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Recommandations d’éducatrices quant à l’obésité

L’Association nationale des puéricultrices de la France a fait part de recommandations quant à l’obésité infantile. Elles suggèrent en fait un modèle d’hygiène de vie.

Bien que faire des activités physiques et bien manger soit au centre des préoccupations encore une fois, les éducatrices mentionnent cette fois l’importance du sommeil chez l’enfant.
 
Mentionnons au passage qu’au cours des derniers mois, on a souvent parlé d’un lien entre le manque de sommeil et le développement de l’obésité chez l’enfant.
 
L’association appuie donc cette ligne de pensée et soutient que le sommeil est en effet primordial quant au maintien d’une bonne santé.

Laurence Guéry, coordonnatrice du réseau de prévention et prise en charge de l’obésité des Yvelines, a affirmé : « Il faut savoir que le sommeil joue un rôle important dans la mise en place des mécanismes de régulation de l’appétit et de la dépense énergétique ».

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Les enfants de parents bipolaires produisent plus de cortisol

Une étude de l’Université Concordia nous apprend que la bipolarité a des répercussions sur la réponse hormonale des enfants.

En effet, comme nous pouvons le lire dans Psychological Medicine, les enfants dont au moins un des parents est bipolaire ont de plus hauts taux de cortisol que les autres. Ils répondraient donc plus fortement au stress de la vie quotidienne.
 
Les chercheurs ont mesuré le taux de cortisol chez ces enfants lors de situations stressantes chroniques et à court terme. Dans les deux cas, ils ont accusé une plus forte élévation de leur taux de cortisol.
 
On pense donc que cette hormone du stress serait intimement reliée au désordre bipolaire. Des recherches précédentes avaient par ailleurs démontré que les enfants de parents bipolaires étaient quatre fois plus enclins à développer un trouble de l’humeur que les autres enfants.

Cette recherche a donc démontré que ces enfants étaient biologiquement plus sensibles au stress. Il faudra maintenant cibler à quel moment intervenir pour mieux outiller ces enfants.

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La vitamine D préviendrait un virus respiratoire

Une étude parue dans Pediatrics a démontré que la vitamine D protégerait les enfants du virus respiratoire syncytial, le VRS.

Ce virus constitue la cause première des infections respiratoires chez les jeunes enfants. Dans la majeure partie des cas, il affecte des bébés de moins de deux ans et il est très contagieux.
 
L’étude en question a porté sur l’analyse de la concentration de vitamine D dans le sang du cordon ombilical de 156 nouveau-nés des Pays-Bas. On a remarqué qu’une déficience de cette vitamine engendrait de plus grands risques de contraction du VRS.
 
Précisément, les bébés qui venaient au monde avec une déficience en vitamine D étaient six fois plus exposés au virus respiratoire que ceux qui présentaient un taux plus élevé.
 
De plus, les chercheurs ont noté que 54 % des bébés en santé naissaient avec une carence en vitamine D et que 12 % des enfants étaient atteints du VRS durant leurs 12 premiers mois de vie.

On recommande finalement que de prochaines études portent sur les effets des suppléments de vitamine D pendant la grossesse quant aux risques de virus respiratoire syncytial chez les bébés.

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L’importance de l’observation en cas de coup à la tête

On peut lire dans Pediatrics les résultats d’une étude ayant porté sur la façon d’évaluer les traumatismes crâniens en milieu hospitalier.

Intitulée The Effect of Observation on Head Computed Tomography Utilization for Children After Blunt Head Trauma, elle suggère des pistes pouvant diminuer le recours à la radiologie.
 
Après avoir analysé les données portant sur 42 412 cas de traumatismes crâniens légers chez des enfants, on a remarqué que 14 % seulement, soit 5 433 patients, ont subi une observation médicale avant que l’on ait recours au procédé de la tomodensitométrie.
 
Rappelons au passage que la tomodensitométrie consiste en la mesure de la densité radiologique par l’utilisation d’un appareil de radiodiagnostic, le tomodensitomètre.
 
Or, dans le cadre de la présente étude, le taux de tomodensitométrie était plus faible chez les enfants ayant été observés que chez ceux ayant été dirigés automatiquement vers ce procédé médical. Pourtant, ces deux groupes accusaient un taux semblable de traumatisme crânien.

Les chercheurs ont donc conclu que la période d’observation, sans altérer le diagnostic, réduit l’exposition des enfants aux radiations non nécessaires. Toutefois, elle peut minimiser le risque de blessures importantes n’ayant pas été détectées.

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Un médicament durant la grossesse causerait l’asthme

Selon Santé log, il y aurait un lien clair entre le paracétamol et l’asthme infantile. La prise de ce médicament par la future maman exposerait le fœtus à des risques.

Six études convergent donc pour statuer que le paracétamol est en lien avec l’asthme infantile et la respiration sifflante. En fait, trois de ces études présentent indéniablement une corrélation entre le paracétamol et les problèmes respiratoires.
 
Il semble précisément que les enfants dont la mère a pris ce médicament pendant sa grossesse couraient 21 % plus de risques d’avoir une respiration sifflante.

Toutefois, les chercheurs demandent aux femmes enceintes de ne pas sauter aux conclusions trop rapidement. D’autant plus qu’il existe d’autres facteurs de risque important quant à l’asthme infantile. Par exemple, le tabagisme passif comporte de graves risques pour la santé future de l’enfant.

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Étude controversée sur des femmes enceintes obèses

Pas moins de 400 volontaires testent en ce moment une pilule qui pourrait s’avérer une solution quant à la prévention de l’obésité et de ses maladies sous-jacentes. Il s’agit d’une étude controversée portant sur des patientes de trois hôpitaux anglais (Liverpool, Édimbourgh et Coventry).

Les femmes de cette étude, toutes obèses, mais non diabétiques, prennent donc de la metformine depuis près de 12 semaines. Elles peuvent en prendre jusqu’à trois fois par jour. Mentionnons au passage que la moitié des participantes prennent un placebo.
 
Selon le DailyMail, ce médicament, qui serait sans danger et qui est déjà pris par des diabétiques, pourrait empêcher ces femmes de mettre au monde un bébé obèse. La metformine réduirait l’apport de nourriture transmis à l’enfant.
 
On se demande bien sûr pourquoi des médecins se tournent vers cette voie, alors que ce problème pourrait être éradiqué par de meilleures habitudes alimentaires et de l’exercice. Il semble toutefois que l’épidémie d’obésité est trop importante et qu’il faut agir.
 
En ce moment, près de la moitié des femmes enceintes ont un surpoids ou sont obèses et plus de 15 % d’entre elles souffrent d’obésité. On pense de plus en plus qu’un fort poids de naissance est directement lié à un futur surpoids.

On a déjà reconnu que les problèmes de poids peuvent être créés dès que le bébé est dans le ventre de sa mère. De plus, un surpoids peut entraîner des problèmes de santé durant la grossesse, comme la prééclampsie.

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Stress et grossesse : encore des répercussions

En avril dernier, nous apprenions qu’une étude australienne ayant porté sur 3 000 femmes enceintes avait fait un lien entre le stress et les problèmes comportementaux chez l’enfant.

Une nouvelle recherche vient confirmer ce premier constat, faisant même un lien avec le trouble déficitaire de l’attention (TDAH).
 
Il semble que le haut taux d’hormone du stress pendant la grossesse augmente les risques d’apparition de ce trouble chez les enfants en âge scolaire.
 
Ces récents résultats ont été obtenus après que des spécialistes de l’Institut psychiatrique du King’s College de Londres aient suivi pas moins de 1 700 mères et leurs enfants. On voit cette percée comme une nouvelle façon de diagnostiquer le TDAH.
 
Selon MailOnline, les mères qui avaient vécu du stress ou une rupture durant leur grossesse couraient aussi plus de risques que leur enfant ait des problèmes émotifs.
 
La pression mentale que vit une future maman durant ses premiers mois de grossesse peut donc avoir d’importantes répercussions sur le comportement de son enfant.

Selon les chercheurs, les hauts taux mentionnés des hormones du stress atteindraient le développement cérébral du bébé à naître.

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Se brosser les dents : un plaisir des tout-petits!

Il semble que se brosser les dents ne constitue pas une corvée pour les enfants. Oral-B et Fluocaril ont dirigé une étude sur le sujet auprès de 600 enfants âgés de 2 à 9 ans. Il semble que ce geste soit des plus amusants pour la plupart d’entre eux.

Selon 65 % des parents visés par ce sondage, 78 % des enfants de moins de 5 ans aiment se brosser les dents. C’est aussi le cas pour 41 % des plus jeunes. Les raisons principales seraient une brosse à dents amusante et un dentifrice au bon goût.
 
Toutefois, on a remarqué qu’environ le tiers des tout-petits n’aiment pas particulièrement se brosser les dents. Il s’agirait pour eux d’un moment ennuyeux et le brossage des dents serait trop long ou difficile à faire pour eux.
 
Il semble par ailleurs que les parents inculquent de bonnes habitudes à leurs enfants. Ainsi, 77 % d’entre eux auraient initié leur progéniture à l’hygiène bucco-dentaire avant l’âge de 2 ans. Environ le quart des parents (26 %) auraient même commencé à brosser les gencives de leur bébé entre 6 mois et 1 an.
 
La carie demeure malgré tout une réalité pour bien des enfants. Si 7 % des enfants de moins de 5 ans en ont au moins une, ce serait le cas pour plus du tiers de ceux qui ont de 6 à 9 ans.

Malgré tout, la moitié des parents avaient amené leur enfant chez le dentiste au cours des six mois précédant le sondage. On recommande d’entamer cette bonne habitude dès le premier anniversaire de notre bébé.

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Les bébés prématurés restent petits

Il semble qu’un bébé prématuré sera plus petit et plus léger qu’un autre né à terme, une fois qu’il aura quatre ans, selon MedPage Today. Ce sont là les résultats d’une étude néerlandaise.

Les bébés prématurés connaissent par ailleurs une croissance normale. Toutefois, ils n’atteignent pas les mêmes paliers dans les courbes que leurs pairs. Cela est apparu vrai pour les enfants modérément ou gravement prématurés.
 
Il faudrait donc revoir les courbes de croissance actuelles et les modifier en fonction des bébés prématurés. Ainsi, les parents ne vivraient plus la même pression et pourraient voir que leur enfant grandit aussi normalement.

Pour tirer ces conclusions, les chercheurs ont suivi 1 834 bébés prématurés et 674 bébés nés à terme. Lorsque les enfants sélectionnés pour la recherche ont eu quatre ans, on a comparé leurs résultats quant à leur taille et leur poids lors de leur dernière visite chez le pédiatre.

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Risques d’autisme accrus pour les bébés de l’hiver

Selon Epidemiology, un enfant conçu durant l’hiver aurait plus de risques d’être autiste. C’est la conclusion à laquelle sont arrivés des chercheurs de l’UC Davis School of Medicine après avoir analysé les données de naissance de plus de 7,2 millions d’enfants.

Tous ces enfants étaient nés entre janvier 1990 et décembre 2002. Les données provenaient de statistiques de l’État de la Californie. Le mois de conception a été calculé en fonction des dernières menstruations que la mère avait eues avant de tomber enceinte, et deux semaines ont été ajoutées à cette date établie.
 
Il semble en fait que l’apparition de ce syndrome augmenterait progressivement au cours de l’automne jusqu’à la fin de l’hiver. Un bébé conçu en mars courrait donc 16 % plus de risque de recevoir un diagnostic d’autisme qu’un autre conçu en juillet.

Ce lien serait explicable par des facteurs environnementaux. Par exemple, la plus grande exposition à la grippe tiendrait un rôle important dans la plus grande prévalence de l’autisme chez ces enfants.