer sur une console de jeux vidéo. Il s’agit là de l’activité qu’ils font le plus, après le temps passé à dormir.

La recherche en question comprenait 70 participants. Les résultats complets sont parus dans le Journal of Experimental Social Psychology.

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Risque d’anémie pour l’enfant à naître

On connaît déjà plusieurs de problèmes de santé auxquels est exposé un fœtus lorsque la maman souffre d’obésité. Des chercheurs de l’Université du Wisconsin parlent maintenant de risques d’anémie.

Selon les résultats qu’ils ont présentés au congrès des Pediatric Academic Societies et ce que nous pouvons lire dans Sciences, le fer risquerait grandement de ne pas être transporté dans les intestins lorsqu’une femme enceinte a un surpoids.
 
Cela aurait pour résultat que le fer ne se rende pas au placenta. Rappelons que la moitié du fer dont l’enfant aura besoin pour grandir est pris avant sa naissance. Ce risque d’anémie pourrait mener jusqu’à des retards de développement cérébral.

Cette étude a porté sur 281 mères et leur poupon. Toutes les femmes participant à cette recherche avaient un indice de masse corporelle supérieur à 30.

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Avis quant au retour d’un virus

On lit sur Nurse.com que nos voisins du sud ont observé une hausse marquée des cas de rougeole cette année.

Les U.S. Centers for Disease Control and Prevention rapportent 118 cas répartis dans 23 États. De nombreuses personnes atteintes n’avaient pas été vaccinées.
 
Il s’agit de la plus forte présence de ce virus depuis 1966. Rappelons que la rougeole avait été éradiquée vers la fin des années 90, aux États-Unis, à la suite de campagnes de vaccination massives. Le phénomène s’était étendu au reste de l’Amérique au cours des années 2000.
 
Or, le grand nombre de voyageurs semble responsable du retour de la maladie. Les autorités prônent donc encore le vaccin, tant que la rougeole demeurera endémique à travers le monde.

Rappelons finalement que la rougeole est une maladie assez grave. On estime que 90 % des personnes exposées au virus en seront infectées. Le vaccin est conseillé aux enfants de 12 à 15 mois, avec un rappel lorsqu’ils ont de 4 à 6 ans.

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Donne-t-on trop de médicaments aux enfants?

Selon Pediatrics, les enfants consommeraient trop d’antibiotiques, ce qui pourrait mener à une trop forte résistance à ces médicaments. C’est la conclusion de deux études menées par l’Université de la Californie.

En fait, on prescrirait trop souvent des antibiotiques aux enfants souffrant d’asthme ou d’infections urinaires. Après avoir fait le suivi de 5 198 consultations médicales pour l’asthme, toutes concernant des enfants, on a remarqué que l’on prescrivait des antibiotiques 1 fois sur 6.

Les deux études ont porté sur des données s’étant étalées de 1998 à 2007 et ayant porté sur des patients âgés de moins de 18 ans.

Aux États-Unis seulement, on évalue que l’on prescrit environ 1 million d’antibiotiques par an aux enfants souffrant d’asthme. Quant aux infections urinaires, on estime que l’on en prescrit aux enfants 1,5 million chaque année.

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Encore des conséquences des jeux vidéo

Il faudrait peut-être s’inquiéter des problèmes de santé à long terme liés à la technologie moderne. C’est ce que suggère une étude américaine ayant porté sur 257 jeunes.

Selon les résultats présentés au EULAR 2011 Annual Congress et sur EurekAlert, les appareils de jeux vidéo ainsi que les téléphones cellulaires causent des douleurs aux poignets et aux doigts des enfants.
 
Il semble en effet que l’usage excessif et prolongé de ces appareils technologiques engendre des problèmes aux jointures. De plus, on a remarqué, après investigation, que les douleurs étaient plus importantes quand les enfants jouaient avec un appareil Xbox ou Gameboy qu’avec un iPhone.

Finalement, la durée d’utilisation desdits appareils augmenterait la douleur. On évalue que la probabilité de se plaindre de douleurs est multipliée par deux pour chaque heure d’activité.

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Dangers sournois de la vie moderne

Une étude de l’Université du Michigan stipule que la ventilation mécanique serait dommageable à long terme pour les plus jeunes.

Il semble que les enfants qui sont plus souvent exposés à la ventilation mécanique auraient plus souvent besoin de soins médicaux, incluant les hospitalisations et les visites à l’urgence.
 
Précisément, les enfants qui souffrent de maux chroniques et qui ont besoin de vivre à long terme sous une ventilation mécanique accusent des taux nettement plus élevés de mortalité, demeurent plus longtemps à l’hôpital et vont plus souvent aux urgences.
 
Les problèmes de santé que vivent ces enfants sont par exemple les conséquences d’une naissance prématurée ou la dystrophie musculaire.

D’autre part, cette recherche parue sur Medical News Today a permis de constater que si les bébés de moins d’un an représentent le quart de la population, ils utilisent près de la moitié des services médicaux offerts.

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Données alarmantes sur les troubles de développement

Selon Pediatrics, le nombre d’enfants autistes ou souffrant d’un trouble du déficit de l’attention avec hyperactivité (TDAH) a augmenté de 17 % en 12 ans. Une vaste étude américaine fait état de cet inquiétant constat.

Ainsi, de 2006 à 2008, près de 10 millions de jeunes ont reçu un diagnostic de l’un de ces troubles de développement, ce qui représente 15 % des enfants d’âge scolaire. Le nombre de cas est 12,8 % plus élevé que ce qui a été observé de 1997 à 1999.
 
La même recherche suggère aussi que trois enfants sur quatre faisant partie d’une classe scolaire typique ont développé des difficultés. On reconnaît que plusieurs enfants connaissaient ce genre de problème dans le passé.
 
De nos jours, ils sont toutefois plus nombreux à pouvoir recevoir un diagnostic. Il est aussi possible que les parents aient plus tendance à en demander un, ce qui permet à leur progéniture d’avoir accès à des services spécialisés et à des médicaments.
 
Selon les chercheurs, ce comportement parental est positif, car plus un syndrome est décelé tôt, meilleures seront les interventions. Un meilleur soutien sera alors offert à l’enfant. On propose qu’une plus grande aide soit aussi donnée aux enseignants et aux parents.
 
L’une des raisons de ces hausses serait l’augmentation des naissances prématurées. Cette situation fait que plusieurs bébés naissent avec des problèmes de développement latents.

On pense aussi que certains facteurs environnements seraient en cause. Les phtalates contenus dans le plastique et certains produits ainsi que les pesticides pourraient jouer un triste rôle dans cette augmentation.

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Grossesse : les suppléments sont-ils cruciaux?

Une étude menée par le UC Davis MIND Institute a établi un lien entre la prise de suppléments vitaminés durant la grossesse et la prévention de l’autisme.

Les chercheurs voient ainsi une nouvelle façon de prévenir ce syndrome chez les enfants, lit-on sur Medical News Today.
 
Selon les données recueillies auprès d’environ 700 familles, les femmes qui prennent des vitamines prénatales 3 mois avant et pendant leur premier mois de grossesse courent 2 fois moins de risques que leur enfant soit atteint d’autisme.
 
Les chercheurs croient que la forme synthétique de la vitamine B9 et les autres vitamines B protégeraient contre les défaillances lors du développement naissant du cerveau.
 
Ce n’est pas la première fois que les folates compris dans les suppléments de grossesse sont cités pour leurs possibles bienfaits. On savait déjà qu’ils jouent un rôle majeur dans le développement neurologique et l’acide folique a été reconnu pour prévenir jusqu’à 70 % des défectuosités des tubes neuraux.

Il s’agit toutefois de la première étude portant directement sur le lien entre les suppléments vitaminiques prénataux et le syndrome de l’autisme.

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Les enfants ont leur festival en Saskatchewan

Si la musique et le cinéma sont souvent au cœur des festivals, le Children’s Festival of Saskatchewan, qui débutera à midi le 5 juin prochain dans la province canadienne des Prairies, aura comme priorité absolue d’intéresser les enfants pour lesquels il a été monté.

Le festival attirera des artistes d’aussi loin que l’Australie, le Mexique, l’Afrique de l’Ouest, les États-Unis et, bien entendu, le Canada.

La veille de l’ouverture, le Saturday Night Celebration Gala mettra en vedette les artistes renommés Terrance Simien & The Zydeco Experience, venus directement de la Louisiane pour l’occasion.

Durant les 4 jours de festivités de 2011, les enfants pourront en connaître davantage sur la vedette de cette année : l’art de la marionnette, de la plus petite à la plus grande.

La danse, le théâtre, les histoires, l’art du cirque et la musique seront aussi au programme pour les enfants.

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Quels sont les effets des émissions violentes?

Une étude de l’Université de l’Indiana vient de démontrer que la violence dans les médias n’aurait finalement pas les effets tant redoutés sur les enfants.

Selon les résultats parus dans Media Psychology, le fait qu’une émission de télévision ou un film soit violent n’aurait aucun impact sur le plaisir qu’en retire un enfant en le regardant. De plus, tout porte à croire que cette violence présentée aux plus jeunes n’aurait aucune influence sur leur caractère.
 
Ces résultats sont encourageants, car les produits médiatiques violents sont de plus en plus offerts aux enfants. On estime à 70 % les émissions pour enfants contenant des images ou des situations violentes.
 
Pour arriver à ce constat, les chercheurs ont questionné 128 enfants (tant de filles que de garçons) âgés de 5 à 11 ans. Contrairement à ce que l’on pense souvent, les dessins animés n’ont pas besoin de contenir des éléments violents pour être appréciés.

En fait, les enfants se basent sur d’autres points que le fait d’être violent pour aimer ou non un personnage de dessins animés. Il semble donc que les diffuseurs pourraient présenter des émissions moins violentes sans pour autant perdre l’intérêt du jeune auditoire.