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Maman fait-elle vraiment tout?

On pourrait croire que la vie d’aujourd’hui a changé les rôles de la mère et du père au sein de la famille. Si c’est parfois le cas, il semble que cela constitue encore une exception, selon 20 Minutes.

En effet, selon des observations notées après l’analyse de deux études de l’Ined (Institut national d’études démographiques, en France) menées en 2005 et 2008, peu de changements se sont faits dans les familles ayant un ou des enfants de moins de 14 ans.
 
Les mères sont encore majoritairement responsables de l’éducation des enfants. Elles s’occupent des tâches directement reliées à eux, comme les aider à faire leurs devoirs et les habiller. Quant aux pères, ils s’occupent de leurs enfants, mais sont encore relégués aux loisirs, à les endormir et à les reconduire à l’école.

La venue d’un enfant ne ferait pas nécessairement en sorte que le père participe dans la famille. Au contraire, il serait parfois plus porté à être mis en retrait du fonctionnement de la vie quotidienne et de l’éducation des enfants.

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Bébé dormeur : à cause de ses gènes?

Les parents se demandent parfois si le fait que leur enfant ne dort pas bien est de leur faute. Ils seront heureux d’apprendre qu’ils pourraient toutefois influencer les habitudes de sommeil de leur tout-petit en modifiant leur environnement, lisons-nous dans le Los Angeles Times.

C’est la conclusion à laquelle sont arrivés des chercheurs italiens après avoir suivi 127 paires de vrais jumeaux et 187 paires de jumeaux non identiques âgés de 18 mois. Ces derniers jumeaux ne partagent que la moitié de leur ADN.
 
Dans le cadre de cette étude, toutes les paires de jumeaux partageaient la même chambre. Les parents des jeunes participants ont été questionnés quant à leur habitude d’aller dormir avec leurs enfants ou non, si les enfants dormaient toute la nuit ou non et s’ils faisaient une sieste en après-midi.
 
À la lumière des résultats, il semble tout d’abord que l’ADN joue en effet un rôle sur le sommeil des bébés, mais uniquement sur le fait que ceux-ci se réveillent ou non durant la nuit.

Les choix que faisaient les parents quant à l’environnement entourant le sommeil de leurs enfants étaient en très grande partie responsables de ce que les tout-petits dorment dans leur chambre ou non. Dans ce dernier cas, les gènes n’avaient absolument rien à y voir.

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Aucun lien entre les corticostéroïdes et les gerçures

Comme le rapporte le Canadian Medical Association Journal, l’administration de corticostéroïdes durant la grossesse n’aurait finalement pas de répercussion sur l’apparition de gerçures bucco-faciales.

Rappelons que ces substances sont utilisées pour traiter l’eczéma et le psoriasis, de même que l’asthme, certaines maladies auto-immunes et le cancer.
 
Plusieurs études avaient auparavant fait état de risques élevés attribués aux corticostéroïdes oraux.
 
Cette fois, une étude danoise à plus grand déploiement a porté sur 832 636 naissances survenues entre janvier 1996 et septembre 2008. Presque 20 % des femmes de l’étude avaient pris des corticostéroïdes au moins 1 fois durant les 4 semaines précédant la conception jusqu’à la naissance.
 
Parmi les bébés nés dans le cadre de cette recherche, 1 232 cas de gerçures bucco-faciales ont été relevés chez les enfants de moins de 1 an.
 
Il a ainsi été démontré que l’usage des corticostéroïdes pris durant le premier trimestre de grossesse n’entraîne aucune incidence notable sur les gerçures chez l’enfant.

Toutefois, une corrélation a été établie entre les produits dermatologiques contenant ladite substance et l’apparition de gerçures sur les lèvres, mais ce lien n’a été fait que statistiquement, non par causalité.

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Les futurs papas ont des questions particulières

Un service de santé anglais a mené une étude sur la préparation des parents quant à la venue de leur enfant. Un rapport de recommandations a même été produit, selon ce que rapporte The Telegraph.

Si la future maman voit le jour de l’accouchement comme une journée remplie d’émotions, son conjoint se préoccuperait plus de détails pratiques, comme trouver une place de stationnement une fois à l’hôpital et où se procurer du thé.
 
Le guide en question suggère donc que la visite habituelle de la salle d’accouchement soit proposée en soirée ou les week-ends afin que le père puisse s’y rendre seul. Des conseils médicaux et sur la vie de famille en fonction des différences culturelles devraient alors être offerts.
 
Puisqu’il appert que le papa développera sa relation avec son enfant à partir de six mois, il devrait mieux comprendre les émotions entourant la naissance.

En somme, selon le rapport, les parents devraient en général recevoir plus de soutien émotif quant à la venue de leur enfant.

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Famille de deux filles : combinaison gagnante

Après avoir comparé 12 combinaisons différentes de frères et de sœurs, des chercheurs ont conclu que la meilleure combinaison est 2 sœurs, rapporte Slate.fr. Les familles à enfant unique ne faisaient pas partie de l’échantillon de recherche.

Cette vaste étude comprenait 2 116 parents d’enfants de moins de 16 ans. On a demandé aux participants de relever différents comportements de leurs enfants par rapport à la comptabilité, aux jeux communs et aux disputes, par exemple.
 
Avoir deux filles représente donc la meilleure combinaison possible. Elles auraient peu de disputes, joueraient plus souvent ensemble et embêteraient moins leurs parents.
 
D’autre part, il semble que le pire scénario soit d’avoir quatre filles. Les parents de l’étude qui formaient une telle famille étaient les moins satisfaits. Ils auraient plus de difficulté dans leur vie quotidienne et seraient mécontents du comportement de leurs enfants. Dans ces familles, on a relevé quatre disputes ou bagarres par jour en moyenne.

On conclut toutefois que les parents interrogés n’aimaient pas moins leurs enfants que les autres, mais qu’ils rencontraient simplement plus d’embûches quant à la gestion de leur vie de tous les jours.

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Mieux comprendre l’autisme

Selon Postmedia News, une recherche menée par l’Université de Montréal et l’Hôpital général du Massachusetts a démontré que le cerveau des autistes ne se comporte pas de la même manière que celui des autres personnes.

Encore une fois, on soutient qu’il faut éviter de trouver un quelconque traitement à l’autisme. Les gens qui en sont atteints sont simplement différents. De plus, cela explique pourquoi il est si douloureux pour un enfant autiste de se retrouver dans une classe normale.
 
Afin d’en arriver à ces conclusions, les chercheurs ont analysé les résultats d’une vingtaine d’études ayant été faites entre 1995 et 2009. Selon les analyses d’un test de stimuli visuel auquel plus de 700 sujets ont participé, il semble qu’il y ait plus d’activité cérébrale chez les autistes dans les régions temporale et occipitale et moins dans le cortex frontal.
 
Les régions temporale et occipitale sont reliées à la perception et à la reconnaissance, alors que le cortex frontal est associé à la prise de décisions et à la planification.

Ces observations expliquent pourquoi les enfants autistes sont souvent capables d’apprendre à lire à un âge très précoce, mais qu’ils ont de la difficulté ou sont incapables de s’intégrer socialement.

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Bémol de l’allaitement : les caries

Bien que l’on parle habituellement des bienfaits de l’allaitement sur la santé du bébé, allant jusqu’à faire la preuve qu’il peut augmenter les résultats scolaires, on lui découvre maintenant un aspect négatif.

Dans le cadre d’une étude brésilienne cherchant à trouver les causes du développement de la carie chez l’enfant de quatre ans, l’allaitement a été pointé du doigt, apprenons-nous sur Nutrinews hebdo.
 
Le plus souvent, on accuse le biberon ou la suce quant à l’apparition de caries. Pourtant, en analysant les habitudes alimentaires de bébés de moins d’un an, on a remarqué que l’allaitement en serait encore plus responsable.
 
En effet, il semble que la première cause de la carie serait d’allaiter plus de sept fois par jour.

Par la suite, en ordre d’importance, on trouve le trop grand nombre de repas par jour, c’est-à-dire plus de huit, puis le biberon. Il s’agit toutefois des biberons ne contenant pas de lait, mais de l’eau ou du jus.

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Tabagisme de troisième main avant 18 mois

Il semble que si l’on ne fume pas dans la maison, cela peut tout de même être néfaste pour notre enfant.

C’est ce qu’a révélé une récente étude, parue dans BMC Public Health, qui a analysé des échantillons de cheveux provenant de 252 bébés âgés de moins de 18 mois.

Il semble que les enfants qui dorment dans la chambre de parents fumeurs ont des taux de nicotine trois fois plus élevés que ceux dormant dans une autre pièce. Cela fait d’eux des fumeurs de troisième main.

Ce type de tabagisme est sournois, car il s’agit du transfert de nicotine provenant de la cigarette et s’imprégnant dans la peau d’un fumeur (ici, un parent), dans ses vêtements et dans ses cheveux.

De plus, cette recherche a démontré que même si un parent fume à la fenêtre, dans une autre pièce que celle où se trouve son enfant, ou s’il aère les chambres après avoir fumé, des toxines demeurent dans la maison.

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Une vision différente de la communication chez les bébés

Contrairement à ce que l’on croit, les bébés ne vivent pas au moment présent; ils conservent une influence du passé. C’est ce que suggère une récente étude parue dans Infancy.

Il semble donc que les jeunes enfants agissent de façon beaucoup plus mature que l’on ne croit et qu’ils se basent sur des empreintes de leur vie pour agir, au fil du temps.
 
Ainsi, les bébés sont en mesure de maîtriser leur comportement, et ce, en regard de la façon dont ils ont agi précédemment. Ils sont donc influencés par leurs actions passées.
 
L’aptitude d’avoir des actions intentionnelles leur permet d’atteindre des objectifs mentaux. Ces constats ont été faits après que l’on ait observé 13 jeunes enfants de 4 à 24 semaines en interaction avec leur maman, sous forme d’expressions faciales de tous les jours.
 
Au total, les bébés ont observé l’expression faciale de leur mère dans le cadre de 208 interactions.

Le temps durant lequel les bébés regardaient leur mère était lié à celui qu’ils avaient précédemment passé à la regarder. En d’autres mots, les enfants démontrent un intérêt indépendamment de ce qui se passe autour d’eux. Alors, ils coordonnent ces deux modèles d’intérêt.

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Une vision différente de la communication chez les bébés

Contrairement à ce que l’on croit, les bébés ne vivent pas au moment présent; ils conservent une influence du passé. C’est ce que suggère une récente étude parue dans Infancy.

Il semble donc que les jeunes enfants agissent de façon beaucoup plus mature que l’on ne croit et qu’ils se basent sur des empreintes de leur vie pour agir, au fil du temps.
 
Ainsi, les bébés sont en mesure de maîtriser leur comportement, et ce, en regard de la façon dont ils ont agi précédemment. Ils sont donc influencés par leurs actions passées.
 
L’aptitude d’avoir des actions intentionnelles leur permet d’atteindre des objectifs mentaux. Ces constats ont été faits après que l’on ait observé 13 jeunes enfants de 4 à 24 semaines en interaction avec leur maman, sous forme d’expressions faciales de tous les jours.
 
Au total, les bébés ont observé l’expression faciale de leur mère dans le cadre de 208 interactions.

Le temps durant lequel les bébés regardaient leur mère était lié à celui qu’ils avaient précédemment passé à la regarder. En d’autres mots, les enfants démontrent un intérêt indépendamment de ce qui se passe autour d’eux. Alors, ils coordonnent ces deux modèles d’intérêt.