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L’anorexie frappe très jeune

Des chercheurs de l’Institut de santé des enfants du Collège universitaire de Londres ont relevé, sur une période de 14 mois, 208 cas de troubles alimentaires chez des enfants de moins de 13 ans.

Les filles sont beaucoup plus souvent touchées : 82 % des cas les concernaient. Les enfants étaient admis à l’hôpital parce qu’ils se purgeaient, refusaient de manger ou ingéraient des laxatifs.
 
Il semble que la mode des mannequins rachitiques touche bien plus que les adolescentes, malheureusement.
 
Selon le British Journal of Psychiatry, au Royaume-Uni seulement, 100 000 jeunes de moins de 13 ans souffrent de troubles alimentaires.
 
Si les cas d’enfants de 6 à 8 ans sont plus rares, ils demeurent présents et le nombre de cas augmente avec l’âge.

Il semble toutefois que les traitements aient leur effet. On évalue à 73 % ceux qui voient une amélioration de leur état en 1 an.

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Effets néfastes des pesticides sur les enfants

Selon plusieurs études, les enfants qui grandissent sur une ferme développent peu ou pas du tout d’asthme et d’allergies. Toutefois, les milieux de vie de l’agriculture comportent de tout autres problèmes, lesquels sont très graves. 

En effet, on parle de plus en plus du lien entre le cancer et l’exposition aux pesticides. C’est dans le but de mieux définir les causes environnementales du développement du cancer que le rapport Dangerous Exposure : Farmworker Children and Pesticides a été publié.
 
Rédigé par l’Association of Farmworker Opportunity Programs (AFOP) aux États-Unis, ce rapport est accessible sur le site internet du regroupement.
 
En plus du cancer, en particulier de la leucémie, des spécialistes se sont aussi penchés sur les désordres comportementaux et neurologiques, les maladies respiratoires ainsi que les problèmes de naissance chez les enfants vivant sur une ferme, et ce, en lien avec les pesticides.
 
Le lien est évident, selon les experts. De plus, le danger semble plus grand lorsque l’enfant est exposé à des toxines agricoles dangereuses.

Les résultats ont été obtenus à la suite de rencontres avec des familles de fermiers à travers les États-Unis.

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Les problèmes sociaux, à cause du visage?

Une récente expérimentation a démontré que les enfants qui étaient très anxieux socialement n’arrivaient pas, en fait, à interpréter correctement l’expression du visage des autres.

Ils mélangeraient les airs agressifs avec les airs tristes. Cela peut mener à une vie très pénible, car le visage de ceux qui nous entourent est notre premier contact avec la réalité.
 
Les résultats de recherche de l’Université d’Emory démontrent que le déchiffrement de la communication non verbale est réellement une aptitude. La prochaine étape serait donc de pouvoir mesurer les déficits et d’y remédier.
 
Déjà, on a pu prouver, au cours des dernières années, qu’un enseignement ciblé pouvait améliorer les aptitudes liées à la communication verbale chez des enfants atteints de problèmes de comportement, incluant ceux de l’autisme.

Quant à la présente étude, elle a été publiée dans le Journal of Genetic Psychology.

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Le colorant rendrait-il hyperactif?

Lors de la rencontre annuelle de la Food and Drug Administration (FDA) aux États-Unis, des spécialistes ont statué que les colorants alimentaires rendent les enfants hyperactifs.

Selon Medical News Today, on a tiré cette conclusion à la suite d’une revue de plusieurs données recueillies sur le sujet. Il semble qu’il y ait suffisamment de preuves pour avancer un lien entre les colorants chimiques et l’hyperactivité.
 
On prévoit déjà des actions quant à ces substances, voire qu’elles deviennent toutes interdites.
 
Les colorants sont pourtant omniprésents dans l’alimentation des enfants. On en retrouve dans les céréales, les jus, les bonbons, le yogourt, de même que dans des centaines d’autres produits.

Nous ingérons 5 fois plus de colorants que dans les années 50. Il y aurait donc un lien entre cette augmentation et l’explosion du nombre de cas d’hyperactivité chez les enfants.

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Lien entre la migraine infantile et une défectuosité cardiaque

Quoique plus fréquente chez l’adulte, la migraine est pourtant un mal qui touche environ 15 % des enfants. Le tiers de ceux-ci ont des migraines avec aura, incluant des symptômes comme la vue de taches et même des hallucinations.

Or, des chercheurs de l’Université de l’Utah ont suivi des enfants âgés de 6 à 18 ans en 2008 et 2009. Les 109 participants souffraient de migraines.
 
Il en est ressorti, comme nous l’apprenons dans le Journal of Pediatrics, un lien très fort entre leur mal et le foramen ovale perméable.
 
Rappelons au passage que cette anomalie cardiaque se caractérise par un défaut à la membrane située entre les deux oreillettes du cœur, permettant un passage entre elles. Ce problème toucherait 25 % des gens, aux États-Unis seulement.
 
Après avoir fait passer des échocardiogrammes aux enfants de l’étude, on a remarqué que la fréquence du foramen ovale perméable était de 50 %. Cela représente donc près du double du taux observé dans la population en général.
 
De plus, seulement 25 % des participants qui avaient reçu un diagnostic de migraines ne présentaient pas de foramen ovale perméable.

Les chercheurs concluent donc que les migraines pourraient être traitées par la pose d’un cathéter cardiaque, surtout lorsqu’il s’agit de migraines avec aura.

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Lien entre la migraine infantile et une défectuosité cardiaque

Quoique plus fréquente chez l’adulte, la migraine est pourtant un mal qui touche environ 15 % des enfants. Le tiers de ceux-ci ont des migraines avec aura, incluant des symptômes comme la vue de taches et même des hallucinations.

Or, des chercheurs de l’Université de l’Utah ont suivi des enfants âgés de 6 à 18 ans en 2008 et 2009. Les 109 participants souffraient de migraines.
 
Il en est ressorti, comme nous l’apprenons dans le Journal of Pediatrics, un lien très fort entre leur mal et le foramen ovale perméable.
 
Rappelons au passage que cette anomalie cardiaque se caractérise par un défaut à la membrane située entre les deux oreillettes du cœur, permettant un passage entre elles. Ce problème toucherait 25 % des gens, aux États-Unis seulement.
 
Après avoir fait passer des échocardiogrammes aux enfants de l’étude, on a remarqué que la fréquence du foramen ovale perméable était de 50 %. Cela représente donc près du double du taux observé dans la population en général.
 
De plus, seulement 25 % des participants qui avaient reçu un diagnostic de migraines ne présentaient pas de foramen ovale perméable.

Les chercheurs concluent donc que les migraines pourraient être traitées par la pose d’un cathéter cardiaque, surtout lorsqu’il s’agit de migraines avec aura.

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Les bébés en poussette et la pollution

Selon une récente étude de l’Association santé environnement France, l’ASEF, une promenade en poussette exposerait bébé aux particules néfastes des gaz d’échappement.

L’expérimentation s’est faite dans la ville d’Aix-en-Provence et ses environs. Un parcours avait été établi, lequel correspondait à celui emprunté en général par un parent avec son enfant en poussette.
 
Après avoir installé des capteurs de microparticules sur des poussettes, les chercheurs ont évalué leur degré à la suite d’une journée normale. D’après ce qu’on peut lire dans Le Parisien, la quantité était de 2 à 10 fois plus élevée que celle attendue par l’Organisation mondiale de la santé (OMS).
 
L’OMS a établi le taux de particules à 10 microgrammes, mais dans la présente étude, il n’a jamais été plus bas que 20 microgrammes. À certains endroits, 45 microgrammes ont même été atteints (près d’une gare) et on a enregistré un taux de 60 microgrammes près du centre-ville.

Il semble donc que bébé est fortement exposé à la pollution lorsqu’il fait un tour de poussette au grand air.

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Le comportement et les résultats scolaires : lien prouvé

Un lien entre le comportement et les résultats scolaires vient d’être finalement prouvé. Des chercheurs de l’Université de la Caroline du Nord auraient établi cette relation, pourtant récriée, après avoir suivi 350 élèves durant 5 ans.

On a donc comparé les perceptions des enseignants quant au comportement des jeunes à la réussite scolaire de ces derniers.
 
Les enseignants avaient plus tendance à dire que les élèves ayant un bon comportement réussissaient mieux et ils avaient de plus hautes attentes quant à eux, et ce, même lorsque des élèves éprouvaient certaines difficultés.
 
Dans la même logique, les élèves qui se comportaient moins bien étaient perçus comme ayant plus de difficultés scolaires, même si ce n’était pas toujours le cas.
 
Cela veut dire que les enfants ne sont pas bien dirigés lorsque leur enseignant croit que l’apprentissage scolaire a une influence sur le comportement.

Au contraire, selon les chercheurs de cette étude parue dans le Journal of Positive Behavior Interventions, on devrait enseigner aux enfants des connaissances tant sur le plan scolaire que comportemental.

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Acétaminophène et grossesse : risques d’asthme?

Les résultats de six études analytiques nous apprennent que l’acétaminophène pourrait avoir un lien avec le développement de l’asthme.

Ainsi, une femme qui prend ce médicament sans ordonnance durant sa grossesse augmenterait les risques d’asthme de son bébé.

Ces analyses ont été regroupées par des chercheurs de l’Institut de recherche médicale de la Nouvelle-Zélande. Selon les résultats obtenus, l’exposition à l’acétaminophène serait fortement liée à l’apparition de l’asthme chez des enfants âgés d’un an et demi à sept ans.
 
Cette association entre l’asthme, le râle et l’acétaminophène a été posée selon des données de 2009. Des études précédentes avaient démontré un lien entre ce médicament et l’asthme.
 
Maintenant, à la lumière des présents résultats, il est urgent, selon les chercheurs, de déterminer l’impact réel de l’acétaminophène durant la grossesse quant aux risques d’asthme et de râle auxquels sont exposés les enfants.

Les résultats complets de cette étude sont parus dernièrement dans le Clinical & Experimental Allergy.

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Les enfants s’habituent à la violence

On peut lire dans Social Psychological and Personality Science que plus les enfants voient de la violence, plus ils trouvent que c’est normal. Par un effet d’entraînement malheureux, ils sont plus enclins à faire du mal aux autres s’ils croient que cela fait partie de la normalité.

Des chercheurs de différentes universités à travers le monde ont pu remarquer cette relation après avoir questionné 800 enfants de 8 à 12 ans sur la violence. D’une part, on leur a demandé s’ils avaient été témoins de violence à la télévision, à la maison, dans leur quartier et à l’école.
 
Les enfants se sont aussi fait demander s’ils avaient été eux-mêmes victimes de violence. Dans le cas de participants ayant vécu cette situation, une partie du questionnaire portait sur l’évaluation de la sévérité de la ou des agressions.
 
On a fait passer un nouveau sondage aux mêmes enfants six mois plus tard. On a alors évalué si le degré de violence, que l’enfant soit témoin ou victime, avait augmenté depuis. Il semble que les jeunes participants, quel qu’ait été leur degré d’agressivité au départ, soient devenus plus agressifs en ayant été témoins ou victimes de violence.

C’est que le fait d’être témoin ou victime de violence fait en sorte que l’enfant en vient à la considérer normale et acceptable. Les personnes qui sont exposées à beaucoup de violence peuvent facilement en venir à croire qu’il s’agit d’une façon usuelle de régler les conflits.