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Lien entre l’asthme et l’obésité

D’après Medpage Today, une recherche américaine a établi un lien entre l’obésité à un jeune âge et l’asthme. Pour tirer cette conclusion, on a suivi plus de 800 enfants et jeunes adultes.

Il semble en fait que les enfants étant en surpoids et qui conservent ce surplus lorsqu’ils deviennent de jeunes adultes courent beaucoup plus de risques de souffrir de l’asthme que ceux qui conservent un poids normal en grandissant.
 
Précisément, ces jeunes étaient 2,4 fois plus à risques de devenir asthmatiques. Le lien était par ailleurs plus marqué chez les garçons. Ces derniers couraient donc 3,3 fois plus de risques, contre 1,9 chez les filles.

Finalement, les enfants en surpoids à l’âge de six à huit ans, mais qui étaient revenus à un poids normal avant la fin de leur secondaire, n’avaient pas de risques de devenir asthmatiques.

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Maman fumeuse, bébé fumeur

Une recherche finlandaise a démontré que le tabagisme de la femme enceinte peut grandement faire en sorte que l’enfant soit dépendant de la nicotine plus tard. De plus, ce dernier aurait tendance à commencer à fumer à un âge plus jeune.

Selon Medical News Today, cette étude faite sur des souris a prouvé que l’exposition prénatale à la nicotine rendait vulnérable à celle-ci.

Ainsi, l’enfant, une fois au stade de l’adolescence, aura plus tendance à subir les effets de la dépendance à cette substance.

Puisque l’on comprend mieux de quelle façon la nicotine bloque certains récepteurs, on peut considérer qu’il s’agit là d’une explication possible de l’usage courant de la nicotine.

Finalement, cette recherche ouvre la voie à de possibles médicaments pour traiter la dépendance aux drogues et à la cigarette.

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Les filles moins soignées pour une petite stature

On apprend dans Pediatrics qu’une récente étude a porté sur le diagnostic et le traitement des maladies reliées à une petite stature chez les filles et les garçons.

Il en est ressorti que les filles sont désavantagées. En effet, les médecins auraient moins tendance à faire passer des tests aux petites filles qu’aux petits garçons. Les conséquences en sont que les filles sont moins diagnostiquées et reçoivent ainsi moins de traitements.
 
Elles sont donc deux fois moins diagnostiquées pour un retard de croissance, le plus souvent pour un problème d’hormone.
 
Dans le cadre de cette recherche, une faiblesse de croissance était définie comme une taille 5 % plus petite que la normale, par âge et par sexe. On a suivi 33 476 enfants âgés de 6 mois à 20 ans.
 
Parmi eux, 3 007 ont été reconnus comme ayant un retard de croissance. Dans ce groupe, les garçons représentaient 53 %, donc environ la moitié.

Chez les filles qui accusaient un retard, seulement 1 % ont passé des tests chromosomiques.

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Un facteur de risque identifié pour la sclérose en plaques

Une équipe de chercheurs de l’Université McGill à Montréal a trouvé un facteur de risque génétique qui prédispose à la sclérose en plaques (SEP).
 
Ce gène particulier joue un rôle dans la réponse immunitaire et augmente donc les risques de développer la maladie chez certains enfants.
 
La SEP se manifeste surtout chez l’adulte, mais dans les dernières années, on note une augmentation des cas chez les enfants au pays.
 
Souvent, le premier épisode de démyélinisation (SAD) est isolé et unique. Ce phénomène est la destruction de la myéline, la gaine qui protège, isole et soutient les cellules nerveuses. Lorsqu’elle est détruite, la transmission des signaux au corps est interrompue. Chez 20 % des enfants, il s’agit de la première attaque de la maladie.
 
« Nous avons constaté que la fréquence du gène HLA-DRB1 est plus élevée chez les enfants qui recevaient par la suite un diagnostic de SEP, mais non chez les enfants ayant un seul épisode de SAD. Cela indique que ce gène est un facteur de risque dans la SEP infantile », indique le Dr Amit Bar-Or de l’Université McGill.
 
Statistiquement, pour un adulte sur 20 atteint de sclérose en plaques, on peut retracer un premier épisode survenu durant l’enfance.
 
Saviez-vous que le Canada a un des plus hauts taux de sclérose en plaques dans le monde? On diagnostique environ 1 000 nouveaux cas chaque année.
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Allergie au lait : de nouvelles données

L’allergie au lait de vache est un phénomène courant chez les tout-petits. Il s’agit de l’allergie alimentaire la plus courante du continent américain.

Selon un rapport présenté dernièrement à l’Académie américaine des allergies, de l’asthme et de l’immunologie, 36,9 % des enfants ne vivront plus avec leur allergie avant la fin de leur petite enfance.
 
Cette partie des participants n’avait plus de symptômes vers trois ans et demi. En moyenne, dans le cadre de cette étude, l’allergie s’était résolue à un âge moyen de 24 mois.
 
Ce pourcentage a été établi après que l’on ait suivi 244 enfants pendant 30 mois. De plus, comme nous pouvons le lire sur Medpage Today, cette disparition n’aurait rien à voir avec la baisse de l’intensité des symptômes.

On prévoit donc un très grand impact de cette nouvelle découverte quant au traitement des allergies chez les enfants. En effet, il serait facile de déceler très tôt lesquels pourraient faire de l’immunothérapie, alors que d’autres n’en auraient pas besoin.

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Siège d’auto : laissons bébé de dos

On pourrait changer encore une fois nos habitudes quant à l’installation des bébés en voiture. Un rapport et de nouvelles recommandations sont en effet parus à cet effet dans Pediatrics dernièrement.

Ces nouvelles recommandations, établies par l’Académie américaine de pédiatrie, indiquent que les enfants devraient être placés vers l’arrière jusqu’à l’âge de deux ans. La même autorité avait déjà suggéré, en 2002, de les placer ainsi jusqu’à ce que ce soit encore possible.
 
Les nouvelles mesures de prévention des blessures sont basées sur des données américaines et suédoises. Mentionnons qu’en Suède, les enfants demeurent face à l’arrière jusqu’à l’âge de quatre ans.
 
Pour plus de sécurité, il faudrait donc laisser les jeunes enfants dans leur position de départ jusqu’à 2 ans ou jusqu’à ce qu’ils aient la taille et le poids recommandés. De plus, les enfants devraient avoir un siège rehausseur jusqu’à ce qu’ils mesurent plus de 4 pieds 9 pouces, soit jusqu’à l’âge de 8 à 12 ans.

Finalement, un enfant devrait être assis à l’arrière d’une voiture jusqu’à ses 13 ans, et ce, en tout temps.

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Diagnostic de problèmes mentaux : zones grises

Des groupes de recherche américains ont mis en évidence que le diagnostic de problèmes émotionnels ou de troubles de comportement chez un enfant pouvait être subjectivement influencé.

Or, les chercheurs mentionnent que nous devons apprendre à fonctionner avec ces zones grises, comme nous pouvons le lire sur Medical News Today. Malgré tout, selon eux, plusieurs enfants ne reçoivent pas les soins qui leur sont nécessaires, à cause de perceptions.
 
Il semble que les valeurs culturelles, tant de la part du spécialiste que des parents, seraient au cœur de ce problème. Ainsi, l’administration de médicaments ou la thérapie serait préférée d’une situation à l’autre, même dans le cas où elles seraient toutes deux nécessaires.

La ligne est mince entre une perception et une autre. C’est pourquoi les chercheurs rappellent la difficulté de surmonter ces zones grises. Des balises plus claires devraient être établies, d’autant plus que l’environnement des enfants vivant avec des problèmes de comportement devrait leur être mieux adapté.

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Les enfants utilisent beaucoup Internet

On peut lire sur The Independant que pas moins de 80 % des enfants de moins de 5 ans naviguent sur Internet sur une base régulière. Ce sont les résultats obtenus par des organisations à but non lucratif ayant porté sur des enfants américains.

Les jeunes enfants utilisent donc l’ordinateur au moins une fois par semaine, sinon plus. Mentionnons au passage que cette étude a porté sur les ordinateurs de type courant, non pas sur les nouveaux ordinateurs tablettes ou les téléphones intelligents.
 
Si l’on grimpe d’une tranche d’âge, on se rend compte que les enfants âgés de 6 à 9 ans vont sur Internet au moins une fois par semaine dans une proportion de 70 %, ce qui est surprenant.
 
Chez les enfants, surtout les plus jeunes, les activités les plus populaires sont l’écoute de films et d’émissions de télévision en ligne.

D’ailleurs, la télévision n’a pas perdu la cote, malgré l’arrivée de l’Internet, car elle demeure le média préféré de tous. Il n’est donc pas étonnant, mais non moins inquiétant, que 90 % des enfants de plus de 5 ans passent au moins 3 heures par jour devant le téléviseur.

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Les enfants atteints d’une MICI sont moins en forme

Une récente recherche de l’Université McMaster et de l’Hôpital pour enfants McMaster en Ontario nous apprend que les enfants et les adolescents qui vivent avec une maladie inflammatoire chronique intestinale (MICI) sont moins en forme que leurs pairs.

Précisément, les jeunes atteints d’une MICI accuseraient un rendement aérobique 25 % plus faible que les autres et leur performance musculaire serait 10 % plus basse, comme on peut le lire sur Medical News Today.
 
L’état physique durant l’enfance en dit pourtant bien long sur la santé future à l’âge adulte. Il est donc primordial que les enfants atteints aient une activité physique régulière, quelle qu’elle soit.

Les maladies inflammatoires chroniques intestinales les plus courantes sont la maladie de Crohn et la colite ulcéreuse (ou rectocolite hémorragique).

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L’acupuncture, pour les enfants?

Il semble que l’acupuncture soit de plus en plus populaire, selon The Courier-Journal. La méthode chinoise, dont les bienfaits sont reconnus depuis longtemps, serait très profitable aux enfants aussi.

En effet, plusieurs pédiatres suggèrent cette méthode en remplacement des techniques traditionnelles pour soulager certains maux des enfants. De plus, le nombre de pédiatres suggérant l’acupuncture ne cesserait d’augmenter.
 
Selon les données recueillies par le National Health Interview Survey, en 2007 par exemple, 150 000 enfants avaient reçu durant l’année un traitement d’acupuncture pour soigner la douleur, l’anxiété, des nausées ou des migraines.

L’avis de certains médecins pour expliquer cet engouement est que nous réalisons peu à peu que certains maux ne peuvent tout simplement pas être traités par la médecine occidentale.