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Lien entre la dépression infantile et la maladie de Crohn

Selon un médecin de Children’s Hospital de Pittsburgh, Dr Arvind Srinath, il existerait un lien entre la maladie de Crohn et la dépression infantile, lisons-nous sur Med Page Today.

En fait, la dépression semble courante chez les enfants atteints de cette maladie qui se plaignent de douleurs abdominales, et ce, même si leur mal semble minime ou inactif.
 
La comparaison de données touchant 500 jeunes patients fonctionne tout à fait entre la dépression et cette maladie inflammatoire. Parmi eux, 23 % ont reçu un diagnostic de dépression. L’âge moyen du groupe était de 14 ans et autant de filles que de garçons en faisaient partie. On a aussi relevé que l’anxiété était tout autant reliée à la maladie de Crohn.

Dr Srinath recommande donc fortement à ce que l’on évalue les enfants atteints d’une maladie inflammatoire de l’intestin pour savoir le plus tôt possible lesquels souffrent d’une dépression ou en présentent les premiers signes.

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Les mots d’un parent peuvent être graves

Un médecin de famille, la Dre Michelle May, met les parents en garde quant à leur choix de mots lorsqu’il est question de nourriture. Dre May est experte pour TOPS Club (Take Off Pounds Sensibly). On peut lire ses présentes recommandations sur Medical News Today.

Selon elle, certains préceptes des parents et des grands-parents peuvent entraîner des problèmes chez l’enfant. Elle recommande à ceux qui élèvent des enfants de prendre conscience de ce qu’ils inculquent, car ils peuvent à la longue leur donner de mauvaises habitudes.
 
Par exemple, il faudrait éviter de dire « Tu es un bon mangeur », car un enfant voulant toujours plaire à ses parents pourrait se mettre à manger trop et à prendre du poids.
 
À l’inverse, il ne faut pas dire à l’enfant qu’il est difficile. Les enfants ont leurs goûts propres. Il ne faut donc pas forcer les enfants à manger ni leur donner seulement ce qu’ils aiment.
 
Finalement, dire « Mange tous tes légumes et tu auras du dessert » est à proscrire. Les enfants sont brillants. Ils comprendront rapidement que certains aliments ont mauvais goût et que d’autres sont une récompense.

Il faut donc demeurer vigilant quant à l’éducation des enfants au sein d’une société d’abondance de nourriture et faire de notre mieux pour qu’ils grandissent en santé.

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L’heure est grave : les enfants sont inactifs!

Les résultats d’une recherche américaine ayant porté sur 2 000 parents d’enfants âgés de 5 à 11 ans nous démontrent que ces derniers sont inactifs. En effet, comme nous l’apprenons sur OnePoll, 36 % des enfants font du sport seulement 2 heures par semaine.

De plus, les parents en paraissent les grands responsables, car ils donnent un mauvais exemple. Les enfants adoptent donc un comportement sédentaire dans un grand nombre de cas.
 
Selon la même étude, 40 % des enfants passent le plus clair de leur temps devant la télévision, alors que 37 % se tournent vers les jeux d’ordinateur.
 
Pourtant, 4 parents sur 10 ont avoué avoir fait beaucoup plus de sport et d’activité physique que leurs enfants lorsqu’ils étaient jeunes.

De nos jours, selon les présents résultats, 28 % des enfants font leur activité physique recommandée, c’est-à-dire au moins une heure par jour.

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L’éducation parentale en lien avec la santé mentale

La perception qu’a un enfant de la façon d’être de ses parents prédirait s’il développera des problèmes de santé mentale. C’est le constat de chercheurs de l’Université de Glasgow et du Conseil de recherches médicales.

Il semble donc que les enfants dont les parents font preuve de négligence ou sont trop contrôlants auraient plus tendance à avoir des problèmes psychiatriques que les autres. Cette relation a été faite après l’analyse de données portant sur 1 700 enfants.
 
Parmi les enfants de 11 ans, ceux qui étaient à la fois négligés et contrôlés à l’excès représentaient une proportion de 3 %. Ces derniers avaient développé en plus grand nombre des troubles psychiatriques une fois l’âge de 15 ans atteint.
 
Parmi ces problèmes de santé mentale, on compte la dépression, les troubles anxieux et les désordres obsessifs compulsifs. Les enfants atteints d’un déficit de l’attention avec hyperactivité et ceux ayant un comportement violent et asocial étaient aussi plus nombreux dans ce groupe.

Les résultats complets de cette recherche sont parus dans le Journal of Child Psychology and Psychiatry.

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L’amnésie infantile : de nouvelles découvertes

Tous vivent ce que l’on appelle l’amnésie infantile : il s’agit de ne plus se rappeler ses premières années de vie. Il est en effet très difficile pour un adulte d’avoir encore en mémoire des événements survenus durant la petite enfance, soit avant l’âge de trois ou quatre ans.

On apprend maintenant que les enfants d’âge scolaire vivent aussi ce type d’amnésie. C’est ce que révèle une étude parue dans Child Development et menée par l’Université Memorial de Terre-Neuve.
 
On a demandé à 140 enfants âgés de 4 à 13 ans de décrire certains souvenirs qu’ils conservaient de leurs premières années. Deux ans plus tard, on a questionné de nouveau les enfants sur ces souvenirs. Ces derniers devaient aussi évaluer quel âge ils avaient lors de chacun des événements.
 
Une plus grande différence dans les souvenirs a été remarquée chez les enfants de 4 à 7 ans que chez ceux de 10 à 13 ans. Il semble donc que les souvenirs de la petite enfance sont fragiles et peuvent être facilement oubliés.

Finalement, les plus jeunes enfants ont tendance à avoir des souvenirs en mouvance, c’est-à-dire que ceux de la tendre enfance semblent être remplacés par d’autres provenant d’un âge plus avancé.

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Le traitement de votre dépression est bon pour votre enfant

On peut lire dans l’American Journal of Psychiatry les résultats d’une recherche ayant porté sur la dépression de la mère et les répercussions sur son enfant. Il semble qu’au fur et à mesure qu’un traitement progresse, l’enfant démontre une amélioration quant à son comportement.

Ces résultats sont très encourageants, même que plus l’état de la mère s’améliore, plus l’enfant va bien aussi, toujours selon cette recherche. Il semble également que l’enfant n’a pas besoin de suivre lui-même un traitement.
 
Même un an après la rémission complète de la mère, l’enfant continue à démontrer des améliorations. À l’inverse, si une mère ne répond pas au traitement de la dépression, alors l’enfant ne s’améliorera pas non plus.

Ces observations ont été faites à la suite d’analyse de données portant sur les effets négatifs que peut avoir la dépression de la mère sur ses enfants.

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L’état du mariage influence le sommeil des enfants

L’instabilité de votre couple pourrait engendrer un autre problème : les problèmes de sommeil de votre jeune enfant. C’est ce que nous apprend une étude parue dernièrement dans Child Development.

Ayant porté sur 350 familles, cette recherche aurait démontré que l’instabilité du couple lorsque le bébé est âgé de 9 mois affecte son sommeil et prédit même des troubles du sommeil une fois qu’il aura 18 mois.
 
C’est-à-dire que l’enfant aura de la difficulté à trouver le sommeil ou encore à demeurer endormi, une fois qu’il sera âgé d’un an et demi environ. Ces problèmes ont aussi été remarqués dans les familles où les parents envisageaient le divorce.
 
Au départ, on se basait sur la possibilité que des changements du système cérébral impliqués dans la régulation du sommeil des enfants puissent refléter l’impact d’un stress familial.

Les chercheurs soulignent finalement qu’une instabilité du couple peut toucher un enfant, même s’il n’est âgé que d’un an ou deux.

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La solitude reliée aux allergies?

Les allergies alimentaires sont chose courante de nos jours. On estime que de 5 à 8 % des enfants âgés de 1 à 2 ans et 6,2 % des enfants d’âge scolaire sont allergiques. Les intolérances les plus répandues sont celles au lait, aux arachides et noix, aux œufs et aux poissons.

Or, il semble que la solitude et l’anxiété peuvent entraîner ces allergies. C’est ce que prétend une étude ayant été présentée au congrès de l’Académie européenne d’allergologie et d’immunologie clinique en février dernier.
 
Quoi qu’il en soit, l’allergie alimentaire n’est très souvent qu’une phase. En général, une allergie en bas âge vient à disparaître d’elle-même quand l’enfant atteint deux ou trois ans. Quant à l’allergie aux arachides, elle s’estompe habituellement quand l’enfant est âgé de cinq ou six ans.

Toutefois, si votre enfant a une allergie aux poissons ou aux crustacés, ce type d’intolérance dure toute la vie.

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Nouvelle méthode de détection de la dépression infantile

En mesurant l’épaisseur corticale, les médecins seraient peut-être bientôt en mesure de diagnostiquer rapidement une dépression infantile. Cette percée provient des travaux de chercheurs de la Wayne State University.

On pourrait ainsi déceler chez les enfants normaux un trouble dépressif majeur, de même que chez ceux souffrant déjà d’un trouble obsessionnel compulsif. Le syndrome dépressif est assez courant chez les enfants et les adolescents; cette méthode serait donc pleine d’espoir.
 
Pour en arriver à ce constat, on a étudié l’épaisseur corticale chez 24 patients dépressifs, chez 24 autres souffrant d’un trouble obsessionnel compulsif et chez 30 patients en santé.
 
On a par ailleurs relevé que les enfants ayant un historique familial de dépression avaient une épaisseur corticale différente.

Les résultats complets de cette découverte sont parus dernièrement dans Archives of General Psychiatry.

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L’allaitement pour un bon comportement?

Allaiter votre bébé pourrait non seulement vous protéger tous deux de maladies, cela pourrait même prévenir les problèmes de comportement, lisons-nous sur Medical News Today.

Plusieurs spécialistes approuvent ce lien. Une équipe de l’Université d’Oxford aurait donc démontré que les bébés allaités seraient moins enclins à développer des problèmes de comportement que ceux nourris au lait maternisé.
 
Semble-t-il que l’allaitement inculquerait des modèles comportementaux que l’enfant suivrait toujours, une fois plus vieux. Ces constatations ont été faites à la suite de l’analyse d’un sondage effectué auprès de 9 500 mères et leur bébé. L’enquête en question s’était tenue en 2000 et 2001.
 
Les participantes devaient faire état de problèmes vécus avec leur enfant. Des résultats anormaux étaient moins fréquents chez les enfants qui avaient été allaités au moins 4 mois, soit dans une mesure de 6 %.

À l’opposé, des problèmes de comportement ont été relevés dans une proportion de 16 % chez ceux qui avaient été nourris au lait maternisé.